mardi 31 juillet 2012
mar 31 juil 2012
mardi 31 juillet 2012
mar 31 juil 2012
lundi 30 juillet 2012
lun 30 juil 2012
Nous sommes à quelques encablures de la mi-fin d'années avant un repos de quelques semaines bien méritées. Donc en attendant une rentrée prochaine, ma dernière invitée du lundi est d'une photo de Maria.
Manu
A noël 2004, j'ai eu l'occasion d'emmener mes enfants à DisneyLand Paris.
La photo est quelques peu ratée, mais on va dire que c'est un flou artistique, histoire de rendre ma photo encore plus charmante et féerique.
dimanche 29 juillet 2012
dim 29 juil 2012
Je sais pas pourquoi cet immeuble est garni de drapeaux portugais... peut-être en hommage aux atlètes aux J.O.!
Bonne chance pour mon Portugal.
NDLR: Isaura, ta photo me dit quelque chose et force est de constater que toi et Maria avez ce petit plus, que d'être soeurs en commun. La preuve en allant ICI.
samedi 28 juillet 2012
sam 28 juil 2012
Sienne est l'incarnation de la ville médiévale.
Transposant sur le plan urbain leur rivalité avec Florence, ses habitants ont poursuivi à travers le temps un rêve gothique et ont su conserver à leur ville l'aspect acquis entre le XIIe et le XVe siècle. La ville entière, construite autour de la Piazza del Campo, a été conçue comme une œuvre d'art intégrée au paysage environnant.
La piazza del Campo, située à la jonction des trois collines dans lequel s'inscrit la ville, est l'une des plus remarquables de toute l'Italie.
La construction du palazzo Pubblico, destiné à devenir le siège du gouvernement communal, commença au début du XIIème siècles. Sa façade légèrement incurvée et crénelée est soulignée par des trifores gothiques.
Le point le plus élevé de la ville est surmonté par la cathédrale de Santa Maria. Sa façade, dont la partie inférieure est l'œuvre de Giovanni Pisano, a été complétée par Giovanni di Cecco après la construction du Nuovo Duomo (la nouvelle cathédrale), ambitieux projet inspiré des cathédrales gothiques du nord des Alpes. La cathédrale conserve un pavement remarquable et une chaire sculptée par Nicolà Pisano.
Le centre historique de Sienne est inscrit à l'UNESCO depuis 1995.
vendredi 27 juillet 2012
ven 27 juil 2012
Comment ne pas parler des tours restantes et détruites quand on fait allusion à San Gimignano?
Les familles nobles (les Ardinghelli, et les Salvucci) qui contrôlaient la ville avaient bâti quelque 72 maisons-tours (dont certaines montaient jusqu'à 50 m de hauteur), symboles de leurs richesses et de leur pouvoir. Il ne reste de nos jours que 14 de ces tours mais San Gimignano a conservé son ambiance et son apparence féodales. La ville recèle également des chefs-d'œuvre de l'art italien des XIVe et XVe siècles.
San Gimignano offre un témoignage exceptionnel de la civilisation du Moyen Âge : dans un espace réduit, la ville rassemble toutes les structures typiques d'un espace urbain: places et rues, maisons et palais, puits et fontaines.
Les tours jumelles des Ardinghelli, l'une des deux grandes familles qui a donné son importance à la ville.
Le centre historique de San Gimignano est inscrit à l'UNESCO depuis 1990.
jeudi 26 juillet 2012
jeu 26 juil 2012
La Piazza del Duomo réunit sur une vaste pelouse un ensemble monumental célèbre dans le monde entier. Il s'agit de quatre chefs-d'œuvre de l'architecture médiévale qui exercèrent une grande influence sur les arts monumentaux en Italie du XIe au XIVe siècle : la cathédrale, le baptistère (la batiment rond au premier plan de ma photo), le campanile (ou « Tour penchée ») et le cimetière.
J'ai quasiment la même vision nocturne en photo...
La Piazza del Duomo à Pise est inscrite à l'UNESCO depuis 1987.
mercredi 25 juillet 2012
mer 25 juil 2012
Florence, bien évidemment.
Ma première ville Italienne choisie lorsque j'ai choisi une destination qui était Florence ou Venise.
Florence, symbole de la Renaissance, a joué un rôle économique et culturel prépondérant sous les Médicis aux XVe et XVIe siècles.
