Instants d'années (1)

lundi 30 avril 2007

J'en connais une qui attend ce lundi depuis une petite semaine. On ne dira pas son nom pour que les autres ne lui tombent pas dessus s'ils sont contre tout ce qui est Disney. N'est ce pas Gum? Oupssss!

Il reste quand même quelques chaises pour s'arrêter quelques instants dans ce monde menteur puisque tout y est beau...

Je défie quiconque de prendre une photo pareille dans un endroit où il y a de l'humain à 10 unitées dans seulement 1 mètre carré! On ne s'y croirais pas s'il n'y avait pas toute cette couleur pour me faire mentir si jamais d'aventure je vous disais que l'on est dans mon jardin perso. Et ben si, vous êtes chez moi, sur ma terrasse et dans cette théière se trouve du thé que j'aurais plaisir à vous offrir.

Pour les terre à terre d'entre vous, ok, vous avez reconnu l'endroit. Le résultat est quand même là: moi, la table et quelques chaises.

dimanche 29 avril 2007

Une petite semaine thématique sur les chaises, ça vous tente? Moi ça me dit de m'y coller. On va profiter de ces quelques ponts à venir pour se reposer...

En flanant de ci, de là, j'en ai déjà mis quelques unes au long des longs mois précédents. Du coup, ceux qui me suivent souvent au long de mes pérégrinations via cette petite fenêtre sur mon univers qu'est ce blog, savent déjà de quoi je parle et ont surement souvenir de ces clichés.

Pour les autres, bon voyage et, quand vous en verrez, asseyez-vous dessus avant de repartir...

Ainda est le dernier passage musical du film de Wenders,'' Lisbon story''....... C'est une chanson simple aux paroles, douce à l'écoute via la voix sublime de Térésa (je n'arrêterais jamais de le crier sur tous les toits)......."Ainda'' veut dire ''encore'' en Français. Et on en redemanderai ''encore'' d'autres morceaux tellement c'est beau. Alors oui, dans le film on en entend d'autres mais c'est plus en bande-son dans le contexte du film qu'un clip en lui même. Je pense au titre ''Tago''.

samedi 28 avril 2007

Un endroit de la capitale administrative de l'île de Madeire, de Funchal (pour ceux qui ne m'aurait pas suivie), c'est le marcado dos lavradores, le marché des travailleurs.

Une carte postale (pour ma pomme) du marché.

Le marché s'inscrit dans un batiment et cela sur deux niveaux. En son centre, à ciel ouvert, une place pavée allègrement en noir et blanc. En face de l'entrée principale, à l'autre bout de la place, c'est le département poisson où des professionels vous taillent toutes sortes de poissons en vue de leurs ventes. Un balcon permet de les voir à l'oeuvre et l'animation que cela donne. Il me fut amusant de constater que je n'étais pas le seul à venir voir ça comme une attraction, comme l'un des endroits de la ville à aller. Combien de personnes comme moi à prendre tout ça en photo??? Après j'ai déambulé parmis tous ces poissons, au plus près des leurs yeux vitreux et surtout morts...

Un marché comme tant d'autres. Comme tant d'autres, vraiment?

La partie avant la poissonnerie est le domaine des fruits et légumes (dont certains de taille hors norme et d'autres dont je ne sais même pas le nom ou que ça pouvait exister), le domaine aussi des fleurs. Les fleurs, parlons-en: c'est là que j'ai dévaliser un (pauvre) fleuriste (riche après mon départ), de plusieurs bulbes d'orchidées pour ma mère qui me l'avait demandé avant mon départ (et même plusieurs mois avant). C'est là aussi que j'en acheté pour Céline. Et de me demander où en sont ces graines??? Ca pousse?

Toujours dans cette partie du marché on peut y acheter des sac à mains ou tout autre article fait artisanalement.

C'est con à dire mais c'est l'un de mes très bons endroits de Madeire...

vendredi 27 avril 2007

Une tour élancée vers les cieux... Une fois son billet d'entrée de la visite pour le Palazzo Communale (ou Pubblico) réglé et en poche, on pénètre dans ce que l'on appelle le Cortile del Podestà.

Un puit de lumière avec la Tour de la Mangia majestueusement au desus de nos têtes.

