Instants d'années (1)

vendredi 31 octobre 2008

Venant de visiter une cave (se trouvant à Vila Nova de Gaia) d'un des vins de Porto les plus connus, et s'en allant vers les rives du Douro pour rejoindre la ville de Porto se trouvant de l'autre coté, on est arrivé par la petite ruelle en haut de ces marches d'escalier. On, c'était moi et les personnes Françaises qui venaient à Porto pour leur première fois.

Maisons Portugaises.

Et oui, pour une fois je jouais le doux rôle de guide... et c'était pas pour me déplaire.

jeudi 30 octobre 2008

Ferreira ou une autre enseigne c'est du kif-kif bouricot pour moi.

Ferreira est l'une des enseignes de vin de Porto les plus célèbres. Il y en a un paquet d'autres, que ce soit Sandeman, Grahams, Calem, Taylor, etc. Elles ont toutes leurs enseignes lumineuses au dessus des toits de leurs caves respectives, du coté de Vila Nova de Gaia.

L'extincteur rouge ne date que de ce siècle, lui!

Moi qui excècre le vin dans toutes ses formes, cette journée d'avril 2004 j'en ai visité 2 caves avec un couple d'amis Français. Il y a eu Ferreira puis Sandeman. En 2007 j'avais fait une variante en visitant une cave de Xérès à Jerez de la Frontera (Espagne).

Visiter des caves pluricentenaires ça a quand même de la gueule. Ces tonneaux contenant ce que d'autres personnes que moi boivent et qui aimeraient surement avoir ça chez eux! Ces bouteilles empilées (et bien gardées) dont l'une seule vaut le prix de plus que ma paye. Je sais que cela en laisse rêveur.

Même si ce ne sont pas du tout mon domaine, que ce soit une cathédrale ou une cave, dès que c'est historique ça m'interesse et je regarde ça religieusement.

Aller à Porto sans visiter une de ces caves (visite guidée avec consommation dudit nectar à la fin du parcours), c'est comme avoir soif en plein Sahara et ne pas aller à l'oasis du coin se désaltérer.

mercredi 29 octobre 2008

A Turin, le Mole Antonelliana se voit de loin et où que l'on soit en ville (sauf quand un batiment vous en cache la vue).

Au départ, la communautée Juive de la ville voulait faire une synagogue. La réalisation fut demandée à Alessandro Antonelli et les travaux commencèrent en 1863. Sauf qu'en 1869 les fonds furent insuffisant et le batiment resta inachevé. L'architecte demanda à Victor-Emmanuel II de racheter le projet (en 1873).

Attention les gars, tel Clint je vais balancer la bonne réponse en machouillant mon cigarillo.

Le batiment n'a jamais été une synagogue. Ses 3200m2 sont consacrés à un extraordinaire musée du Cinéma. Sur plusieurs niveaux on revisite les débuts du cinéma alors que l'on était encore loin d'images qui bougent, on rentre dans des décors de cinéma (un laboratoire, un saloon, un appartement, un bar, etc etc). Le dernier étage est un étalage d'affiches de films, qu'ils soient originaux dans leurs langues respectives ou dans sa version Italienne. Des extraits de films sont projetés sur grand écran (genre grosse télé) ou sur des téléviseurs.

Ma photo du jour est un exemple du saloon où est projeté un extrait d'un western spagettie avec mon ami Clint Eastwood, cigarillo au bec... juste avant de donner LA réplique qui tue (sur Cinécritiques).

mardi 28 octobre 2008

Voila la photo prise pres du Brooklyn Bridge a New York. Ca c'est une photo de pro! J'espere tu apprendras quelquechose! A plus. New York

lundi 27 octobre 2008

Pourtant c'est bien indiqué...

Vendôme est une ville qui se trouve dans le Vendômois. Des fois, des Lapalissades, ça fait du bien d'en écrire... non?