Le centre historique de Florence est un véritable écrin conservant de multiples chefs-d'œuvre d'art et d'architecture. Florence, encore enfermée dans sa muraille du XIVe siècle, et construite grâce aux énormes ressources économiques de la ville, connut au cours des deux siècles suivants un véritable âge d'or. Son centre spirituel est la place de la cathédrale Santa Maria del Fiore, avec le campanile de Giotto et le baptistère San Giovanni et ses portes du Paradis de Lorenzo Ghiberti. Plus au nord, on rencontre le palais Medici-Riccardi de Michelozzo et la basilique San Lorenzo de Brunelleschi, avec la sacristie dessinée par Donatello et Michel-Ange.
Plus loin les musées de San Marco renferment des chefs-d'œuvre de Fra Angelico, la Galleria dell'Accademia avec le David de Michel-Ange (1501-1504) et la place de la Santissima Annunziata avec la loggia de l'hôpital des Innocents de Brunelleschi. Le centre politico-culturel de Florence se trouve au sud de la cathédrale, avec le Palazzo Vecchio et la Galleria degli Uffizi. Non loin de là se trouve le musée du Bargello et la basilique de Santa Croce. En traversant le Ponte Vecchio, on rejoint le quartier de l'Oltrarno avec le palais Pitti et les jardins de Boboli. C'est également dans l'Oltrarno que se trouvent la basilique du Santo Spirito de Filippo Brunelleschi et l'église des carmélites, avec les fresques de Masolino, Masaccio et Filippino Lippi. L'imposant palais Strozzi et la basilique Santa Maria Novella, avec sa façade dessinée par Leon Battista Alberti, se trouvent à l'ouest de la cathédrale.
Le centre historique peut être admiré dans sa totalité depuis les collines environnantes, notamment du Piazzale Michelangelo (juste au-dessous de la basilique romane de San Miniato), ou de Fiesole.
Surtout ne pas compter sur deux ou trois jours pour visiter; moi, une semaine de 7 jours a été almplement suffisant!
Le centre historique de Florence est inscrit à l'UNESCO depuis 1982.
mer 25 juil 2012
Quatrième pays (et pas des moindres puisque le plus riche de tous) l'Italie.
Vous n'êtes pas sans savoir ma passion pour ce pays et quand je pense que cela fait 4 ans que je n'y suis pas aller, j'en suis malade! Déjà l'an passé pour me donner du moral et la volontée d'y aller j'avais passé tout le mois de juin 2011 à ne montrer des billets QUE sur l'Italie. Finalemment je n'y étais pas aller fautes de moyens.
Et là, je vais remettre le couvert en vous montrant de l'Italie selon ce qui est inscrit à l'UNESCO. C'est LE pays donnant le plus de sites à la liste inscrite à l'UNESCO de chaque pays: 47 (pour info: Espagne 44, Chine 43, France 38, Allemagne 37... pour ne citer ceux qui me paraissent aussi avoir une longue liste).
Et puis c'est un plaisir de parler de l'Italie, de me replonger dans les souvenirs.
mardi 24 juillet 2012
mar 24 juil 2012
lundi 23 juillet 2012
lun 23 juil 2012
dimanche 22 juillet 2012
dim 22 juil 2012
Superbe muraille de cette petite ville de Lugo. Sa construction a certainement débutée en 260, et c'est terminée, on pense, en 307 après JC.
Le mur, avec ses 85 tours massives, s'étend sur une longueur de 2 266 m, est percé de dix portes. On peut le parcourir à pied sur toute sa longueur, son chemin de ronde fait office de promenade. J'ai fais le tour deux fois... et sans m' assoir comme certains boulets...
La muraille a été déclarée monument national en Espagne en 1921. Elle est inscrite depuis le 30 novembre 2000 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
samedi 21 juillet 2012
sam 21 juil 2012
La colonie d'Augusta Emerita, qui donna naissance à l'actuelle Mérida en Estrémadure, fut fondée par Auguste en 25 av. J.-C. à la fin de la campagne d'Espagne, devenant capitale de la Lusitanie. Les vestiges de la ville antique, complets et bien conservés, comprennent notamment un large pont sur le Guadiana, un amphithéâtre, un théâtre de 6000 places inauguré sous Marcus Vipsanius Agrippa (16 et 15 av JC), un vaste cirque et un remarquable système d'adduction d'eau.
Pour ne serait-ce que vous donner une idée de grandeur de l'amphithéâtre, celui-ci mesure 126 mètres de grand axe, 65 mètres de petit axe et peut accueillir presque 15 000 personnes à travers ses 26 vomitoires, soit proportionnellement plus que le Colisée de Rome!
