mardi 31 juillet 2007
mar 31 juil 2007
mardi 31 juillet 2007
mar 31 juil 2007
lundi 30 juillet 2007
lun 30 juil 2007
C'est ceux du Palazzo Pfanner à Lucques qui valent le coup d'être vus (et pris en photo par mes bons soins). Nous sommes en Italie et c'est un jardin à la Française qui a été choisi pour enjoliver le parc derrière le palais. Cocorico.
Pour qui n'a pas les moyens du billet d'entrée (de 4€) du palais et de son jardin, il est possible de voir l'ensemble depuis les hauteurs des remparts, mais c'est si simple d'arpenter les allées elles-mêmes.
C'est la 3ème fois que je parle de ces jardins et palais. Souvenez vous les enfants...
dimanche 29 juillet 2007
dim 29 juil 2007
Autrefois la petite ville perchée d'Obidos surveillait le littoral Atlantique. Le comblement d'un ancien golfe marin l'a isolée du rivage 17km à l'intérieur des terres. Il ne subsiste de nos jours qu'une lagune du nom de ce village la lagune d'Obidos (bah oui, pourquoi faire plus compliqué?). Une petite excursion entre les pins permet d'avoir une jolie vu sur l'estuaire et la lagune. Au premier plan, coté sud, un village de pêcheur devenue bourg balnéaire Aldeia dos Pescadores. En face, coté nord se trouve une autre station balnéaire familiale, très fréquentée l'été Foz Do Arelho. C'est dans cette autre station balnéaire placée entre le calme de la lagune et les embrunts de l'océan que l'une d'entre vous, assidue de mon blog depuis peu, mais présente quotidiennement, Nathalie, va s'envoler en famille, demain. Quelle chance quand même; il me reste encore 4 jours de boulot avant de partir à mon tour vers d'autres destinations. Alors toi qui pars demain, Nathalie, bonnes vacances estivales et au plaisir de te retouver sur le net à mon retour...
samedi 28 juillet 2007
sam 28 juil 2007
Le roi Charles 1er fut le dernier roi du Portugal.
C'est en plein centre-ville de Lisbonne qu'il fut assassiné, ainsi que son fils Luis Filipe, le 1er février 1908. Le Reine Amélie, son épouse, réussi le tour de force de faire monter sur le trône son autre fils, le Roi Manuel qui deviendra le Roi Manuel II. Le 5 octobre 1910, le Roi Manuel II abdique et le Portugal devient une république, la 3ème d'Europe.
Voilà pour la grande Histoire avec un grand H.
Dans le quartier de l'Alfama se trouve l'église de São Vicente da Fora. A ses cotés se trouve le monastère de cette église. L'ancien réfectoire des moines a été aménagé en mausolé de la maison des Bragançe, la dernière dynastie des souverains Portugais. Au centre de cette pièce se trouve les tombeaux du roi Charles 1er et de son fils tué en même temps que lui. Une statue est agenouillée près de leur tombeaux.
vendredi 27 juillet 2007
ven 27 juil 2007
jeudi 26 juillet 2007
jeu 26 juil 2007
Je vais vous raconter une histoire:
... il était une fois un prince qui a dut épouser une princesse. Ce prince est tombé amoureux d'une des dames de compagnie de la princesse, qui deviendra sa maitresse. La princesse meurt en donnant naissance de leur 3ème enfant et du coup, le prince et la dame de compagnie partent vivre ensemble dans un des villages du royaume. Le roi, sachant cela, profite un jour de l'absence de son fils pour faire tuer la dame d'honneur! Le prince, fou de douleur, attend que son roi de père décède et d'être roi à son tour. Du coup, il annonce à tout le monde qu'il s'était marié secrètement avec celle qui était dame d'honneur de sa première femme et décide de tuer les bourreaux de son véritable amour en leur arrachant leur coeur devant ses yeux. Par la suite, il fait exhumer le corps de sa femme qu'il revêt d'un manteau rouge, ceint la tête d'une couronne, et ordonne à tous les nobles de baiser la main (pourrie) de celle qui devient du coup, reine.
Sauf que le il était une fois s'est réellement passé. Pedro a épousé Constance de Castille alors qu'il est tombé amoureux d'Inès de Castro. En 1345 Constance meurt en couches. Pedro et Inès s'en vont vivre à Coimbra au monastère de Santa Clara. Le roi Afonso IV fait tuer la maitresse de son fils le 7 janvier 1355 après une parodie de jugement. Pedro n'attendra que 2 ans plus tard pour devenir roi à la mort de son père et de se venger. En 1361 il exhume le corps de la belle qui devient officiellement reine.