Vendôme se trouve dans le Loir-et-Cher (41), à 30 kilomètres de Blois, non loin d'Orléans.

Ils sont 17707 habitants plus ou moins autour de cette église faisant partie de l'ancienne Abbaye de la Trinité. J'en reviendrais dans plein d'autres billets sur le clocher du XII alors que l'église est du XIV. Mais bon, il n'y a pas que ça dans cette petite ville. Vous verrez.

dimanche 26 octobre 2008

Comme d'un coup d'aile, me voilà sur le Monte dei Cappuccini avec une vue (trois étoiles sur les guides) sur Turin et le Mole Antonelliana (d'où j'étais quelques instants auparavant).

Le coule toujours de source dans Turin et l'on revoit sous un autre angle la Piazza Vittorio Veneto (je ne sais toujours pas qui t'es, toi).

Difficile de voir les Alpes sous cette brume.

Turin est une grande ville et depuis ses hauteurs, impossible d'en voir le bout. Il y en a quand même pour 906 600 habitants à caser dans ces ch'tites maisons.

Une très grande ville au passé glorieux, des trésors méconnus, des musées à visiter. Il est vrai que les touristes pourraient la croire industrielle (merci Fiat), pas interessante pour un sou, pas assez exotique. Détrompe toi touriste, tu ne sais pas ce que tu manques. En plus c'est pas loin de la France (la raison du pourquoi de ma visite dans cette ville en mars dernier).

samedi 25 octobre 2008

Une vue d'une partie de la ville de Turin vers le sud-est.

Je vais rentrer dans le domaine explicatif pour expliquer d'une manière simple et éclairer d'une explication sans bornes et sans limites, dans la mesure de mes possibilitées Portugo-Françaises ce qu'il est explicitement visible sur cette photo... explicite!

( Manu, t'as bu? )

Turin, ville moderne.

Depuis les hauteurs du Mole Antonelliana je peux vous montrer 4 trucs. Au tout premier plan la Piazza Vittorio Veneto (t'es qui, toi?), un vaste rectangle s'ouvrant sur le (le second truc) avec des magasins de part et d'autres sous ses arcades. Juste de l'autre coté du Pô l'église de la Sainte-Mère-de-Dieu s'inspirant du Panthéon de Rome (truc number 3). Enfin (au centre de la photo et en trouco nouméro cinco) sur le Monte dei Cappuccini une autre église sous coupole, l'église Santa Maria del Monte.

(Manu, chuis sûr que t'as bu!)

vendredi 24 octobre 2008

D'une rive à l'autre.

Nous sommes à Nevers, dans le département de la Nièvre (58). Nevers est la troisième agglomération de la Bourgogne (ce que je ne savais pas... mais il y a tant de choses que je ne sais pas!).

La Loire, le Pont de Loire et enfin la cathédrale St-Cyr-et-Ste-Julitte. A la toute droite on devine (aussi) les tours du palais ducal.

La Loire... depuis toujours là. Le Pont de Loire... bien des années plus tard. La cathédrale... XIème jusqu'en 1528. Le palais ducal... un peu plus tôt, 1464 à 1565.

jeudi 23 octobre 2008

Je ne te marquerais que l'heure les beaux jours.

Mais (z'à) quelle heure peut-il bien naitre!

Finalement ça se tient et c'est une véritée véridiquement toute vraie! Un cadran solaire indique plus facilement l'heure les jours de soleil que ceux nuageux. Tu parles d'une Lapalissade, manu!

Est ce que ce cadran solaire est vraiment d'époque? J'veux dire par là que le village est des années 1400-1500 et qu'il y a ce cadran solaire donnant sur la Place de la Halle, le centre du village. Le jour d'été où je suis aller à Pérouges il y avait un ciel lumineusement bleu... et le débord du toit cache l'heure!!!! Rhô c'est ballot!

mercredi 22 octobre 2008

Oulà! Pour contrebalancer la photo d'hier de Rosa (hors saison) je propose une autre... de moi même (toujours hors saison). C'est bien Rosa: tu m'obliges à poster des photos histoire de souffler le froid puis le chaud sur mon blog.