Eu égard à ce très riche patrimoine, en 1986 fut inauguré à Mérida le Musée national d'art romain, conçu par l'architecte Rafael Moneo.
L'Espagne et Augusta Emerita bénéficièrent de la domination des empereurs espagnols Trajan et Hadrien qui la dotèrent de magnifiques bâtiments publics.
Avec la pacification de la péninsule par les Visigoths qui commença en 457, Mérida devint la capitale de l'une des six provinces, elle connut un développement florissant.
Reprise en 711 par les Maures, Mérida fut reconquise par les chrétiens en 1230.
L'ensemble archéologique de Mérida est inscrit au patrimoine de l'humanitée depuis 1993.
Et voilà, cela en est finit avec l'Espagne, malheureusement. Tant de choses à voir et si peu vues! Cela n'en est que partie remise pour les années futures à venir.
vendredi 20 juillet 2012
ven 20 juil 2012
Conquise par les Carthaginois au IIIe siècle av. J.-C., puis ville romaine, Salamanque passa ensuite sous la domination des Maures jusqu'au XIe siècle. Son université (fondée par Alphonse IX de León en 1218), l'une des plus anciennes d'Europe, a atteint son apogée durant l'âge d'or de Salamanque. Le centre historique de la ville renferme d'importants monuments romans, gothiques, mauresques, Renaissance et baroques. La Plaza Mayor, avec ses galeries et ses arcades, est particulièrement imposante.
L'université est un bâtiment d'un travail architectural fantastique, sa façade est de style plateresque. Dans son portail apparaît un motif particulier : une tête de mort surmontée « la grenouille cachée » (signe laissé par le dernier restaurateur, en fait il s'agit d'un crapaud), voulant symboliser le péché de luxure puni après la mort.
La Plaza Mayor est la place centrale et le cœur de la ville. De forme trapézoidale, c'est son monument le plus caractéristique.
La Plaza Mayor a été construite par Philippe V d'Espagne entre 1729 et 1755 pour récompenser la ville de sa fidélité pendant la guerre de Succession d'Espagne. Elle est presque entièrement due aux frères Alberto et Nicolas Churriguera. De style baroque, son pourtour est agrémenté de galeries avec des arcs en plein cintre. Des médaillons à l'effigie de personnages célèbres tels que les Rois catholiques, Christophe Colomb, Miguel de Cervantes, Le Cid, Francisco Franco, sont visibles sur l'ensemble des arcades.
Elle est le point de convergence des étudiants, notamment pour manifester leur joie après les examens.
La vieille ville de Salamanque est inscrite à l'UNESCO depuis 1988.
jeudi 19 juillet 2012
jeu 19 juil 2012
Le groupe de bâtiments historiques comprenant la Cathédrale/Giralda, l'Alcázar et l'Archivo de Indias, constitue un remarquable témoignage des grandes périodes de l'histoire urbaine de la ville (islamique, chrétienne et l'histoire de Séville avec ses associations avec le Nouveau Monde), tout en étant le symbole d'une cité qui est devenue la capitale du commerce avec les Indes pendant deux siècles - époque durant laquelle Séville fut le pivot de la monarchie Espagnole et joua un rôle majeur dans la colonisation de l'Amérique latine suite à sa découverte par Colomb.
La Giralda constitue une réalisation artistique unique, un chef-d'œuvre de l'architecture almohade. L'immense cathédrale à cinq nefs qui a remplacé la mosquée est le plus grand édifice gothique d'Europe. La Giralda a influencé la construction de nombreuses tours en Espagne et, après la conquête, en Amérique.
L'Alcázar est un autre monument qui conserve l'intégrité des phases des diverses périodes de sa construction. Les salles, patios et jardins du palais almohade original sont conservés dans leur état d'origine.
Le troisième monument inclus dans la proposition d'inscription, la Lonja, située entre la Cathédrale et l'Alcazar, n'est pas comme ces deux premiers le produit de civilisations rivales et d'époques successives.
Pour contrôler le commerce avec les colonies d'Amérique, Philippe II décida la construction d'une nouvelle "Casa de Contratacion" dont les plans furent exécutés par Juan de Herrera, son architecte favori. Cette bourse devait succéder a un établissement analogue, installé depuis 1503 dans les dépendances de l'Alcazar. Le palais dessiné par Herrera s'éleva, dans le style sévère affectionné par l'architecte de l'Escurial, de 1583 à 1598 mais, même après les derniers travaux de 1649, la "Casa de Contratacion" n'occupa jamais le siège prévu. Après diverses affectations temporaires, la Lonja devint en 1784 l'Archivo general de Indias et abrita à partir de 1790 toutes les collections historiques et diplomatiques relatives aux colonies d'Amérique. »
Sur la photo ci-dessus, l'archive générale des indes est le bâtiment au centre... Celui sur la droite est la Giralda.