Leurs tombeaux se trouvent dans le monastère d'Alcobaça, chacun faisant face à l'autre (pour l'éternitée) en étant, pour celui d'Inès, dans le transept gauche et pour celui de Pedro, dans le transept droit. Pedro a vu en partie le tombeau de sa belle se réaliser de son vivant (ainsi que le sien). Le gisant d'Inès est entouré d'anges aux ailes déployées. Les sculptures figurent des scènes de la vie du Christ, une Crucifixion et un Jugement dernier. Il est dommage que l'histoire ne se termine pas là puisqu'en 1810-1811 les deux tombeaux furent pillés et sacagés par les troupes Napoléoniennes. Bien que restaurés, ils en gardent tous deux le témoignage des vandales...
mercredi 25 juillet 2007
mer 25 juil 2007
A mes yeux, le musée des Beaux-Arts de la ville de Dijon possède un couple de tombeaux royaux qui doivent être les plus beaux qu'il m'ait été de voir. Il n'y a qu'à voir mes photos ci-jointes pour vous faire une idée de ce dont je parle.
Le tombeau de __Philippe le Hardi__ est un pur joyau, une merveille qui mérite la visite de ce musée.
Des Flamands travaillèrent à la réalisation de l'oeuvre. Jean de Marville est le concepteur général, Claus Sluter a dessiné les statuettes et Claus de Werve (son neveu) la réalisation de la statuaire. Ils travaillèrent successivement de 1385 à 1410.
Le gisant repose sur une dalle de marbre noir soutenue par des arcatures d'albâtre formant un cloitre sous lesquelles veille une assemblée de pleurant ou de deuillants, composée de 41 statuettes prodigieuses de réalisme: membres du clergé, chartreux, parents et amis et officier du prince, tous en costume de deuil et la tête recouverte du chaperon, composent le cortège funèbre.
mardi 24 juillet 2007
mar 24 juil 2007
mar 24 juil 2007
lundi 23 juillet 2007
lun 23 juil 2007
La chapelle des Anaya se trouve dans la cathédrale vieille de salamanque. Elle porte aussi le nom de San Bartolomé.
Elle fut fondée en 1422 par Diego de Anaya Y Maldonado, archevêque de Séville, et auparavant évêque de Salamanque pour sa sépulture et celle de sa famille. Si dans cette chapelle se trouve une voûte exceptionnelle et, dans l'un de ses angles, un orgue réalisé en bois mudéjar, la pièce maitresse et véritable chef d'oeuvre de cette cathédrale vieille, est le sépulcre du fondateur. Il fut réalisé par un auteur anonyme qui a mérité le surnom de Maestro de Anaya et qui devait certainement être un espagnol bon connaisseur du style et des techniques bourguignonnes.
Désolé pour cette photo d'un flou catastrophique!!!
Ce sépulcre est en albâtre et entouré d'une grille de fer forgé qui date de 1514.
dimanche 22 juillet 2007
dim 22 juil 2007
Les 276 pierres tombales qui dallent le parterre de l'église de Santa Croce plus les nombreux monuments funéraires d'hommes illustres de la ville de Florence ont fait surnommer l'église le Panthéon Italien.
Michel-Ange (1475 - 1564) a son monument funéraire, visible juste en rentrant dans l'église.
Rome et Florence se sont disputées sa dépouille. Vasari (dont le nom est resté grâce au couloir qui traverse la ville du Palazzo Vecchio vers le Palazzo Pitti en passant sur le ponte vecchio) en est le maitre d'oeuvre. Le tombeau est réalisé en 1570 et les 3 femmes représentent la peinture, la sculpture et l'architecture.
samedi 21 juillet 2007
sam 21 juil 2007
Dans le quartier de Bélem, à Lisbonne, se trouve le monastère des Jéronimos. On y rentre par le portail Ouest donnant dans la tribune, elle même sous le coro alto. A la gauche en entrant se trouve le tombeau néo-manuélin de Vasco de Gama (1469 - 1536), vice roi des indes en 1524.