Bon, c'est pas tout ça mais maintenant il faut monter là haut, mes enfants...

jeudi 26 avril 2007

Non loin de Salamanque se trouve un charmant petit village du nom de La Alberca au coeur de la Sierra de la Peña de la Francia.

Du fait d'un trop pas assez de routes, les villages alentours de celui-ci ont gardés presque intacte leur architectures traditionnelles; La Alberca ne déroge pas à la règle. Un petit milliers d'habitants au milieu d'une végétation de noyers et de chataigniers.

Toutes les rues mènent à la Plaza Mayor, place aux contours irréguliers. Toutes les maisons de cette place sont à colombages en encorbellement sur un rez-de-chaussée de pierre arborant de jolis balcons fleuris (lors de mon passage estival). On était à quelques jours du 15 aout et il y avait des personnes qui enjolivaient la plaza, de guirlandes...

Petit chien et couple

mercredi 25 avril 2007

Nous sommes le 25 avril 2007.

Je ne pouvais passer à coté de ne pas mettre aujourd'hui une photo du Pont de 25 de Abril se trouvant à Lisbonne et reliant la rive sud à celle nord de l'estuaire du Tage.

Le pont anniversaire.

Le petit bonhomme que je suis n'a pas encore les moyens de se payer un hélicoptère pour le prendre de haut! Alors moyennant finances, j'ai opté pour monter en haut du Cristo Rei. En étant en haut du piedestal, on se trouve à 85 mètres au dessus du sol (qui se trouve 113 mètres au dessus du Tage). On est du coup plus haut que les pylones du pont qui ne culminent que à 190 au dessus des flots.

En fait le but de poster ce Pont du 25 Abril un 25 avril, c'est pour souhaiter un bon anniversaire à Céline qui fête ses...wouaou, tant que ça??? Mais tu te fais vieille ma grande!

mardi 24 avril 2007

Bon, ne vous inquiétez pas, je ne vais pas mettre QUE du Eurodisney plusieurs jours de suite. Demain je pars ailleurs...Cette seconde photo est pour faire plaisir à quelqu'un.

Attends que les abeilles aient transformées le pollen  des fleurs en miel, petit ursidé.

C'est en voulant cadrer les fleurs avec le chateau de la belle princesse en arrière plan, que j'ai repéré le ballon de Winnie l'ourson sur mon coté droit. Et puis aussi d'avoir l'impression qu'il regarde les fleurs, j'ai eu l'idée (des fois j'en ai quelques unes) de le mettre dans mon champs de vision.

C'est une photo-exemple parmis tout un lot d'identiques, de ce que je trouve un peu ratée, d'un point de vue luminositée. Dans la réalitée c'était plus lumineux. Disons que j'ai merdé sur ce coup-ci. Par contre, dans son ensemble, elle me plait bien.

Bon, demain je vais vers une autre destination...

lundi 23 avril 2007

Je suis rentré d'un petit week-end reposant ( reposant? ) d'un samedi à Euro Disney Ressort Paris.

Ce fut ma première fois dans le parc et jamais je n'aurais été de mon plein grée car c'est pas trop mon truc. Une de mes connaissances y a un abonnement et pour les 15 ans d'Euro Disney, chaque personne abonnée peut inviter deux personnes de son choix (moyennant 15€ l'entrée). Et ben on va dire que l'occasion a fait le larron et moi de me laver la tête du quotidient.

Bienvenu à tous...

Et pourquoi pas aussi de dire un peu la véritée: essayer cet appareil tout étincellent acheté recemment. Car la couleur il y en a partout! Comme toujours j'ai de photos-déchet (mais pas trop finalement), et à pas mal j'ai merdé dans les temps de pause me donnant des clichés sombres. C'est un truc à savoir quand je repartirais à une autre extrémitée de la France dans l'un des ponts à venir...

Alors pour commencer par vous montrer mes photos datant d'avant-hier, honneur à celui par quoi tout à commencer, monsieur Walt Disney et son compagnon de toujours, Mickey.

vendredi 20 avril 2007

La cathédrale St-Pierre-et-St-Paul dans l'état que je l'ai visité en mars d'il y a déjà deux. Putain, 2 ans (comme dirait la marionnette de Chirac).