Chacun des trois bâtiments reflète clairement ses histoires architecturales et évoque leur rôle dans "l'Âge d'Or" Espagnol en termes de pouvoir ecclésiastique, de souveraineté royale et de la puissance commerciale que l'Espagne avait acquise à travers ses colonies dans le Nouveau Monde.
La Cathédrale, l'Alcázar et l'Archivo de Indias de Séville sont inscrits à l'UNESCO depuis 1987.
mercredi 18 juillet 2012
mer 18 juil 2012
Cáceres est l’une des cités d’Espagne où l’on retrouve le mieux le cachet des temps anciens.
Située à l'intérieur d’une enceinte almohade du XIIe siècle, hérissée de tours, la vieille ville regroupe de nombreux monuments (surtout des demeures d’hidalgos) offrant un mélange de styles islamique, roman, gothique et Renaissance.
Ce quartier regroupe, à l'intérieur de ses murailles arabes défendues par des tours, un ensemble de maisons seigneuriales gothiques et Renaissance, unique en Espagne par son homogénéité. Les maisons nobles élevées aux XVe et XVIe siècles, présentent des façades lisses et ocre, sans décoration surabondante, à l'image de leurs propriétaires, ces chevaliers rudes et fiers, les Ulloa, Ovando ou Saavedra, qui gagnaient à lutter contre l'infidèle (Maure ou indien d'Amérique) plus de prestige que de richesse.
L'Arco de la Estrella ouvre l'accès à la ville intra-muros. Cette entrée, œuvre de Manuel de Lara Churriguera, fut construite au XVIIIe siècle pour remplacer l'ancienne Puerta Nueva, qui datait du Moyen Âge. Aux cotés de cette porte d'entrée se trouve la Torre de Bujaco, la tour la plus célèbre des trente tours d'origine Mauresques se trouvant dans la ville intra-muros.
La vieille ville de Cáceres est au Patrimoine mondial de l'Humanité de l'UNESCO depuis 1986.
mer 18 juil 2012
Troisième pays à avoir les honneurs d'une énumération de ce que j'ai déjà vu et qui est inscrit au patrimoine de l'humanitée: l'Espagne.
Lorsque je visionne la liste de ce pays, je suis bien trop loin d'en avoir vu ne serait-ce que le dizième! Malheureusement. Il faut dire que ce pays est celui de tous que j'aurais le moins vu de choses. Malheureusement. Tous les espoirs d'en voir beaucoup plus sont permis, heureusement.
Bonne semaine Espagnole, les enfants.
mardi 17 juillet 2012
mar 17 juil 2012
lundi 16 juillet 2012
lun 16 juil 2012
dimanche 15 juillet 2012
dim 15 juil 2012
samedi 14 juillet 2012
sam 14 juil 2012
Un 14 juillet tombant un samedi, n'est-ce pas gaspiller une journée de repos? Et l'an prochain ce sera un dimanche! Double zut!
Alors rien à voir, ma photo du jour. C'est du Porto de la maison Vasconcelos.
Situé sur les bords du fleuve Douro, à Vila Nova de Gaia, les caves du Porto Vasconcelos se visitent. Un guide (parfaitement francophone) raconte l'histoire du vin de Porto et plus particulièrement, celui de sa maison. Après la visite au milieu de très grands tonneaux, comme toujours dans ce genre d'endroit, il est possible d'aller en salle en vue de gouter quelques portos (rouges, blancs et rosés) ayant différents ages.
Le but ultime de cette dégustation est de vous faire repartir avec quelques bouteilles mais c'est pas grave si vous prenez rien. La dégustation est incluse dans le billet d'entrée.
La photo peut être trompeuse car on pourrait croire que le guide me sert à moi un verre de Porto alors que comme vous le savez, j'exècre cette boisson!!! J'ai souvenir d'en avoir bu quand j'étais très jeune enfant puis vers les 7 ou 8 ans plus rien du tout! Et ça fait presque 35 ans que je n'en boit plus! L'odeur me répulse aussi! Alors vous me diriez ce qu'il me prends de visiter pareil endroit!?! Et vous n'auriez pas tord. Surtout que je n'en suis pas à ma première cave de Porto (voir celle de Ferreira) et même qu'en Andalousie je me suis fait une cave de Xérès (voir celle de Gonzales Buyass).