Il avait quitté le Tage le 8 juillet 1497 à la tête de 4 navires pour atteindre Calicut le 20 mai de l'année suivante. En 1499 un seul navire s'en retourne à Lisbonne avec un précieux chargement d'épices et des indications d'ordre politique. Ce retour marque le début des affaires entre le Portugal et Goa.
Sa tombe est sculptée de cordages, de sphères armillaires et autres emblèmes marins.
Dans l'église du monastère on rencontre d'autres tombeaux dans le choeur. Dont celui de Manuel 1er (règne: 1495-1521) et Jean III (règne: 1521-1557)
vendredi 20 juillet 2007
ven 20 juil 2007
Tiens, ça vous dirait de voir jusqu'à samedi prochain quelques tombes de personnes plus ou moins célèbres dans leurs pays respectifs (et même à l'étranger)? Dites oui, sinon, je ne suis pas dans la panade!
Après tout c'est un thème comme un autre et comme j'ai matière à discution, on va dire que ça m'arrange.
J'avais déjà mis un billet il y a plus d'un an alors si ça vous dit d'avoir un exemple de ce qui va venir chez vous via mon blog.
ven 20 juil 2007
C'est la 4ème photo de la plaza mayor que je poste en billet.
A croire que je n'ai plus grand chose à montrer de cette magnifique ville qu'est Salamanque. Mais non, il en a encore sous le coude, le manu. Faut pas s'inquiéter.
Photo de fin d'après midi puisque l'ombre que porte une façade de la plaza cache du soleil de pauvres tables vides de consommateurs. A croire que les personnes recherchent le soleil et bougent en fonction de cette simili-éclipse solaire quotidienne (quand le ciel le permet).
C'était en effet une si belle journée, inoubliable et il me tarde de retourner en Espagne pour vous reparler d'une autre ville tout aussi importante. Pour ceux qui ne savent pas mes destinations, surprise (les autres...chuuuuutttt).
jeudi 19 juillet 2007
jeu 19 juil 2007
Radicofani est un village se trouvant non loin du mont Amiata. Alors de très loin dans la région du Val d'Orcia, le mont Amiata se voit superbement bien (puisque étant le point culminant du sud Toscane).
Radicofani n'en est pas loin (d'être vu de partout) puisque le village est sur le versant d'une colline qui est plutot un cône au milieu d'une région valonnée. En plus, au faît du village se trouve un ancien chateau féodal et son donjon ressemble à une antenne lorsque cette colline est vu de très très très loin.
Bien que nous sommes en Toscane, Radicofani ne m'en a pas parut en être dans la mesure où l'architecture du village ne ressemble pas aux autres villages alentours. Je lui ais trouvé un petit coté La Alberta (village en Espagne non loin de Salamanque dont j'en ai fait deux billets sur ce blog) de part ses matériaux de constructions que sont les pierres comme si on les avaient prises dans un lit d'une rivière, et les gros joints entre ces mêmes pierres. Une autre particularitée de construction de cette région, c'est les débords de toits que je ne retrouve pas dans ce pitoresque village.
Ma photo est prise depuis les marches devant l'église. Par la suite je suis monté tout en haut...
PS: j'ai découvert un blog avec de fantastiques photos d'Italie. A les voir, je me dis que je suis bien petit avec mes miennes.
mercredi 18 juillet 2007
mer 18 juil 2007
Quand j'ai pris ce cliché, j'ai immédiatement pensé à un autre en tout point similaire. Mais si, souvenez vous, j'avais des tendances suicidaires à l'époque! Je voulais en finir avec cette vie de chienne et je pensais que les 363 mètres d'hauteur du Cap Canaille sufirait à me renvoyer à l'envoyeur. Sauf que 363 mètres, quelque chose me disait à l'époque qu'il y avait mieux, ailleurs. Ailleurs? Et ben j'y suis allé à ce meilleur!
Je vous présente du coup le Cabo Girão, un promontoire rencontré sur l'île de Madeire. Le Cabo Girão se trouve à l'ouest de Funchal; le Cabo Girão se voit donc de très loin. Le Cabo Girão est simplement le premier promontoire d'Europe et le second du monde.
L'à-pic audessus de la mer est de 580 mètres. Si j'étais à 4cm de vide du coté de Cassis, là, je suis plus raisonnable d'une dizaine de centimètres en arrière du précipice. Mais tout ça reste inoubliable car le regard embrasse un vaste panorama des deux cotés. Pas de garde-fou, c'est génial. Même pas peur, moi. Il y a autre chose de surprenant dans ce que l'on voit de là haut (et sur ma photo), ce sont les lopins de terre au pied de la falaise, en bordure d'océan. Ils restent innacessible sinon par la mer ou, parait-il, par des sentiers dangereux. Ces petits bouts de terre de culture agricole sont appelés fajãs.
