Instants d'années (1)

mardi 31 octobre 2006

Ebats amoureux au dessus des toits du couvent de San Esteban. La cigogne mâle est un animal qui se moque de monter sur sa compagne en vue de prolonger la progéniture dudit couple... sur un batiment religieux! L'amour à toute vitesse Je rigole...

Il se trouve que je n'habite pas une région où les cigognes sont légion (région-légion...humour!) alors quand j'en vois, c'est forcément en vacances, dans le sud. Salamanque en a énormément et je n'exagère pas du tout. La nuit, c'en est même impressionnant quand on se trouve du coté des deux cathédrales: chaque pinacle, chaque clocheton, chaque exubérance architecturale est occupé par une cigogne!!! Elles sont debout, surement sur un pied à dormir.

lundi 30 octobre 2006

Du 12 au 15 aout 2005 s'est tenue dans la ville Algarvesque de Silves une foire médiévale. Pour simplifier les explications, c'était une foire où les vendeurs étaient habillés comme antan, les visiteurs (ou touristes) pouvaient s'habiller aussi d'époque (moyennant finances), les étals proposaient des marchandises comme il devait s'en proposer dans ce temps là, des artistes reproduisaient de la musique avec de vieux instruments au milieu des gens, etc etc...

Parmis tous ces gens qui animaient la foire, se trouvait un groupe de comédiens qui, à un moment, a fait un petit spectacle dans la rue entre les chrétiens Portugais de l'époque et les Maures (qui furent chassés de la ville en 1242). Pour info, Silves fut durant la période Mauresque appelée Xelb et capitale de cet empire Maure sur le continent Européen.

Bref, il se trouve que je me suis retrouvé à coté d'un couple qui avait chacun un serpent dans les mains, et autour du cou pour l'homme. J'étais juste à coté de la femme qui avait un boa de taille "normale". Plus que le spectacle devant moi, je regardais surtout ce boa qui se trouvait à 30 ou 40cm de moi sur ma droite. C'est pas tous les jours que je suis aussi près d'un serpent... sans crainte. Entre ses mains

dimanche 29 octobre 2006

Petite gloutonne!

Pas très farouche les écureuils de Londres.

Avec tout ce monde évoluant autour d'eux constamment, manquerait plus qu'ils ne fassent la fine bouche. D'ailleurs ils viennent volontier vers vous quand vous êtes enclain à leur donner quelconque biscuit ou tout autre chose de comestible sous la main. Et si la chance vous sourie, d'autres de son espèce viendront le rejoindre. Sans aller jusqu'à le prendre dans vôtre main, il sera déjà possible de le caresser quand il grignotera ce que vous donnerez.

Cette photo a été prise dans St Jame's Park en direction de Buckingham Palace (et elle n'est pas de moi mais de ma soeur vivant là bas puisque la seule que j'ai prise de ces gremlins, ce jour là, est nulle!).

samedi 28 octobre 2006

Dans le parc du jardin Monte Palace, pas mal d'animaux au milieu d'une végétation riche et luxuriante. Cela va du paon, à la poule et ses poussins, aux cygnes dans les petits lacs en passant par les poissons rouges de la taille de truites. Tout ce petit monde est habitué aux humains puisque se laissant facilement approcher mais pas assez quand même, pour s'éloigner de nous, quand on décide d'être un peu entreprenant de vouloir leur donner d'une caresse. Cygne de venir à lui Il est agréable d'être sous couvert d'arbres, dans des sentiers frais à prendre son temps pour flâner et soudain, un paon passe devant vous, lentement, vous emboitant le pas de vôtre sentier puis d'un coup, s'engageant dans un panel de verdure allant des fougères aux fougères arborescentes. Agréable aussi ces cygnes qui, sur l'eau, pensent que vous allez leur donner quelque morceau de pain et s'approchent de vous. Désolé, je n'avais rien sous la main de comestible et, sachant cela, je me suis vite empressé de prendre ce cygne avant qu'il ne se rende compte de ma supercherie et de s'en aller...