Aller savoir dans quelle état elle est, 2 ans plus tard... Quoi qu'il en est, quel travail c'est de la remettre en état. Pour qui a déjà fait quelques chateaux de la Loire, sait que la grande majoritée d'entre eux sont en pierre de Tuffeau, une pierre tendre qui durcit dans le temps au contact de l'air. Cette cathédrale est de ce matériaux, d'où son incroyable blancheur. Et l'intérieur ne dépareille pas de son extérieur. Cela donne une luminositée qui sort de l'ordinaire puisqu'en temps normal, les cathédrales Françaises sont sombres d'intérieures (je pense à la cathédrale de Chartres en écrivant ces mots).

Un lifting en cours de réalisation

La cathédrale St-Pierre-et-St-Paul fut commencée en 1434 et achevée en 1891... 1891? et ben, c'est ce que l'on appelle prendre son temps!?! bon, on va pas faire la gueule au vu du résultat. Vous avez mis le temps, amis Bretons, mais chapeau bas de vôtre réalisation.

(PS: je m'absente samedi 21 et dimanche 22 avril, du coup pas de billets ces deux jours; je pars faire quelques photos... dans un monde merveilleux et imaginaire)

jeudi 19 avril 2007

Et voici la croix (bien travaillée) dans toute la hautitude de ses 22 mètres et flanquée du drapeau Italien.

Attention les gamins, vous aller faire une dégringolade!

Elle est au sommet du Monte Amiata (1738 mètres). Toute en fer, de par son gabarit elle se voit donc de très loin. Et moi qui ais roulé dans tous les sens au nord de cet ancien volcan (dans le Val D'Orcia), je voyais bien sa forme.

De là haut la vue porte loin mais on voit rien de bien distinct: des taches jaunes au milieu d'autres, vertes. Bof.

Le jour où je suis monté à cette croix, ce fut un parcours où j'en en fait le tour de ce mont. Suis passé dans des localitées qui sentent bon les vacances en Italie: Zaccaria, Prato delle Macinaie, Castelo del Piano, Arcidosso, Santa Fiore, Piancastagnaio et Abbadia S. Salvadore... qu'est ce que ça sonne bien aux oreilles la langue Italienne. Vivement que j'y retourne! Faut qu'j'arrête ce blog: c'est encore trop loin avant d'y retourner! Mais non, j'rigoleu!!! J'me ferait du mal si j'arrêtais.

Alors le monte Amiata, ça n'a rien à voir avec les images que l'on se fait de la Toscane: plus on monte, plus c'est boisée façon haute montagne où le soleil passe difficilement pour atteindre le sol; la fraicheur prend le dessus sur la chaleur estivale. Si d'aventure vous aviez l'occasion d'y faire un saut, penser à la petiote laine... même en aout!

La photo ci-dessous est une autre vue du monte Amiata avec tout le vignoble au premier plan. Cet autre matin je m'en allais à Arezzo...

Regardez le trôner majestueusement au dessus du lot!

mercredi 18 avril 2007

Bah oui, pas késaco puisque Eolune aidée de gum a trouvé que ma toile est une croix.

Sur le cliché ci dessous on voit sur quoi est posé cette croix. En tant que ressortissant d'un pays avec une tour célèbre, la ressemblance ne peut que frapper aux yeux...aïe, ça fait mal!

Toute ressemblance avec ce-que-vous-savez est purement fortuite.

Puisque je vois que j'ai à faire à des déesses des devinettes, auriez vous l'obligeance de me dire maintenant où se trouve cette croix? Comme je me doute que c'est difficile pour qui ne connait pas la région, je vous éclaire que ça se trouve à un sommet. Forcément, faut que ça se voye de loin et croyez moi qu'elle se voit de loin, puisque le sommet est dégagé et que les autres pylones aux cotés de cette croix (des télécoms Italiens et des relais de télévision), on les voit aussi.

Demain la réponse finale...

mardi 17 avril 2007

Une petite devinette: qu'est ce que c'est???

L'araignée est un insecte qui fait des merveilles.

Bon, en réfléchissant deux minutes, c'est quelque part en toscane (puisque je dis en titre que c'est en Italie du mois d'aout dernier et que vous finissez tous par savoir que je suis scotché Toscane). Donc en plus de demander ce que cela est, devinez aussi où cela peut-il bien être?