PS: reste plus qu'à trouver le number one!
mardi 17 juillet 2007
mar 17 juil 2007
lundi 16 juillet 2007
lun 16 juil 2007
La journée d'hier fut propice à aller se ballader sur les routes de France.
Enfin l'été installé sur notre pays, enfin la pluie qui ne reviendra pas avant l'automne, enfin la canicule où l'on aura l'impression d'être assommé par une chaleur étouffante, enfin les feux de forêts qui vont ravager les régions concernées... heu, finalement, est une bonne chose ce soleil radieux???
Le doute me submerge.
Quoi qu'il en est, je suis partie au volant de ma voiture sur les routes de l'Ain dans la région du Bugey. Je suis monté sur le Grand Colombier, un sommet de cette région culminant à 1531m d'où le vue porte très très très loin. Si loin que par beau temps, on peut voir Chambéry, Annecy et son lac, Aix les bains et le Mont Blanc culminant les Alpes de ses 4808m d'hauteur. Quelle chance que j'ai eu ce dimanche puisqu'il a fait, comme par un plus grand des hasard, très très très beau! Et là haut, face à la chaines des Alpes dans toute sa splendeur, face au mont royal qu'est le Mont Blanc, je me suis trouvé une copine que j'avais perdu de vue depuis ma tendre jeunesse... et tous deux, nous nous sommes étalés sur l'herbe et admiré le paysage.
dimanche 15 juillet 2007
dim 15 juil 2007
samedi 14 juillet 2007
sam 14 juil 2007
Brou est maintenant un quartier de la ville de Bourg en Bresse. Autrefois c'était une petite aglomération autour de son prieuré bénédictin. Et du coup la visite de Bourg en Bresse se justifie à elle seule par la visite du monastère royale de Brou, un chef d'oeuvre de gothique flamboyant avec une touche de Renaissance (le monastère est contemporain de la construction de Chenonceau, l'un des chateaux majeurs des chateaux de la Loire).
Une femme en est l'instigatrice, Marguerite d'Autriche. L'architecture est de style brabançonne et son architecte est le maitre d'oeuvre Bruxellois Loys Van Boghem. L'église est construit de 1513 à 1536.
Le monastère de Brou est en fait un tombeau royal plus qu'une église. Ce qui est le plus spectaculaire de ce chef d'oeuvre, se sont ses 3 tombeaux, points culminant de l'épanouissement de la sculpture flamande en Bourgogne. Il y a le tombeau de Marguerite d'Autriche, celui de son époux Philibert le Beau, duc de Savoie et enfin celui de sa mère à elle.
En 1759, les moines (au nombre de 12!) ont profondément modifiés la toiture de l'édifice. En 1996, la couverture a retrouvé sa splendeur d'antan grâce à l'utilisation de tuiles vernissées et colorées.
Bref, rien que du bonheur pour qui aime la pierre chargée d'histoire...
vendredi 13 juillet 2007
ven 13 juil 2007
Autun fut en son temps une cité gallo-romaine très importante. Sur la façade de l'hotel de ville, il est écrit "Soeur et émule de Rome". Si cet hotel de ville était un humain, on regarderais d'un peu plus près ses chevilles, histoire de voir si elles ne sont pas enflées!
Mais bon, de nombreux témoignages gallo-romains sont parvenus juqu'à être contemporains de nous tous et, je le souhaite, pour longtemps encore. Ne serait ce le théâtre romain qui pouvait acceuillir 20000 personnes sur ses gradins (le plus grand de Gaule) et à l'heure où vous lisez le mot traviata, il peut encore tenir 12000 personnes sur les vestiges. Je reviendrais sur tous ces monuments en l'heure et date qu'il me plaira.
Il subsiste 2 portes romaines à deux entrées de la ville: la porte d'Arroux et la Porte St-André (les deux photos: coté pile et coté face de cette même porte). L'enceinte gallo-romaine en comportait 4 en tout et 54 tours semi-circulaires.
La porte St-André présente 2 grandes arcades pour le passage des voitures et 2 plus petites pour les piétons. Une gallerie à 10 arcades surmonte ces 4 passages. L'un des corps de garde nous est parvenu du fait qu'il ait été transformé en église au moyen-age.