C'est à Sanlucar de Barrameda que se trouve l'embouchure du fleuve Guadalquivir (670 km de long) qui s'en vient auparavant de traverser Séville et un peu plus en amont, Cordoue. Beaucoup plus loin, il prend naissance dans la Sierra de Cazola à 1600 mètres d'altitude.

Ma photo est une vue vers le nord (l'atlantique se trouve sur la gauche), une vue vers le parc national de Doñana.

L'été, ma saison préférée.

Pensont à l'été chaud, relaxant, festif, farnientesque, siestif, apéritif, sablonneux, ensoleillé, voyagif, plutôt qu'un hiver froid, neigeux, gelant...

mardi 21 octobre 2008

L'hiver s'approche a grand pas. Les arbres ont perdu la majorite de leurs feuilles et bientot la neige! Prise a Londres dans un petit parc pas loin de chez moi. Il commence a faire froid ici et les jours sont si courts... pffffff

Bientôt un temps de saison.

lundi 20 octobre 2008

Maintenant tout le monde n'est pas sans savoir que pour faire plaisir à cette zora, qui vient de temps en temps sur mon blog, il suffit de lui offrir un fer à repasser. Elle collectionne les fers à repasser. Bon, comme vous vous en doutez, ce ne sont pas les fers que l'on trouve dans les magasins spécialisés ou les grandes surfaces, mais ceux plus anciens, ceux qui ont fait leurs temps du temps où, justement, la fée électricitée n'existait pas encore.

N'importe lequel et c'est bon!

Il se trouve que nous sommes le 20 octobre et que la miss fait un an de plus que l'an passé. Et oui: c'est son anniversaire. Alors ce qui est nul bien c'est que l'on a pas trop à se casser la tête pour lui trouver un cadeau! Un fer à repasser et le tour est joué; de plus, vous ferez une heureuse. Elle est pas belle la vie?

Qu'ils soient en métal ou en porcelaine, tant que c'est un fer, ça passe. Mais des fois, en avoir près de 100 (dixit Zora justement), est ce que la santée mentale est là? Il faut parfois dire STOP! Mais jusqu'où ira t-elle dans sa folie fer à repasseresque???

dimanche 19 octobre 2008

Tu es béni, mon fils.

Sant'Anastasia est la plus grande église gothique de Vérone. Elle fut bâtie en deux temps (1290-1323 ; 1423-1481).

A l'entrée de l'église se trouve deux bénitiers soutenus par deux figures humaines accroupies (XVI), très populaires à Vérone. Les bossus de Sant'Anastasia sont aussi surnommés Gobbi.

Pas d'bol pour moi: j'en ai vu qu'un de ces 2 Gobbis puisque celui de gauche était sous les échafaudages!

samedi 18 octobre 2008

Et oui, Flo, j'ai bien une photo de ces coiffes médiévales.

Pour qui n'aurais pas suivi les épisodes précédents, je suis toujours à Sines, un village Portugais d'Algarve.

Je suis toujours en 2005 lorsqu'une foire médiévale s'y est tenue cette année là. Et j'y étais. Un bond dans le temps en arrière de quelques 500 à 600 ans plus tôts. Dépaysant et enrichissant de voir des choses qui n'existent plus... ou alors dans des musées. Comme ces coiffes, justement.

Bien s'appliquer comme on le faisait antan.

Alors Flo, heureuse?

PS: ainsi clôt cette semaine marché de tous types et de tous pays... du moins ceux que je connais.

vendredi 17 octobre 2008

Du 12 au 15 aout 2005 s'est tenue à Sines une foire médiévale.

Les épices de la passion.