Je voudrais continuer dans les semaines thématiques avec celle qui commence dès ce samedi 28 octobre. Le thème, je l'ai déjà (tout comme les suivants qui sont variés, comme vous le verrez dans les mois à venir), donc le thème je l'ai déjà puisqu'il porte sur les animaux. Je vais me cantonner aux animaux de poils ou de plumes, à sang chaud ou sang froid et qui sont réels. Ca va vous changer des cheminées et, aller savoir, aurez vous des choses à me dire, que ça va vous titiller l'argument chic et choc ...

vendredi 27 octobre 2006

Je rentrais de l'abbaye de San Galgano qui se trouvait à plus de 120km de l'endroit où j'avais mon hotel. En rejoignant la route Sienne-Montepulciano, je suis passé par des routes un peu moins fréquentées des touristes (enfin c'est moi qui le dit) et ce, en presque fin de journée, d'où cette couleur jaune orangée des champs moissonnés des 2 photos suivantes. Le ciel très nuageux donnant des averses à tel endroit et pas à d'autres, un soleil couchant, ras, donne ce résultat (ouahhh, la rime qui tue!) Des paysages moutonnants et, deviner une route grâce aux cyprès la délimitant, c'est tout ce que j'adore!

Vivement l'année prochaine que j'y retourne. Comment peut-on se lasser de cette région?

Les deux clichés sont quasiment du même endroit, au sud de Sienne (que je voyais sur ma gauche très au loin à une vingtaine de kilomètres, mais reconnaissable à sa tour, la Mangia) et ce furent mes deux derniers. Ok, pas vraiment puisque repartant le lendemain pour la France, pour le Portugal, pour Madeire, j'ai pris d'autres photos de la campagne alentour de la ville où j'avais dormis les nuits précédentes...Paysage Toscan au coucher de soleil Qui arrive à voir l'arc-en-ciel à droite de la photo du dessus? Avec moi, ça fait déjà 1.

Paysage Toscan au coucher de soleil

jeudi 26 octobre 2006

On dit la butte de Montmartre. Il est vraie que depuis cette hauteur, on a une partie sud de la capitale Française qui s'offre à nous. Si en plus on monte au niveau du dôme du Sacré coeur, on a une vue étendue de 30km à la ronde... par temps clair! Mais bon, déjà depuis la terrasse devant la basilique, on est à quelque chose comme 100m au dessus de la Seine et on devine quelques monuments célèbres de la capitale. Et le jeu est de les trouver et de deviner leurs noms.

Alors moi, manu, je devine dans le paysage urbain Parisien Notre Dame de Paris, la tour Montparnasse, la bibliothèque François Mitterrant... à bien y regarder, pas grand chose en fait.

Paris devant la terrasse du Sacré coeur

mercredi 25 octobre 2006

Le mur des Canuts

A l'intersection du boulevard avec les rues Denfert-Rochereau et Pelletier se dresse un grand mur peint en trompe l'oeil réalisé en décembre 1987 et réactualisé en 1997. La superficie de l'oeuvre est de 1200m2 et elle évoque de façon pittoresque la vie dans le quartier de la Croix Rousse. C'est le quartier qui va de la Place des terreaux à la Maison des canuts. Le quartier surplombe le vieux Lyon et la Presqu'île.

Détail du mur des Canuts En prenant du recul, on a pas du tout l'impression que l'on a devant nous une façade des plus plates. Et pourtant l'illusion est des plus saisisantes quand on s'en approche. De plus de vraies fenêtres se mélangent aux fausses, histoire de nous embrouiller la vue.

On aurait presqu'envie de gravir les marches...

mardi 24 octobre 2006

Face à La Cléricia (le clergé) se trouve la Casa de las Conchas, une maison qui est plus un palais, avec en façade un large panel de coquilles Saint Jacques (au nombre étonnant de 400 éléments). Il est possible de monter sur la patio dont les colonnes sont très travaillées, pour finalement avoir cette joile vue sur les tours de la façade du collège Jésuite de La Cléricia.

Le patio de la Casa de las Conchas et la vue que l'on a sur la Cléricia

lundi 23 octobre 2006

Camden High Street, un jour comme tant d'autres Bien entendu tout le monde comprend que le SLOW au sol est pour la circulation routière. Mais en détournant ce SLOW qui comme chacun sait devient un DOUCEMENT Français (ou ralentissez si on veut aussi) dans le contexte de la rue, c'est assez hors de propos. Camden Town puisque c'est là que ça se passe et sa rue principale Camden High Street n'est pas une rue où les gens vont Slowly. Trottoirs noir de monde des deux cotés; vendeurs qui veulent faire une bonne journée de vente et au milieu de tout ça, une circulation intense des bus à impériale, taxis et voitures particulières.

Mademoiselle, avez vous vu des deux cotés avant de traverser la rue?

dimanche 22 octobre 2006

Là où que je sois dans une grande ville je m'arrête dans un café pour écrire ces cartes postales destinées à qui de droit, qui se reconnaitra. En Italie, c'est forcément un cappuccino!