C'est près de cette porte que saint-Symphorien fut martyrisé, alors qu'il était agé de 20ans.
PS: si je parle d'Autun, c'est que les 16500 Autunois ont eu l'arrivé du tour de France en leurs murs hier, jeudi 12 juillet. Demain, les cyclistes prendront leurs départ depuis Semur-en-Auxois en direction de Bourg en bresse. Choix cornélien: demain je m'attaque à Bourg en bresse. Il est dommage qu'en cette après-midi de vendredi je ne sois pas devant mon téléviseur car le tour de France va passer juste devant ma maison maternelle en direction de Cluny. Zut et re-zut! Alors si des personnes me lisent sachez que le village traversé est Buxy. Peut être verrez vous Pilou aboyer au passage de la caravane...
jeudi 12 juillet 2007
jeu 12 juil 2007
L'étape d'hier du tour de France (en cours en ce moment à travers le pays) a emmené les cyclistes à s'arrêter dans la ville de Joigny. C'est une ville d'un peu plus de 10000 habitants se trouvant à une petite quatre-vingtaine de kilomètres au sud de Paris, dans ma région, la Bourgogne. D'ailleurs ce 12 juillet, le tour restera encore une fois en Bourgogne en s'arrêtant à Autun (on verra ça demain, si vous le voulez bien).
Joigny est une charmante petite ville avec pas mal de maisons à pan de bois des XV et XVI èmes siècles. Malheureusement la plupart sont toutes des rénovations puisqu'un incendit en 1530 ravagea la ville et qu'en 1940, les bombardements d'une certaine seconde guerre mondiale est venue dynamiter l'ensemble. Les rénovations sont assez réussies et, même si l'ensemble est de notre temps, je ne peux pas croire que tout le soit. Il y a bien quelques sculptures qui sont d'origines, c'est Dieu pas possible que ce soit des reconstitutions...
Il faut flâner autour des églises St-Thibault et St-Jean pour en voir un certain nombre. Il m'est difficile de vous donner un nom de la maison ci-jointe en photo mais ça se laisse agréablement bien voir...
mercredi 11 juillet 2007
mer 11 juil 2007
C'est un réel plaisir que d'évoluer dans la jardin anglais du chateau de Chantilly. Je l'ai plus préféré que le parc en lui même. Le parc, c'est trop propre, trop carré, tout juste si le brin d'herbe rebel qui dépasse, tu ne vois que lui. Mais bon, il faut dire aussi que les parcs, ça a aussi ce petit coté d'excellence qui sied parfaitement à un chateau, que ce soit celui de Chantilly ou celui de Versailles.
Les jardins Anglais, c'est donner l'impression de ce que la nature est maitresse d'elle même, mais en fait, c'est l'homme qui ordonne tout. Les arbres, les sentiers, les fleurs, les petits monuments symboliques de ci, de là, tout paraitrait trop beau, trop naturel. D'ailleurs ça l'est et ça m'a énormément plut.
Le jardin Anglais de Chantilly a été amménagé en 1820 sur les ruines du jardin de Le Nôtre. L'île d'amour est ce kiosque de ma photo sur ce qui pourrait être une île naturelle reliée par une passerelle, si l'homme n'était pas passé par là pour tout réaliser.
mardi 10 juillet 2007
mar 10 juil 2007
lundi 9 juillet 2007
lun 9 juil 2007
Je ne savais pas si j'avais une vue de cette supposée fontaine à Coimbra où la petite Clara se serait mouillée les pieds avant d'aller au restaurant. Alors j'ai pris du temps pour moi et retrouvé l'album spécial Coimbra et tourné les pages dans l'espoir d'avoir quelque photo en réponse au commentaire 5 de Nathalie d'un précédent billet.
Et il se trouve que j'ai trouvé une réponse en matériel de deux clichés de cette même fontaine. On est en plein centre-ville de Coimbra alors si c'est pas ça, j'm' la coupe! Fontaine se trouvant juste en face du monastère de Santa Cruz, avec son portique de façade non accolé à la façade de l'église, façade très richement décorée.
Alors Nathalie, quelques souvenirs?
PS: une vue nocturne de cette même église?
dimanche 8 juillet 2007
dim 8 juil 2007
Pas plus loin que dimanche dernier, je suis aller viviter la Saline royale d'Arc-et-Senans.