Les vendeurs étaient habillés façon moyen-age et qui le voulait, pouvait l'être aussi (moyennant finances). Ce qui se vendait faisait aussi moyen-age, que ce soit des harnais de chevaux, des coiffes joliment décorées, des bibelos pour habiller l'intérieur d'une maison, etc etc.

Quelques animaux aussi en vente.

Et ce stand d'épices. Alors j'arrive à lire le tout premier qui empêche la chute des cheveux (j'imagine que c'est ça... mais de toute façon j'en ai pas besoin car je les ais tous, mes cheveux! Quoi).

Un autre que j'arrive à lire sur la tension nerveuse.

Je dis épices mais est ce vraiment des épices ou une quelconque médecine parallèle? Quoi qu'il en est je me souviens m'être amusé à lire les différents remèdes (je suis si parfait que j'ai rien acheté, n'en ayant nul besoin. Quoi???). Alors si je dis épices c'est que je me souviens aussi de cette senteur dans l'air ambiant, de quoi vous titiller les narines...

jeudi 16 octobre 2008

Où aller?

C'était un samedi. De là à vous dire si c'est tous les samedis, ni vous Nimois ne pouvez l'être sûr à 100%.

Vous me direz par contre que c'est normal mais c'est quand même bien foutu les marchés: ça se tient généralement en centre ville et (re)généralement pas loin d'un édifice historique. Ce qui suit n'est que mon explication et ça peut valoir ou non son pesant de cacahuètes mais je dirais que ces marchés-cis se tiennent depuis des siècles à ces endroits, sortes de forums romains où se tenaient toujours la population. Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, même à notre époque où nous allons sur la Lune, on reste ancré dans l'antique.

Bon ok, j'me calme dans des explications foireuses.

La place de la Maison Carrée est lieu du marché de ma photo. Comme nous sommes entre un édifice Romain et un autre de verre consacré à l'Art, les stands ceinturant la Maison Carrée vendent des objets décoratifs, du moins dédiés à l'Art.

mercredi 15 octobre 2008

O mercado dos Lavradores. c'est dans ce batiment que se tient tous les matins le marché (coloré) de Funchal.

Petite rétrospective: la façade du batiment donnant sur la rue. En allant plus loin dans mes billets, il y en a un autre qui montre l'intérieur de la cour intérieur.

Mon billet du jour est une autre vue de ce même intérieur.Des légumes à tous les étages.

mardi 14 octobre 2008

Reste plus qu'à prendre le café-latte.

lundi 13 octobre 2008

Comme c'est jolie... mais est ce réellement fonctionnel?

Ayant passé la journé du jeudi à Barcelos, le marché du jeudi matin l'est en fait toute la journée.

Le marché de Barcelos est l'un des plus grands du portugal, mais définitivement le plus vieux du pays. Ca se comprends quand on pense que le pays est né au début des années 1100 non loin de là, à Guimarães.

Quoi qu'il en est, même si c'est pour ne rien acheter, il faut aller au moins une fois à ce marché qui se tient sur le Campo da Républica, une vaste esplanade située au centre de la ville.

C'est un marché très animé qui joue sur deux tableaux: d'un coté les paysans vendant leurs produits tels que légumes, animaux vivants, etc... et de l'autre coté tout l'artisanat qui déborde largement des frontières régionales (céramique, vannerie, linge de maison, articles en cuir, etc...).

dimanche 12 octobre 2008

Dans les grandes villes que je visite j'essaye toujours d'aller au marché le jour où celui se tient. C'est bien joli de faire le touriste à visiter ce qu'il y a à visiter, que ce soit les églises, palais et autres musées. Mais on est entre touristes et moi j'aime bien me mêler aux locaux qui font du coup leurs emplettes. Une autre façon de voir la ville dans son intérieur domestique ... et avec d'autres yeux.

A Turin, c'est samedi matin. Perlinpinpin! Bon j'arrête de faire le zinzin. Quoi?