Je visite ce genre d'endroit pour son histoire avec un grand H, plus que pour la boisson en elle même...
vendredi 13 juillet 2012
ven 13 juil 2012
Ce rayon de soleil donnant l'impresion d'illuminer la statue de la Vierge. Je ne pouvais louper le coche et clic-clac: une photo.
Vue la trace au sol, le rayon devait sûrement donner sur les dalles en pierres, mais bon, d'où je me postais, j'avais une autre impression. Chrétien mais guère pratiquant, je m'amuse de voir ce petit détail que je détourne à ma façon en misant sur la Vierge plutôt que les dalles en pierres. Un vrai chrétien, mais vrai de vrai, il y verrait un "miracle"!
Nous sommes dans la cathédrale St Jean à Lyon et cette Vierge est en fait Sainte Thérèse de l'enfant Jésus.
jeudi 12 juillet 2012
jeu 12 juil 2012
Disposé symétriquement le long de la Tamise, l’ensemble XVIIe siècle composé de Queen’s House, une partie du Palais royal de Greenwich, l’ensemble palatial Baroque de l’hôpital royal pour les marins et l’Observatoire royal fondé en 1675 entouré par le Parc royal réalisé dans les années 1660 par André Le Nôtre, reflètent deux siècles de mécénat royal et représentent l’apogée des travaux des architectes Inigo Jones et Christopher Wren, et plus largement de l’architecture européenne à une époque importante de son évolution.
L’ensemble symbolise également les projets artistiques et scientifiques anglais des XVIIe et XVIIIe siècles.
Greenwich est connue de tout le monde. Les travaux d’astronomie menés à l’Observatoire royal permirent de mesurer exactement le mouvement de la terre et contribuèrent au développement de la navigation mondiale. L’Observatoire est aujourd’hui le point de départ du système des fuseaux horaires et la mesure de la longitude autour du globe. Au sol, sous cette grosse montre supposée donner l'heure plus qu'exacte se trouve le méridien et je vous le donne en 1000: de Greenwich!
Maritime Greenwich est inscrit à l'UNESCO depuis 1997.
C'est avec ce dernier billet que j'en ai fini avec le Royaume Unis. La semaine prochaine je pars vers un autre pays voir ses merveilles et vous les montrer...
mercredi 11 juillet 2012
mer 11 juil 2012
Après la parenthèse amusante de Rosa, hier, nous restons encore une semaine de plus sur Londres, du moins au Royaume-Uni et toujours en rapport avec ces sites inscrits à l'UNESCO.
Alors je vais faire un petit crochet à mes énumérations en évoquant un site que je n'ai jamais visité... en 6 fois que j'ai traversé la Manche, à savoir la Tour de Londres. Ma dernière fois en UK c'était en 2010 et j'avais prévue de visiter les lieux. Sauf que comme vous pouvez le voir, en aout 2010 une partie de l'édifice était caché par des échafaudages et ça m'a considérablement refroidis. Au final ce sera pour une autre prochaine fois sur terre UK-ienne.
Alors dois-je en parler ou non? Dois-je parler d'un truc que je n'ai pas vue? Vous me diriez que je pousse le bouchon un peu loin dans la mesure où les échafaudages ne sont pas partout mais bon, on ne se fait pas!!!!!
La Tour de Londres est sinscrit à l'UNESCO depuis 1988.
mardi 10 juillet 2012
mar 10 juil 2012
lundi 9 juillet 2012
lun 9 juil 2012
dimanche 8 juillet 2012
dim 8 juil 2012
samedi 7 juillet 2012
sam 7 juil 2012
Les 3 bâtiments religieux que sont l’église Saint-Martin (la plus ancienne d'Angleterre), les ruines de l’abbaye Saint-Augustin et la cathédrale Christ Church illustrent ensemble les jalons de l’histoire de la chrétienté en Grande-Bretagne. Ils incarnent la réintroduction du Christianisme dans le sud de la Grande-Bretagne par saint Augustin, commençant à l’église Saint-Martin.
Canterbury fut (et l'est encore) un lieu de pèlerinage de saint Augustin et des premiers saints qui gagna principalement en importance après le meurtre (en 1170) et la canonisation de l’archevêque Thomas Becket, dont le tombeau attire les pèlerins de toute l’Europe.