J'ai toujours eu connaissance de ce qui était une ancienne usine où l'on récoltait le sel, fin XVIII. Mais c'était trop loin de chez moi (d'ailleurs ça l'est toujours puisque je n'ai pas bougé et que la Saline de même! Rigolez, j'essaye d'être drôle!). Et voilà qu'en zappant les chaines de télé françaises, je suis tombé sur un doc architectures d'ARTE le dimanche 24 juin dernier. Et moi, il m'en faut pas plus pour que j'aille y voir de mes yeux quelque chose qui me plait. A la fin du doc, je me suis décidé d'y aller la dimanche à venir; c'était le 1er juillet dernier. Et là, je vous en parle. En fait non, je garde ce que je dirais sur cette saline sous le coude pour les prochaines photos que je mettrais z'içi.
Donc ce billet en est la présentation de la Saline au travers d'une carte postale (que certaines reconnaitront) vue du ciel, un plan des batiments et une photo de moi. Quitte à me répéter, je suis arrivé bien une heure avant l'ouverture prévue à 9h00 du mat. Arc-et-Senans se trouve dans le département du Doubs, soit un chti 150km tout rond au nord de mon pat'lin Maconnais. Et je suis partie tôt; et arrivé tôt; et attendu... Il faut dire que dimanche dernier la France allait être sous la pluie et j'ai eu la chance d'avoir ma matinée sous un ciel bleu et une chaleur allant avec. Par la suite, on est passé du coq à l'âne puisqu'il a plut à verses (ça se dit comme ça? à verses?). Ma photo est l'instant où les portes du batiment des gardes (voir le plan des batiments) se sont ouvertes et à travers les grilles, on devine la maison du directeur au fond.
samedi 7 juillet 2007
sam 7 juil 2007
A Paris, la place de la Concorde se devait d'avoir une splendide fontaine si on décidait un jour d'en mettre une. De chaque coté de l'obélisque (vieux de 33 siècles) se trouve donc une fontaine, réplique de l'autre. Cette place si célèbre, même tristement célèbre (puisque c'est là que l'on a guillotiné Louis XVI le 21 janvier 1793 et 1343 personnes à partir du 13 mai de cette même année) convie à l'admiration de part son étendue et son élégance.
Les deux fontaines sont inspirées de celle de la place St Pierre, à Rome. En arrière plan, les deux batiments visibles sont, à droite l'hotel de la marine et à gauche le Crillon, palace de renommée internationale.
PS: une vue nocturne, ça vous dirait?
vendredi 6 juillet 2007
ven 6 juil 2007
Sur les hauteurs de la capitale administrative de lîle de Madeire, Funchal, un écrin de verdure: le jardin tropical du Monte Palace. Ecrin de verdure mais aussi avec de l'eau qui coule dans tous les sens. Elle coule doucement le long des sentiers; on enjambe ces petits canaux; on l'entend tomber au loin et quand on y est, toute cette eau se tourne en cascade dans un lac artificiel où nage des cygnes et évoluent des carpes et autres poissons...
Le palace, les fougères arborescentes, les monuments ou statues disséminées dans le jardin, l'eau de toute part autour de soi, le ciel d'un bleu limpide... que demander de plus? Y retourner encore et encore? Et quand on y est, d'arrêter le temps pour vivre le temps présent plus que les lois de la physique ne le permets?
La réalitée est toute autre...
jeudi 5 juillet 2007
jeu 5 juil 2007
Sur la place royale de la Ville Nantaise de Nantes (ouais, je sais: c'est pas drôle) se trouve une fontaine érigée en 1865. Fontaine symbolisant la ville Bretanisante (qui n'en est pas de cette région). Bref, il y a peu de temps, j'ai découvert en allant sur le blog de Gum ce qu'il en est advenu de cette fontaine, le temps de la période estivale en cours. La mademoiselle en a fait deux billets. Alors si la curiositée vous pousse à ouvrir la porte de son blog, vous verrez l'extérieur et l'intérieur. L'extérieur et l'intérieur??? Mais je parle de quoi? C'est une fontaine, on ne rentre pas dans l'intérieur d'une fontaine à ce que l'on sache! Allez chez elle et je vous entends depuis chez moi dire euréka!