La photo esst prise volontairement, je ne me suis pas caché des autres personnes dans le café. Pour être honnête avec vous, j'ai même mis en scène ce qui avait sur la table pour que cela ressorte tel que vous le voyez. En fait, quand j'ai vu venir la tasse du cappuccino avec la mousse blanche au centre du café... tilt! Il faut dire que la blancheur de la tasse sur une nappe rouge criarde vaguelée, cela ajoute de la beautée au final. Pas déçut du résultat.Un cappuccino, sinon rien

samedi 21 octobre 2006

Funchal étant en bord d'océan, il y a donc un port industriel (pas si industriel que ça, enfin je veux dire que ça ne défigure pas trop le paysage côtier) et un port de plaisance avec ses bateaux de pêcheurs et ses yachts. Une jetée nous permet de s'avancer dans la mer, de prendre du recul pour contempler la ville sous un beau point de vue... et quel point de vue, mes enfants!

La ville de Funchal depuis la jetée.

C'est un montage de 5 photos; en les prenants j'ai fait en sorte que cela sorte raccord quand je reviendrais en France. Et je me suis planté dans c't'affaire! Ben oui, au niveau du ballon il manque une zone pour que cela se touche correctement. Je vous dis pas comme j'étais déçut! Je l'étais croyez moi.

Description sommaire (de gauche à droite):

--- le palacio de São Lourenço (derrière le lampadaire au premier plan).

--- un bateau qui est en cale sêche (en fait c'est un restaurant: le bateau fait office de cuisine et de tables de diner et tout autour de lui, d'autres petits bateaux qui sont autant de tables d'invités pour ceux qui veulent diner au dehors).

--- la cathédrale (achevée en 1514).

--- un ballon qui permet de voir la ville de haut à bord d'une nacelle (je ne l'ai jamais vu s'élever durant la semaine de mon séjour).

--- derrière la ville, les collines, plus ou moins sous les nuages.

Sinon, voici une photo satellite de l'île pour vous situer la capitale administrative de la région (au sud) et le village de villégiature (au nord):

Positionnement de Funchal sur l'île

vendredi 20 octobre 2006

Rua direita d'Evoramonte Evoramonte étire son unique rue à l'intérieur d'une muraille médiévale qui enceinte un chateau du XVI. La rua direita qui commence vers le pont levis en montant vers le chateau nous permet de voir de hautes cheminées typiques du sud portugais (du moins dans l'Alentejo). Amusant de constater qu'elles sont toutes coté rue, comme si la première chose que l'on verrais en rentrant dans ces maisons blanchies au lait de chaux, ce serait le foyer de cheminée. Je ne saurais dire comment est l'intérieur de ces maisons et surtout le pourquoi de ces imposantes souches de cheminées. Dans d'autres villages, j'ai aussi eu l'occasion d'en voir d'identiques.

jeudi 19 octobre 2006

Le pavillon de Flor Face à la pyramide du Louvre, sur notre droite le pavillon de Flor clôt l'aile sud du musée si célèbre. Alors moi quand je vois ce genre de cheminées, je me demande si c'est plus de l'ésthétique que de la fonctionalitée. Y a t-il, non pas un pilote dans l'avion, mais un antre de cheminée au début du conduit? Bon, je vous dirais simplement que oui, le pavillon de Flor date de l'époque d'Henri IV (1589-1610) et qu'à cette époque là, le Louvre était une résidence royale et non pas le musée que l'on connait tous. Comme c'était un lieu de vie, pour se chauffer, il fallait l'antre de cheminée et les conduits pour sortir des toits.

On devine à peine sur ma photo que la terminaison des souches se termine par plusieures sorties, soit surement une cheminée dans chaque pièce du chateau (musée). En tout cas, les dimensions des souches de cheminées au sortir de la toiture sont impressionantes.

mercredi 18 octobre 2006

L'un des fleurons de l'ordre Cistercien, est le monasteire de Santa Maria de Alcobaça. Ce joyau classé au patrimoine mondial de l'Unesco est l'une des plus belles abbayes cisterciennes que nous ait laissées le Moyen-Age. J'aurais largement l'occasion de revenir sur l'histoire et l'architecture de l'église et des communs dans d'autres occasions, sur ce blog. Cheminée monumentale d'Alcobaça

Jouxtant le réfectoire se trouve la cuisine monumentale, agrandie au XVIII. Au milieu de cette pièce se trouve sa cheminée de 18mètres de hauteur. Celle-ci est recouverte de céramique blanche. Cette cheminée gigantesque a donnée lieu à des interprétations les plus fantaisistes sur la faim dévorante des moines. Mais il ne fallait pas moins de ça pour nourrir les 132 moines et frères convers, auxquels s'ajoutaient les domestiques, en 1762. Sans compter sur les hôtes de passage tels la reine Maria 1ère, en 1782, accompagnée de 400 personnes.

mardi 17 octobre 2006

Toits de ChambordLes nombreuses cheminées pointant au sommet du chateau de Chambord sont tour à tour couronnées de motifs royaux, surmontées de statues ou ornées de losanges d'ardoise. Leurs silhouettes se détachent sur fond de toitures et de dômes d'escaliers.