PS: la suite demain et la réponse mercredi.

lundi 16 avril 2007

Re-présentations pour ceux qui viennent de me re-joindre. C'est Pilou dans toute sa splendeur canine de celui qui n'en a que faire à part d'avoir ses croquettes, ses caresses et de piquer le roupillon de quand ça lui chante.

Cette photo date du début de ce mois d'avril, je dirais même qu'elle a quelque chose comme une semaine d'age. C'est en faisant des essais avec mon numérique que je l'ai pris comme ça, à me voir. J'étais à quelque chose comme 4 mètres de lui et j'ai utilisé mon grand objectif et zoomé en direction de ses yeux. Et lui, tranquille, genre: t'as fini de faire ton crâneur avec ton nouvel appareil numérique!?!

Ce qui est étonnant avec cette photo, c'est pas la photo en elle-même, c'est plutot qu'il regarde droit dans l'appareil photo, comme s'il savait. Si je dis ça, c'est que quand il me regarde ou tout autre personne humaine, il le fait droit dans les yeux et moi, là, je ne regardais pas dans l'appareil photo. Et pourtant il nous regarde de face, en regardant l'objectif.

Sinon, il est pas craquant dans cette pose d'un j'men foutisme des plus flagrants? Il a presque une bouille de chiot, ce qu'il n'est pas car il vient de faire ses 77 ans frappés le mois dernier. Et que le corps est en train de suivre cet age canonique canin.Ouais, c'est ça, prends moi en photo, tu peux pas savoir comme ça me fait une belle pa-patte!

dimanche 15 avril 2007

C'est donc vendredi dernier (le 7 avril) que je me suis payé le luxe d'un nouvel appareil photo, le Canon 400D.

La petite histoire qui m'est personnelle: début aout 2006, je décide d'aller passer ma première semaine de vacances en Italie, du coté de Montepulciano, tout au sud de la Toscane. Le vendredi du dernier jour de mon boulot, je pars donc. Je décide de rester la nuit à Chamonix et de partir magnifiquement très tôt vers l'Italie via le tunel du Mont-Blanc, le lendemain matin. Sauf que voilà, Chamonix, je ne connais pas et avant la nuit tombée, je décide de faire un chti tour dans le centre-ville et de prendre quelques photos comme souvenir. Oh malheur, oh désespoire, oh infamie: je découvre que mon appareil est en panne! Il ne prend aucunes photos!!! Et moi qui ais une cinquantaine de rouleaux de pellicules en stock, moi qui vais aller en Italie et qui ne parle pas du tout la langue et ben me v'là dans la merde jusqu'au cou! En désespoire de cause j'achète un appareil merdique à 130€ dans un magasin du centre-ville. Tant pis. Le lendemain du coté de Pistoia (près de Florence) je me rend compte qu'il remarche! Hein? qu'est ce qu'il s'est passé la veille au soir? Cool! Mais ma joie est de courte durée: il marche en fait quand il veut. Pas tout à fait: en dessous de 1/125 ème de secondes il ne fonctionne plus du tout! En d'autres termes: dès qu'il fait sombre ou carrément nuit, c'est comme si j'étais photographiquement aveugle. C'est ainsi que tout ce qui est pris d'aout dernier, je n'ai rien de nuit.

Au retour de vacances je vais dans un magasin spécialisé photos pour voir s'il est possible de le réparer. C'est faisable mais rien ne dit qu'il refonctionne à 100%. Aller tant pis, je me résoud dans l'achat hypothétique d'un autre appareil, un numérique. On était courant octobre et ce n'est qu'il y a une semaine que je me suis décidé de son achat.

Donc sur la photo ci-bas on voit mes deux monstres, l'ancien au premier plan (Canon EOS 300) argentique et le nouveau en reflet et qui prend la photo (Canon 400D) numérique. Je suis resté à la marque Canon pour pouvoir réutiliser mes deux objectifs avec le numérique.