Ce qui me chagrine dans cette affaire c'est que je n'ai pas put trouver l'église St Martin alors que je suis sûre de moi que je devais être pas loin!!! Elle se trouve en plus non loin des ruines de l'abbaye Saint-Augustin. Ce sera pour une autre occasion d'y aller!
La Cathédrale, l'abbaye Saint-Augustin et l'église Saint-Martin sont inscrits à l'unesco depuis 1988.
vendredi 6 juillet 2012
ven 6 juil 2012
Bath reflète deux grandes époques de l'histoire de l'humanité, les époques romaine et géorgienne.
Le complexe thermal (situés autour des sources chaudes au cœur de la cité romaine d'Aquae Sulis, qui jouent un rôle primordial dans le développement de la ville depuis cette époque lointaine) compte parmi les vestiges romains les plus célèbres et les plus importants au nord des Alpes et il marque le début de l'histoire de Bath en tant que ville thermale.
La ville est une illustration des principaux thèmes de la ville néo-classique du XVIIIe siècle, les proportions monumentales des maisons ordinaires, l'intégration du paysage et de la ville, la création d'espaces urbains reliés entre eux, conçus et développés pour répondre à la popularité grandissante de Bath comme haut lieu de la société et station thermale et pour offrir un cadre pittoresque et des installations appropriées aux curistes et autres visiteurs.
Si elle connût son apogée aux temps des romains et à l'époque géorgienne, Bath garde les traces d'un développement continu durant deux millénaires, avec son impressionnante église abbatiale du Moyen Âge côtoyant le temple et les thermes romains, au cœur de la ville moderne qui est aussi celle du XVIIIe siècle.
Bath est inscrit à l'UNESCO depuis 1987.
jeudi 5 juillet 2012
jeu 5 juil 2012
Sur l'une des nombreuses photos que j'ai pris en haut de la grande roue se trouvant sur les bords de la Tamise on voit bien les 3 édifices dont je parle dans ce billet: au premier plan le Palais de Westminster avec le fameux Gros Ben donnant l'heure, l'abbaye de Westminster dont la physionomie architecturale n'est pas si différente de nos cathédrales Françaises et entre ces deux bâtiments, l'église Sainte Marguerite avec son clocher et sa nef.
Le Palais de Westminster est l'un des plus importants monuments de l'architecture néogothique. Le Westminster Hall est un monument-clé du style perpendiculaire et son admirable toiture de chêne est l'une des grandes réussites de la construction médiévale en bois. Le Palais a été le théâtre de grands événements historiques qui ont formé la nation anglaise et britannique.
Les fondations de l'Abbaye de Westminster dateraient de 616 après JC. Dédié à St Pierre, l'abbatiale est consacrée le 28 décembre 1065. L'Angleterre est envahie par le duc de Normandie Guillaume le Conquérant et celui-ci se fait couronner roi d'Angleterre dans l'abbatiale le 25 décembre 1066. Il sera le premier d'une longue série de rois à être systématiquement couronnés dans cette Abbaye. L'abbaye est aussi une nécropole puisque plus de 3 000 personnes sont également inhumées dans l'église dont 16 ou 17 monarques britanniques.
L'église Sainte Marguerite est dédiée à Marguerite d'Antioche (une vierge martyre du IVe siècle). Aujourd'hui, il ne reste pratiquement plus rien de l’édifice d’origine. Entièrement reconstruit entre 1482 et 1523 par Robert Stowell, la tour nord-est a, elle aussi, été reconstruite par John James en 1734, l'intérieur a été restauré par Sir George Gilbert Scott in 1877 puis au 19ème siècle il a été rénové dans un style plutôt gothique.
Le Palais de Westminster, l'abbaye de Westminster et l'église Sainte-Marguerite sont inscrits à l'Unesco depuis 1987.
mercredi 4 juillet 2012
mer 4 juil 2012
Le bien comprend deux zones géologiques crayeuses du sud de la Grande-Bretagne dans lesquelles furent édifiés des ensembles de monuments cérémoniels et funéraires et des sites associés au Néolithique et à l’âge du bronze. Chaque zone contient un cercle de mégalithes et de nombreux autres monuments. Stonehenge comprend l’Avenue, les Cursus, Durrington Walls, Woodhenge et la plus grande concentration de tumuli en Grande-Bretagne. Avebury comprend Windmill Hill, le tumulus long de West Kennet, le sanctuaire, Silbury Hill, les Avenues de West Kennet et Beckhampton, les palissades de West Kennet et de grands tumuli.
