Film Etazunien

Titre VO: the stepford wives

Date de sortie: 07 juillet 2004

Genre: comédie fantastique

Durée: 1h33

 Scénario: Paul Rudnick d'après l'oeuvre de Ira Levin

Musique: David Arnold, David Mansfield

Image: Rob Hahn

avec Nicole Kidman (Joanna Eberhart), Matthew Broderick (Walter Kresby), Bette Midler Bobbie Markowitz), Jon Lovitz (Dave Markowitz), Christopher Walken (Mike Wellington), Glenn Close (Claire Wellington)

L'histoire:

Ma critique:

Qu'est ce que ce film m'a fait penser à un autre film, un peu plus SF que celui-ci: L'invasion des profanateurs de sépulture. Vous me direz pourquoi? Je vous dirais que l'on y voit des personnes qui changent de personnalitée du jour au lendemain dans les deux cas.

 

Joanna a une superbe carrière dans la réality show. Mais voilà, quand l'un des participants d'une de ses émissions se retourne contre sa femme et ses nouveaux amants, notre Joanna est renvoyée purement et simplement, juste pour satisfaire les actionnaires de la chaine de télé.

Dépression nerveuse.

Son mari Walter dégotte une superbe maison dans le Connecticut, à Stepfort, sorte de banlieu résidentielle. Là bas, tout est beau, tout le monde est gentil, doux, acceuillant, affectueux, chaleureux.... vous en redemandez?   C'est surtout les membres de la gente féminine qui est au plus haut de la forme, et quelles formes, d'ailleurs puisque l'on croirait voir des top models. Elles sont toutes belles, souriantes, bien coiffées et habillées, gentilles, douces, acceuillantes, affectueuses, chaleureuses... vous en redemandez?

Mais voilà, il y a une raison à cela et notre Joanna va vite le découvrir malgré elle.

Un film que j'ai trouvé assez macho. Les femmes ne sont là que pour servir les hommes qui se la coulent douce. Ces femmes qui ont eues un poste assez bien placé d'un point de vue professionel, se retrouver à être larbin, s'occuper du domestique, des enfants mais surtout du mari, c'est assez mysogine comme situation. Si j'étais une femme, je serais pas contend.

Il faut dire que ces messieurs ont tout du beauf: ils sont pas beau, fument le cigare, jouent à des jeux crétins comme des gosses avec leurs jouets télécommandés en pariant du fric, etc... Et ces hommes de constitution moyenne ont tous des femmes qui, comme par hasard sont toutes de la même taille (un peu plus grande qu'eux), habillées façons années 50-60 (mais il y a une raison qui s'explique par la chute du film que je ne dévoilerais, bien entendu pas ici).

 

Dans le rôle de Joanna, ma copine Nicole qui est vraiment conne au début du film quand elle s'adresse à un parterre de personnalitées de la télé en montrant des émissions à venir où la femme prends le dessus sur l'homme (comme par hasard!). Puis elle change de point de vue jusqu'à dire Je t'aime à son mari. Mais faut attendre ça vers la fin du film. On découvre cette vie de rêve (pour hommes) en même temps qu'elle. On découvre le secret selon son point de vue. Par contre je trouve crétin qu'elle accepte la transformation sachant ce qu'elle va devenir (et perdre de son humanitée). Aussi de ne pas voir le procédé par lequel la transformation s'oppère... Faut pas être trop technique dans un film fleur bleue.

Nicole, qu'est ce qu'elle est belle quand même. Ses sourcils en accent circonflexe, sa manière de regarder de coté, ses yeux bleu. Et puis sa coupe Auburn qui devient une chevelure longue et blonde...ah là là, les mots m'en manquent! Je vous parle pas encore de son nez... Ok, je ne suis pas objectif!

Pour ceux qui connaissent cet acteur, il y a aussi  Roger Bart dans le rôle d'un homosexuel qui change en un homosexuel sûre de lui, pas du tout efféminé (comme peut l'être un homosexuel quand on en a une image d'Epinal de ce genre de déviance sexuelle). Roger Bart, c'est le pharmacien George Williams qui sort avec Bree (Marcia Cross) dans la série Deseperate Housewives. Il avait fait ce film juste avant la série.

L'image à retenir:

Nicole Kidman qui apparait au détour d'un rayon de supermarché, au ralenti, toute blonde d'une chevelure à rêver. Son sourire.

Ma note:

2 étoiles