Donc le samedi matin se tient à Turin un immense marché sur la Piazza della Repubblica. Rien de bien folichon puisque l'on peut acheter tout ce que l'on peut acheter ailleurs. Evidemment qu'il y a des produits locaux à l'achat. En ce qui me concerne, c'est déambuler au milieu des victuailles que sont fleurs et autres fruits et légumes (je sens que ce que je viens de dire, je vais le répéter toute cette semaine durant).

La rose du matin... à Turin.

Durant une semaine je sens que ça va être la foire sur mon blog. Quelque chose d'incontrolable puisque c'est une foire.

C'est bien ma veine ça: venant de faire mes 3 années d'anciennetées sur le monde virtuel, v'la t'y pas que ça part dans tous les sens... une foire! Bon, je serais pas des fois un peu lourd, répétitif, ennuyeux???

samedi 11 octobre 2008

Dans le reste du pays je ne sais pas trop mais dans ma région qu'est le nord du Portugal, du coté de Porto, les feux d'artifices sont difficilement descriptibles.

Si les mots pour les décrirent sont bien en deçà du visuel, je peux affirmer que je n'en ai jamais vu de pareils en France. Alors oui, je pourrais vous dire que le 31 décembre 1999 j'étais sur le Champs de Mars pour les feux de la Tour Effeil et que c'était inoubliable. Mais c'était pour un évènement spécial (le passage à l'an 2000), et dans une capitale. Dans le cas présent de ma photo, c'est dans le village de quelques centaines d'âmes où je passe tous les ans quelques jours de mes vacances. Un village comme tant d'autres.

Je reconnais quand même que le feux d'artifice en lui même est répétitif, même s'il est spectaculairement mis en valeur dans un paysage valonneux qui permet un vacarme assourdissant.

Presque tous les feux d'artifice au Portugal finissent en apothéose par l'envoie en même temps de plusieurs feux qui explosent en même temps. Et ça ne dure que quelques secondes (3 ou 4) mais tout juste pour déclencher les alarmes des voitures, d'illuminer le ciel comme en plein jour et de donner l'illusion d'un soleil de nuit. Et là je défis quiconque n'ayant jamais vu ça (et le voyant la première fois) de dire que c'est nul. Sachant que les feux d'artifices vont finir de cette manière, on reste toujours sur le cul de cet étalage visuellement sonore.

La photo qui suit n'est pas de moi, mais de l'ami d'une de mes soeurs. Il se trouve que j'étais à leurs cotés mais le résultat de mes photos du même évènement, il est à chier! Je ne suis pas arrivé à ce même résultat! Alors bravo à Damien d'avoir réussis là où je me suis planté platement!

Damien, t'es trop fort!

vendredi 10 octobre 2008

Merci pour ces 3 années avec vous comme compagnons.

jeudi 9 octobre 2008

Et oui, mardi de la semaine dernière, ARTE et la télé Suisse diffusaient en direct depuis une gare Suisse (Zurich) La Traviata. Un opéra de tout ce qu'il y a de plus opéraresque en direct-live au milieu des flots de voyageurs qui préféraient plus prendre leurs trains que de voir les interprètes jouer cet opéra si célèbre.... J'en ai maudit le ciel de ne pas avoir put être sur les lieux.... Tant pis, c'est la vie et la Suisse est si loin, si loin, si loin.... Pendant une semaine ARTE permettait de revoir l'évènement sur internet (avec les sous-titres en Français) mais il n'en est plus.... Alors je me rabats sur Youtube.... Même si j'adore (le mot pour qualifier cet opéra n'existe même pas, tellement je l'adore) même si j'adore (disais-je donc) toute l'oeuvre, je vous mets l'un des deux passages que je n'arrête pas de revoir et revoir (ainsi que de le réécouter sans cesse et sans cesse). C'est 10mn de pur bonheur et j'en pleurerais de ne pas avoir put entendre ça de mes yeux...

mercredi 8 octobre 2008

La Plaza de España dans toute sa splendeur... sa presque splendeur, devrais-je dire puisque l'on en voit les 3/4.