L'un regarde l'autre

Il ne me reste maintenant qu'à me familiariser avec la bête et la cinquantaine de clichés déjà pris est plus de la mise en bouche qu'autre chose. Il y en a quand même 10 que je vais développer, dont une que je mettrais demain en billet. Par contre le week-end prochain, je vais aller dans un endroit hyper connu et ça va mitrailler à tout va. Et les ponts qui arrivent en mai, aïe aïe aïe!!!

samedi 14 avril 2007

Un autre extrait du film Lisbon story de Wim Wenders. Cette scène se passe le lendemain soir de la rencontre entre Winter et le groupe Madredeus. De nouveau un titre, véritable clip dans le film, qui se trouve dans la BO (CD Ainda)......Alfama, le titre de la chanson est le quartier de Lisbonne au pied du chateau São Gorge et d'où l'on peut aussi visiter la cathédrale. C'est bien naturellement le chemin de prédilection du tramway n°28, ligne qui à la longue va devenir monument national (ça c'est moi qui le dit mais pourquoi pas?)......Alfama c'est donc un quartier de ruelles, de voies sans issues, très populaire, certains diront un peu crade. Il date en partie du moyen-age et sa ressemblance avec les médinas musulmanes où l'on peut se perdre facilement fait qu'il doit remonter à cette époque-ci. Ce quartier a résisté au tremblement de terre de 1755 qui a quand même ravagé la ville basse.......Moi aussi j'aimerais bien avoir la clef du coeur de Térésa (ça aide pas des fois quelqu'un en particulier ?)......Et moi qui voulait mettre ce billet demain matin (comme dit dans une de mes réponses à un commentaire), je me vois contraint de le mettre plus tôt, histoire de relancer le débat...avec plaisir.

Des ptits trous, des ptits trous, je fais des ptits trous...C'est le nombre de cases du pigeonnier Renaissance du chateau d'Epoisses, chateau non loin de la ville de Saumur en Auxois (en Côte d'Or).

Chateau assez important (en son temps) puisqu'une fois passé le porche d'entrée on est dans un petit village miniature: des maisons, des granges, le pigeonnier et même une église, ancienne collégiale du XII.

Comme de bien entendu il y a eu des ravages à la révolution Française (beurk de révolution de merde) mais il reste quelques morceaux importants de tout l'ensemble (Dieu merci).

Donc le pigeonnier. De forme ronde, il comporte 3000 cases, chiffre qui indique l'importance de la seigneurie. Une case correspond à un arpent; 3 arpents correspondent à 1 hectare. Ais-je la bosse des maths si j'arrive à un résultat de 1000 hectares? A vos calculatrices pour me confirmer mes calculs...

vendredi 13 avril 2007

Qu'est ce que l'on peut bien rajouter comme commentaires à la vue de cette photo?

Il y en a pas qui sont nés avec une cuillère d'or dans la bouche?

Ils sont seuls, tranquilles, dans un endroit hors du temps à se laisser vivre de farniente. Ils donnent envie aux prolétaires du monde entier qui n'ont que des cuillères en toc.

Bon, j'arrête la déconne. En tout cas cette photo est simple de détails et elle ne donne envie que de voyages d'ailleurs. Et Cristina de se dire que je lui ais finalement trouvé un bateau pour l'emmener à Lisbonne, n'est ce pas très chère?

Auparavant les caravelles, de nos jours les plaisanciers.

Pour ceux qui ne connaissent pas l'endroit, c'est à Bélem, entre le monument des découvertes et la Tour de Bélem. En face c'est le Tage et au loin, le pont 25 de Abril que regarde le Cristo Roi, sur la rive gauche.

jeudi 12 avril 2007

La tour Solidor ; Dans toute sa splendor (ha!ha!ha!)

Une vue à marée basse ; Les bateaux à la masse (qu'est ce que tu racontes: ça veut rien dire manu!!)

Sans les cales ils sont prêts à tomber ; Sinon, c'est dur de les relever (n'importe quoi pour se faire remarquer!)

Des bateaux de pêche ; A les voir on a la pêche (t'as pas une rime plus facile?)

Une tour à garder l'estuaire de la Rance ; Avec des bateaux bientôt en partance (bon, j'dis plus rien, c'est trop nul)

C'est de ses 27 mètres de haut, la tour Solidor ; Avec une vue qui vaut son pesant d'or (j'vais aller me coucher; ya qu'ça à faire!)Que d'eau, que d'eau !!!!

mercredi 11 avril 2007

La petite ville de Greenwich est connue dans le monde entier du fait du passage du méridien auquel elle a donnée son nom.