Vu depuis l'étranger, je ne connais que Stonhenge et ce fut une découverte en aout 2010 que Avebury, ne m'attendant pas à voir pareil site.
Alors Stonehenge est un monument incroyable de par ses caractéristiques. Deux types différents de pierres (pierre bleue et Sarsen) furent employées, leurs dimensions (la plus grande pèse plus de 40 tonnes), et les distances sur lesquelles elles ont été transportées (jusqu’à 240 km). Les hommes préhistoriques savaient y faire!!!
Le site de Avebury fut construit et modifié les siècles suivants de 2850 à 2200 av JC.
Le cercle de pierre préhistorique d'Avebury est le plus vaste du monde. Le monument est constitué d’un énorme talus longé par un fossé de 1,3 km de circonférence à l’intérieur duquel se dressent 180 pierres levées, d’extraction locale, formant le cercle extérieur et deux plus petits cercles intérieurs.
Stonehenge, Avebury et sites associés sont inscrits au patrimoine de l'UNESCO depuis 1986.
mer 4 juil 2012
Après avoir passé quelques semaines à recencer les sites inscrits à l'UNESCO au Portugal, je continue maintenant ma lancée en allant du coté de la Grande Bretagne. Cette liste comprends le Royaume-Uni de Grande Bretagne mais aussi l'Irlande du Nord (mais pas l'Ecosse, c'est étrange). Alors comme de toute façon je n'ai fait que la Grande Bretagne, on n'ira ni du coté de l'Irlande du Nord ni de l'Ecosse.
Donc je vais m'essayer de recenser tout ce que j'ai put voir en Grande Bretagne et qui est inscrit au patrimoine mondiale de l'humanitée. Vous verrez, ça va aller vite, trop vite à mon goût mais dans un sens, c'est bon signe, cela me donnera l'occasion de retourner à nouveau dans ce pays...
mardi 3 juillet 2012
mar 3 juil 2012
lundi 2 juillet 2012
lun 2 juil 2012
dimanche 1 juillet 2012
dim 1 juil 2012
C'est tout en début d'après midi que je suis arrivé du coté de Fourvière. Première constatation: pas de fans à attendre devant l'entrée!!!
Le site étant ouvert, je suis monté voir les théatres Romains de Fourvière et de voir toute l'installation pour le concert de la soirée et les techniciens s'affairer aux derniers préparatifs. Et c'est là, sur les gradins, qu'une autre personne en m'entendant parler avec ma soeur Cécilia nous dit qu'il y a déjà du monde qui attend vers l'entrée. En effet, une petite quinzaine de personnes attendent à l'ombre que font des arbres!!! On est fin juin et la météo donnait hier 31° sur Lyon, alors l'ombre est un détail non négligeable.
Le début du concert à 21h, l'ouverture des portes à 19h30, il était 14h30 lorsque je me suis mis dans cette queue!
L'après midi est passé TRES vite car je l'ai passé à écouter tout ce monde plus fan que moi et qui a déjà été la voir dans des concerts que j'ai pas fait (même si ce soir sera la 5ème fois que je vois Bjork en concert). Dans cette écoute j'ai appris que cela faisait 10 ans que "Les nuits de Fourvière" demandait à Bjork de venir et qu'elle a toujours décliné l'offre.
Il est 19h30. Ouverture des portes et juste avant ça, une petite formalité: vérification des sacs et fouillage au corps pour tout le monde (raison pour laquelle je n'ai pris aucunes photos du concert). Le fouillage au corps, même quand je prends l'avion j'y ais pas droit! Mais bon, pour voir Bjork, j'accepterais TOUT!
Passons au concert. Je me place face au centre de la scène, au premier rang, si bien que l'artiste est à 3 mètres de moi sur ma droite durant (presque) TOUT le concert! Si en 2003 je me trouvais super bien placé à Berçy (2ème rang face à la scène) ici c'est encore plus bien placé! Un total bonheur!!!!!!!!
Et ça commence: les 13 choristes arrivent sur la scène sous les cris et applaudissements des spectateurs et entamment les premières notes de Cosmogony. Puis arrive celle que tout le monde attend et qui, face à son micro commence la chanson. Elle, avec une robe moulante bleue (raccord avec le bleu vestimentaire et maquillage de certaines choristes) mais quelques flonflons rendent un peu de volume à cette robe. Et surtout une perruque digne d'une mamie Nova.