Rien ne se visite de son intérieur mais au moins il est possible de monter au premier mais seulement dans la partie centrale de la rotonde (au bas d'où l'on devine le drapeau Espagnol).

Le ciel bleuté comme horizon.

mardi 7 octobre 2008

L'Embalse de Zahara.

Venant de Grazalema et m'en allant vers Zahara de la sierra. Deux des nombreux villages qui font partie des puéblos brancos. Ces villages sont compris grosso-modo entre Arcos de la Frontera et Ronda. Ca se trouve tout au sud de l'Espagne, en Andalucia.

Sauf que là il n'est pas question de villages mais d'une retenue de barrage.

Sahara mouillé.

lundi 6 octobre 2008

Le même Mont Blanc (Monte Bianco pour les amoureux de la langue de Dante) mais vu du coté Italien.

Nous sommes à Entreves et c'est depuis là que, moyennant finances (c'est ce qui fait avancer le monde, le fric), il est possible de s'approcher à quelques 1000 mètres de haut du sommet de cette partie Européenne, du Mont Blanc. Ce que j'ai fait d'ailleurs. Dois-je dire que l'on monte en téléphérique ou vous vous en doutez? J'aime bien gravir, monter, marcher... mais faut pas déconner, des fois j'ai pas tout le temps devant moi.

Le Mont Blanc en lui même est la petite butte enneigée que l'on devine entre les nuages (et non pas le point le plus haut de ma photo puisque c'est juste un effet d'optique de l'endroit d'où je prends la photo). Comment je le sais? Bah parque je suis monté là haut et qu'il y a une table d'orientation qui donne des explications explicatives des trucs de là haut!

Le Monte Bianco coté pile.

dimanche 5 octobre 2008

Qu'est ce qui est coté Français? Et bien le Mont blanc, bien entendu. A 4807 mètres de là haut la vue doit être belle... faire froid, mais on doit voir loin.

Je ne suis pas un maitre quant à savoir lequel de ces sommets EST le Mont Blanc, mais ma main au feu que c'est le sommet enneigé pile au centre de ma photo... et qui m'aime me suive!

Photo prise au niveau de Chamonix que je viens de quitter. En fait non, quand on s'en vient d'Italie, on ne passe pas par Chamonix, même si on en voit les premières maisons (ou plutot devrais-je dire chalets). De toute façon Chamonix je ne connais pas, je n'y ais passé qu'une seule nuit d'hotel (aout 2007 juste avant de traverser la frontière Franco-Italienne).

Donc là, c'est les présentations Françaises du Mont Blanc.

La France quand elle a de la neige au printemps... mais c'est normal.

samedi 4 octobre 2008

Peux-tu m'éclairer de ta lumière, petit page?

Depuis le temps que j'en parle la France, vous commencez à connaitre le palace qui se trouve sur les hauteurs de la ville de Funchal, le Monte Palace Hotel, sur l'île de Madeire.

S'il n'est pas possible de voir ses intérieurs, à part si votre compte en banque est fourni et que vous y ayez une chambre, il est possible au commun des mortels que nous sommes tous pour la plupart, de flaner dans le jardin exotique du palace. Un écrin de fraicheur verdoyante au milieu de cygnes, de fougères arborescentes, de cascades d'eau aboutissantes dans des lacs artificiels, etc etc (comme on le dit quand il y a plein d'autres choses dont on a la flemme d'énumérer ou que l'on ne s'en rappel plus trop bien!).

Bref, bref, ce speech pour finalement, aboutir à ma photo.

Est-ce que vous vous souvenez de la petite fille qui sautait à la corde? Et bien non loin d'elle, un couple de petit pages brandissant chacun une torche. Un couple puisque l'un et l'autre se trouve au départ d'un escalier. Escalier que j'ai gravis... mais ça fait pas plus avancer le schmilblick que ça!

vendredi 3 octobre 2008

Pierres versus Acier, le match de ce soir.