Sur les bords de la Tamise on y trouve le National Maritime Museum et non loin de ce musée, le Cutty Sark.

Le Cutty Sark est un majestueux trois mâts sorti des chantiers navals en 1869. Destiné en premier à l'importation du thé de Chine, il devint rapidement célèbre en raison de sa rapiditée. Par la suite le bateau assura le transport de la laine d'Australie.

Vendu en 1895 à une compagnie Portugaise, il revint sur le sol Anglais en 1922 et est depuis 1954 en cale sèche à Greenwich et transformé en une sorte de musée nautique.

Il me faudra quand même un jour visiter son intérieur car de part deux fois je l'ai seulement contemplé du dehors. Mais c'est déjà impressionant dans ses dimensions. Toutes ces cordes dans tous les sens venant des 3 mats, une vraie toile d'araignée! Avec ses 10 000 mètres carrés de voilure, il devait imposer.Un Wisky an cale sèche pour mieux le déguster d'une visite

mardi 10 avril 2007

Dans le bestiaire qui agrémente les arcades du cloitre des Jéronimos, une caravelle. Une autre me direz vous (suite au billet d'hier), et même une autre (encore) de pierre.

Et moi de vous répondre et oui, c'est comme ça.

Le cloitre du monastère des Jéronimos est typiquement Manuélin et c'est à foison que l'on découvre les symboles royaux du monarque et tout ce qui a fait que le Portugal est devenu riche. D'où la caravelle.Détail symbolique d'un passé glorieux

lundi 9 avril 2007

Nous sommes en 1418 et une violente tempête pousse Zarco et son équipage au large des côtes de l'Afrique qu'il visitait. Et il arrive dans l'archipel de Madeire, à Porto Santo. L'année suivante, financé par Henri le Navigateur il revient à Porto Santo y passer l'hiver. En 1420 il se dirige vers les terres auréolées un peu au sud et pose le pied sur l'île principale de l'archipel, Madeire. Leur mode d'embarcation est la caravelle.

Les Portugais ont le chic d'enjoliver leurs zones piétonnières, leurs places publiques ou les trottoires de pavés noir et blanc. Si des motifs viennent casser cette monotonie bi-chrome, c'est encore meilleur et plaisant à l'oeil. Et si ces motifs ont pour trait la mer avec les sphères armilaires (emblème de Manuel 1er), des poissons, des vagues ou des bateaux, c'est le top-top.

Vers des destinations inconnues

Cette rue piétonne est la rue João Tavira à Funchal qui relie la cathédrale à la praça do municipio. L'un des motifs au sol est une caravelle avec ses voiles dont on reconnait la croix (rouge) du Christ, de l'ordre des templiers.

samedi 7 avril 2007

Comment trouves-tu mon derrière?

Frégate ou galion?

Est-ce la poupe (merci google car je savais plus comment on disait l'arrière de ce "truc") d'un navire marchant ou de guerre?

Quoi qu'il en est c'est le panneau d'affichage d'un magasin d'antiquités dans la ville intra-muros de Saint-Malo. Alors même si ce n'est pas uniquements de bateaux, il y en a énormément de ces panneaux, dans les ruelles de Saint Malo. Pour des tavernes, des restaurants, des antiquités, des crêperies, etc...

C'est à croire qu'il y ait eu un jour un concours du plus beau panneau car ils sont tous visibles de loin et très colorés. Et plus ça donne dans le Breton (cette histoire de crêperies) et plus ça fait couleur locale, dépaysant (pour un chti bonhomme comme moi qui ai pris le bateau QUE deux fois et qui habite loin d'une étendue maritime).

Donc, vous saurez (tout comme moi) que l'arrière d'un bateau, c'est la poupe.

vendredi 6 avril 2007

Aller, c'est partie pour une semaine avec un autre thème bien défini. Cette semaine sera sur les bateaux mais pas forcement dès qui vont sur l'eau. Vous verrez bien.

Sauf que dimanche c'est Pâques et que je ne serais pas chez moi pour poster le billet de ce jour-ci. Et lundi ce sera vers la fin du jour. Il est bon de prévenir et de marquer rendez-vous.

Le cornichon aime à se regarder dans un miroir à sa taille

Ce que moi j'appellais oeuf et qui est en fait Gherkin se trouve dans la City.