Bref le concert commence avec une chanson calme et faite de sonorités plus vocales que de boum-boum! Amusant qu'à un moment de Cosmogony il y ait une marche au tambour que tout le monde, choristes et Bjork marche sur place au pas cadencé... quand on s'y attends pas...
Dès les premières notes de musique j'ai pensé au premier problème récent de gorge qu'avait eu la miss et de me dire qu'elle a super bien chanté, donnant tout de sa voix et ça a plut à beaucoup de monde.
Ensuite viennent Hunter (que Cécilia voulait surtout entendre) puis Thunderblot et je dois dire que vraiment c'est ma préféré! Et sur scène, ça donne merveilleusement bien.
De Biophilia je dois avouer que j'accroche difficilement sur 2 titres Moon et Hollow, 2 titres qu'elle a chanté hier soir et, surement que ça doit être parce que c'est en live et l'ambiance, je les ais aimé sur le coup.
Dans le désorde il y a eu Hidden place, Crystaline, Virus, All is full of love (que j'adore magnifiquement entendre puisque l'un de mes titres de tout ses albums confondus, préféré!), Heirloom, Joga, Mutual Core, Pagan poetry, Pluto et Nattura. Nattura m'a scotché: lorsque j'ai entendu (et reconnu) les premières notes de cette chanson je me suis mis à penser que c'est le genre de chanson d'elle difficile à retranscrire en concert car c'est une chanson plus de sonoritées que chantée.
Comme toujours elle est repartie une première fois avec toute son équipe de scène en backstage pour mieux revenir sous les applaudissements et finir avec deux titres que sont One day et Declare independance.
C'est sur ce dernier titre que la miss s'en est aller pour de bon sous nos "higher, higher" et que les coussins se sont mis à pleuvoir de partout vers PARTOUT et ça, c'était trop drôle, dans le bons sens. C'était si spectaculaire que certaines choristes de Bjork, qui pourtant étaient partie en backstage en suivant la chanteuse islandaise, sont revenus voir ce spectacle insolite alors que ça pleuvait de partout.
J'avais entendu que c'était une tradition aux Nuits de Fourvière, ce lancé de coussins et que cette tradition n'était pas dites aux artistes puisqu'à la fin, les spectateurs lancent les coussins en direction de la scène pour manifester leurs plaisir d'avoir assisté à un grand spectacle. Et les artistes surpris de recevoir une avalanche de coussins!
Donc un mélange de titres calmes et d'autres plus rythmés. Bref, que du bonheur. Alors j'ai pas trop d'objectivitée pour parler vraiment de chaque titre puisque j'ai tout aimé... même ce qui devait être minimum syndical. Je sais que je me souviendrais de petits détails et qui touchent plus la foule que Bjork elle même.
De ce concert je n'ai pas put prendre de photos mais je me suis rabattu sur l'i-phone de Cécilia mais les 6 photos prises sont toutes ratées! Elles ressortent toutes floutées! Comme celle qui suit:
La foule, parlons-en. J'étais dans la fosse et autour de moi c'était le délire... mais dans le bon sens (même si ça criait beaucoup, mais c'est normal). Il y a eu du bon comme les je t'aime à son encontre et du moins bon (curieusement c'est ce que je me souviendrai longtemps) comme ces volutes de fumée de cigarette que j'ai vu de part 2 fois sur ma droite aller vers la scène, vers Bjork et quand on sait son problème de gorge récent, il y a des gens qui doivent pas savoir ce que c'est que la tabagisme passif! Ok, il y a eu des effets pyrotechniques qui ont plongés la scène (et nous, au premier rang) dans la fumée mais quand même, c'est pas pareil. Parait qu'il y avait 2400 personnes à l'entendre et même si c'est un grand nombre, ce n'est rien en comparaison des 11 000 de Nimes. Je savais que ça allait être plus intimiste et la miss a dût apprécier la chose. Elle nous gratifiait de quelques sourires pendant qu'elle chantait et probablement à quelques uns dans la foule qui devaient l'amuser (j'étais mal placé pour voir derrière moi). Sur One day elle a but une gorgée de ce qui me semblait être du vin et comme la Bourgogne n'est pas loin et que je suis Bourguignon...
Bref un concert inoubliable et je l'espère, pour beaucoup d'entre nous...
A retenir: Bjork, les chansons Thunderbolt, All is full of love et Nattura, les coussins voltigeurs et moi super bien placé!
dim 1 juil 2012