La tour Gerkhin (puisque c'est son nom) avec sa forme très supositoire cadre mal dans un environnement de pierres. C'est trop, ça fait bizarre.

J'aimerais dire que je ne trouve pas ça bien, ce genre de constructions récentes près de plus vieilles, une sorte d'irrespectualitée du lieu. Mais bon, faut de tout pour faire un monde (comme on le dit si bien).

jeudi 2 octobre 2008

Ca se sent que le froid s'installe sur notre vieux continent. Pas trop le froid mais du moins la fraicheur.

Et vous de me dire le rapport avec les tournesols de ma photo? Et ben c'est que les tournesols sont liés (indirectements) au soleil, à la chaleur... qui commence à nous faire défaut.

... qu'est ce que l'on est bien en été.

Dans un champs de tournesols non loin de Carcassonne.

C'est si photogénique.

mercredi 1 octobre 2008

(Je rédige cet article pendant la pause, à 21h30 le 30/09)

Avez vous vu comme moi La Traviata retransmise en direct depuis une gare Suisse? Au milieu des personnes qui passent devant les interprètes? Moi oui!

Quand je vois ça, je n'ais qu'une envie: être là bas! Bon, retrospectivement je dois dire que devant le téléviseur c'est bien mieux car c'est comme d'être au premier plan, voir l'action de bout en bout.

Mais dans une gare? L'idée au départ peut paraitre saugrenue, limite mais ils sont cons ou quoi? Et pourtant ça marche! Même les passants que l'on voit passer en gros plan devant les interprètes, ceux qui prennent photos ou filment, ça ne nous dérange pas plus. Moi ça ne m'a pas dérangé. Les petits coucous à la caméra pour montrer à sa famille que l'on passe à la télé alors qu'Alfredo déclare son amour à Violetta, c'est vraie que si ça dérange pas, c'est drôle à voir.

... et le monde qu'il y a, je connais pas la gare de Zurich, mais c'est noir de monde. Sont-ils tous venus spécialement pour l'occasion. Moi j'y aurais été. J'ai bien fait près de 1000 km pour aller voir La Traviata à Vérone, en Italie. Alors Zurich...

L'interprétation de l'opéra, je redoutais que ce ne soit que les morceaux les plus connus que l'on aurait choisis mais c'est bel et bien l'oeuvre de Verdi dans sa totalitée que l'on entend... et vois! Déjà que l'opéra dure pas loin de 2h15, il est en plus entrecoupé par des explications d'une présentatrice qui raconte l'histoire.

Pour en revenir à ma photo, c'est les remerciements à la foule des interprètes de ma Traviata quand j'avais été voir ça à Vérone, le 4 aout de l'an passée... Inoubliable. Et oui, j'ai eu l'occasion d'en voir une version...

Ma Traviata à moi fut Véronaise.

Ce qui est bien avec ce blog, pour qui le suit journalement, sais quand on change de mois. C'est-y pas beau?

En France on dit octobre, soeurette. Combien de fois entendont nous au cours de l'année mais qu'est ce que ça passe vite quand même! Et oui, on est déjà en octobre.

Dire que les vacances étaient pas encore trop loin, que l'on a l'impression qu'on vient à peine de reprendre le boulot alors que pour certains d'entre nous, ça va faire plus d'un mois. C'est pas marrant!

Donc voici la page choisis par mes bons soins mais la décision de choisir octobre le fut par ma soeur Rosa... qui vivant en Angleterre trouve le moyen de faire un october au lieu d'un octobre. Bon on va dire que le calendrier est si joliement fait qu'on va pardonner cette petite erreure... qui n'en est pas (trop) une.

Du moment que le mois de novembre prochain ne sois pas un november.