Batiment à la forme des plus reconnaissables et se voyant d'assez loin où que le regard puisse porter.

... et ici, il crâne fièrement en se mirant dans un autre batiment plus "classique". J'vous jure: tout pour se faire remarquer!

jeudi 5 avril 2007

De la photo du billet d'hier à celle d'aujourd'hui, il suffit simplement de se retournez de 180°. En faisant volte-face, c'est une toute autre vision de l'île sur lequel l'on est.

Toujours cette impressionante masse nuageuse mais qui n'arrive cependant pas à recouvrir les plus hauts sommets avoisinant le Pico Ruivo. Un détail visible sur ce cliché: l'océan Atlantique.

Au loin s'en vont les nuages

Vue en direction Nord-nord est.

Au milieu du cliché on devine un sentier. C'est l'une des deux voies d'accès touristiques pour parvenir au sommet. Vers la fin de mon séjour, j'avais prévue de revenir vers le Pico Ruivo en venant du second sommet: le Pico do Arieiro. Sauf que je m'y suis pris comme un âne puisque j'ai choisi l'un des jours où le sentier est fermé pour restauration. Je m'étais rabattu à contre coeur à prendre ma voiture et à me rendre vers l'autre voie d'accès: Achada do Teixeira (celle là même visible sur ma photo). Et moi qui recherchais la difficultée, cet autre sentier était trop simple: pavé et en pente douce. J'ai même croisé un gamin qui faisait de la trotinette!!!

mercredi 4 avril 2007

Après plus de 3h30 de marche à gravir ou descendre un sentier quelque fois étroit, quelque fois escarpé, un chouia casse-gueule, etc etc... j'arrive au sommet du Pico Ruivo.

C'est le point culminant de l'île de Madeire nous portant à quelque chose comme 1862 mètres au dessus des flots. Que voit-on là haut? Je vous le donne en mille comme en cent: des nuages! Une marée de nuages où que porte vôtre regard? Pas tout à fait, pour être exact.

Le cliché accompagnant ce billet pourrait penser que j'étais encerclé d'une blancheur cotonneuse et qu'à un endroit, un autre sommet dépassait glorieusement de cette masse, tel îlot perdu au milieu d'un océan infini. J'aime bien tromper mon monde: prise de vue en direction du sud-ouest; dans les autres directions c'était dégagé. Mais voilà c'est de là que j'étais venu à pied et c'est en dessous que se trouve ma voiture (plus de 11km plus loin)

Le retour se fera par la suite dans la fraicheur d'un brouillard.

Je vole! Je vole!

J'aime bien cette photo dans la mesure où cette masse nuageuse ne dit pas trop d'où je suis posté. Et si je vous dit que j'ai pris cette photo lors d'un de mes voyages astraux? Mais oui: je vais bien (juste oublié de prendre mes cachets).

mardi 3 avril 2007

Je ne saurais vous dire la signification de tous ces cadenas au même endroit.

Je t'aime, tu m'aimes, nous nous aimons...on est heureux

Ca se passe sur le Ponte Vecchio à Florence, en Toscane. Ce pont a de chaque coté de sa voie piétonnière beaucoup de petites échoppes qui sont autant de bijouteries . Au milieu du pont il n'y en a pas, sinon d'un coté des colonnes qui supportent le corridor de Vasari et de l'autre, juste le bord du pont avec son garde-fou. C'est à ce niveau que l'on rencontre ces cadenas, dans tout ce qui est angles de batiments (des échoppes). Une tige de fer rattachée aux pierres permet à tout le monde de venir y poser sa contribution.

La signification de tout ça, précisement, j'en sais rien. J'imagine que cela doit être la preuve matérielle de ce qu'un couple est venu sur ce pont... en amoureux. Que tant que le cadenas sera là, leur amour sera fort.

Du coup une question existantielle: on en fait quoi de la clé? Est-elle jetée dans l'eau en contre-bas? Est-elle gardée en banque dans un coffre-fort? La coupe t-on en deux et un morceau pour chacun? La met-on en pendentif?

Oui oui, je sais: j'ai des fois un coeur de midinette sous ma panoplie angélique d'ange déchu.

lundi 2 avril 2007

Sur le port de plaisance de la ville de Cassis, cette boule de noeuds (marins?).