Et de m'être posé une question: qu'est-il advenu de toutes les statues des femmes qui se trouvent le plus près du sol? En slalomant de photos en photos Gumiennes, on voit que le sol de l'appartement est au niveau des dauphins supportants les chérubins. Et sur ma photo de ce jour, on voit bien que les têtes des ces femmes dépasseraient ce sol. Quitte à détourner une oeuvre d'art dans le but de l'exposer autrement, je ne suis pas d'accord par contre à la démonter en partie. C'est tout un ensemble qu'il faut voir et non pas un faible pourcentage. Une fois la baraque Nippone démontée, l'affaire aura eu l'avantage de restituer les statues rénovées, comme au premier jour, propre sur elles.
mercredi 4 juillet 2007
mer 4 juil 2007
A Castelo Branco, face au jardin de l'Antico Paços Episcopal (avec ses statues au milieu de buis--- dont celle du manu qui montre son signe astrologique) se trouve un autre jardin (gratuit d'entrée) propice à la détente sous un arbre, une glace à savourer à la terrasse d''un café...
Non loin de ce café, justement, se trouve un jeu de plusieurs jets d'eau qui monte ou descend selon ce qui a été défini au départ. Elles étaient deux petites filles à s'amuser à stopper la montée d'un jet chacune. Dans l'instant suivant le jet prennais de la puissance en montant un peu plus haut et elles se retrouvaient éclaboussées...en criant de surprise.
mardi 3 juillet 2007
mar 3 juil 2007
Une photo d'un ancienne piscine si ca peut aider.
Disons que c'est une grande fontaine ! Je l'ai prise quand je suis allee en Republique Tcheque avec mon groupe de photo. C'etait en dehors de Prague bien sur. C'etait la seule photo qui vale le coup dans toutes celles que j'ai prise ce jour la.
A plus.
Rosa.
lundi 2 juillet 2007
lun 2 juil 2007
Fontainebleau, ce n'est pas que le chateau, mais c'est aussi les jardins tout autour. Il y a le parc, le Grand Parterre, le jardin Anglais et le jardin de Diane.
Le jardin de Diane est situé du coté de la ville de Fontainebleau et doit son nom à la statue élevée sous Henri IV. C'est une statue qui date de 1813 et qui a remplacé le bronze d'origine de Barthélemy Prieur de 1684.
Le jardin de Diane est l'endroit où les habitants viennent flâner, se reposer, lire, se bécotter sur les jardins publics (comme aurait dit Brassens).
dimanche 1 juillet 2007
dim 1 juil 2007
Une nouvelle semaine avec une thématique sur les fontaines, ou du moins ce qui est en rapport avec l'eau qui coule.
Le mieux pour situer la photo de ce billet est d'aller voir un autre où on la voit en petit, puisque le zig que je suis était loin. Elle se trouve juste derrière le chevet de l'église Santa Maria Della Pieve, au bas des escaliers.
Je dois dire qu'à l'époque il faisait chaud (pas comme le début d'été que nous venont de vivre) et les pigeons se désaltéraient et se mouillaient les plumes et faisant gicler l'eau partout autour. J'ai bien essayé de prendre des photos du groupe car je me doutais que ça allait être joli en instantané, en arrêt sur image. Ouais, mais ils m'ont pris pour le gros con de touriste car sitôt que je m'approchais, les ailes entraient en action et pffff, envole toi, piaf! Alors je me suis rabattu sur les gouttes qui tombent. En plus j'avais pas mon gros objectif dans mon sac.
dim 1 juil 2007
Comme le mois de juillet va me paraitre long! Et pourtant, c'est l'un des mois que j'adore. Il est celui qui annonce les vacances à venir, celui qui nous dit que ça y est, on y est presque. Celui qui nous permet de toucher un départ mérité.
C'est aussi un mois d'été où la chaleur est acablante, qu'elle vous abruti quand vous travaillez au dehors, que l'on transpire couché dans son lit alors que tout est ouvert et qu'il n'y a même pas une brise pour vous aider à supporter la chose. Enfin, je parle avant. Avant que l'été soit compris entre le 7 et les 16 avril car après c'est pluie, fraicheur, le petit gilet, la couverture à remettre sur les draps, etc...
Le changement pour un autre mois, fait qu'une autre page de ce calendrier magnifiquement sombre mais éclairé en son centre par une magnifique et sublime photo (attendez, laisser moi voir si mes chevilles enflent...) se tourne. Juillet et une photo du cloitre du monastère des Jéronimos à Lisbonne.