Ca m'a plutôt l'air d'être un sacré foutoir et c'est à se demander comment démêler pareille chose? Une fois dans l'eau, est ce que ça se défait tout seul grâce aux courants marins? Ce sont les poissons qui une fois pris au piège font s'ouvrir de pus en plus le piège en voulant s'y échapper? Je sais pas: cela me restera aussi mystérieux que l'extinction des dinosaures.

Grand-mère, comme vous avez de beaux cheveux...

Quoi qu'il en est, j'ai trouvé cette boule assez insolite sur le port de plaisance de Cassis au milieu d'embarcations plus d'estivaliers que de pêcheurs. Bien entendu la mer n'est pas loin et c'est pas comme si je la voyais devant mon chez moi, en pleine bourgogne. A la vue de cette même photo (décidement, qu'est ce qu'elle en raconte!), j'ai une impression d'un chignon de grand-mère. Ok, là je pousse.

Sur le coup, j'ai pas vu en prenant le cliché mais une fois chez moi, je ne vois plus que ça. Le ça, juste en bas à droite de la photo, c'est pas du caca-boudin d'un canidé? Si ça en est et ben c'est malin, moi qui voulait faire classe, je fais dans le scatologique-involontaire. Pffft, c'est bien ma veine.

dimanche 1 avril 2007

Le 29 mars dernier je mettais déjà une photo du Palacio de Mateus et là, coïncidence en voici une autre à quelques jours d'intervale. Si celle du 29 est une vue de face se reflétant dans l'eau, celle que j'avais choisi pour mon calendrier et une vue depuis le parc qui se trouve à l'arrière.

De face on voyait la chapelle à la toute gauche et pour la photo d'aujourd'hui, on voit le clocher qui donne sur le jardin.

Pour qui est venu me joindre en cours d'année, sachez que je mets en début de chaque mois la page d'un calendrier fait avec mes photos que j'ai demandé à ma soeur Rosa de me confectionner. Il n'y a que 6 exemplaires en tout et pour tout de part le monde entier et même de toute la galaxie. Oh et puis soyont fou: de tout l'univers!

Ne cherchez pas plus loin m'ssieurs-dames, cette photo n'a pas encore été mise online sur mon blog. Ca viendra... un jour prochain.

Pensez à vous: ne vous découvrez pas encore.

Nous sommes dans les années 1987 et je suis au Portugal, en vacances.......Passe sans cesse à la télé, une pub sur un groupe de musiciens qui viennent de sortir leur 1er album. Je tombe sous le charme de la voix de la chanteuse et trouve la chanson accompagnant la pub, très belle. Je me souviens du nom de groupe: Madredeus.......Quelques années plus tard sort en France un film de Wim Wenders du nom de Lisbonne Story (1995) racontant les mésaventures de Phillip Winter, ingénieur du son, parti depuis son Allemagne au Portugal, à Lisbonne, rejoindre son ami cinéaste Friedrich qui a besoin de ses services (talentueux) pour sonoriser le film qu'il tourne en ce moment dans cette ville. C'est en prenant des sons pour les rush qu'il a découvert dans les affaires de son ami, que Phillip part à sa recherche à travers la ville.......Wim Wenders a découvert le groupe Madredeus et tombé sous le charme de la chanteuse Térésa Salgueiro. Il leur a demandé de simplement faire la BO de son film et ils ont acceptés......Le groupe y fait même plusieures apparitions et interprêtent 3 chansons qui doivent accompagner le film de Friedrich (et Wenders du coup)......L'extrait que je mets ci-bas est le moment du film où Phillip les rencontre en train de répéter; et nous de les voir une première fois. Alors je vous laisse apprecier le timbre de voix de la petite Térésa avec un premier titre Guitara (guitarre); chanson que j'adore.......Un CD existe de Lisbonne Story sous le nom de Ainda qui regroupe 9 titres. Que l'on aime ou non ce film, c'est les passages musicaux que l'on retient et surtout cette voix sublime que possède Térésa. Je connais quelques personnes qui après avoir vu le film ont achetés la BO du film et, de fil en aiguille, leurs autres albums; moi le premier les possédants tous. Pour qui les as déjà écoutés et qui les connais, mes albums préférés sont Ainda et O paraiso.