Certaines souches de cheminées contiennent pas loin de 12 conduits de fumées parallèles; impressionnant!

lundi 16 octobre 2006

Sintra est une ville à une grosse vingtaine de kilomètres à l'ouest de Lisbonne. Une ville magnifique et riche historiquement parlant. Le lieux est d'une fraicheur si particulière qu'il en devient un site de villégiature d'été de la monarchie Portugaise. Sintra est depuis 1995 inscrite au patrimoine de l'UNESCO. Palacio Nacional de Sintra Au centre-ville, le palais royal. Si au XIII c'est une véritable forteresse, jusqu'aux XVI, elle est agrandie pour devenir une résidence de la cour digne de ce nom. Manuel 1er voulait ce palais encore plus beau que celui de l'Alhambra de Grenade. Cheminées coniques du palais

Ce qui est marquant du Palais Royal de Sintra, c'est sont couple de cheminées coniques, ajoutées au XVIII, dominant le palais et la ville elle même.

La cuisine a été isolée du palais pour éviter tous risques d'incendie. Les cheminées font 33m de haut et elles sont autant impressionantes de l'extérieur que de l'intérieur.

dimanche 15 octobre 2006

Plusieurs fermes isolées de la Bresse Savoyarde possèdent une cheminée des plus originales. On les nomment les cheminées Sarrasines. C'est pas trop un mot d'origine géographique mais plutôt une survivance du sens médiéval qui signifiait appartenant à une civilisation étrangère, ancienne ou inconnue.

Entre Mâcon et Bourg-en-Bresse on en rencontre une trentaine qui datent des XVII et XVIII. A l'extérieur, une mitre assimilable à un petit clocher coiffe le conduit de cheminée. De plan rond, carré ou octogonal et d'inspiration Romane, gothique ou byzantine, ces mitres sont ajourées sur un ou plusieurs étages et se terminent par un cône, une pyramide ou un clocheton de style baroque. D'une hauteur inhabituelle (3 à 5m) et surmontées d'une croix en fer forgé, elles auraient abrité autrefois une cloche. Ferme de Vercours Ferme de Sougey

samedi 14 octobre 2006

Alte est un village à des années-lumières de l'uniformitée trompeuse des stations du littoral de l'Algarve.

Les conduits de cheminées sont très variés en ce qui concerne tout ce qui les caractérises: la taille, la hauteur, le volume, la conception, les matériaux, la couleur. Les maisons ne sont guère différentes les unes des autres dans la mesure où elles sont badigeonnées de blanc de chaux. Ce qui les ornementes, ce sont les bordures (soubassements et encadrements colorés), les balustrades des terrasses et les cheminées.

Un conduit de cheminée qui fonctionne est généralement noir à sa sortie en raison de la fumée de combustion. Dans les deux clichés ci-dessous, comme on peut le voir, rien de tout ça. A croire qu'elles ne sont pas utilisées...Cheminée de Alte -1- Cheminée de Alte -2-

vendredi 13 octobre 2006

On est à la mi-octobre et donc pas loin de rallumer sa cheminée pour, soit chauffer son habitation, soit pour faire joli dans son séjour. Je dis ça pour qui, déjà en ont une, de cheminée, et ensuite se chauffe au bois.

Bref, je tourne autour du pot, juste pour dire que d'ici samedi prochain, je vais faire une semaine thématique sur les cheminées. Je sens surtout que ça va pas faire l'unanimitée et que je vais perdre du monde en route... Rester là: vous aller en voir des spectaculaires comme d'autres toutes modestes, simples.

Vous inquiétez pas, je suis pas un maitre ès-cheminées, mais il y en a qui sont aussi intérressantes à voir qu'une Joconde. Ok, la comparaison est des plus nulles.

Bonne semaine... et, bon feux de cheminée!

Vila Viçosa est une ville bien tranquille de 4300 habitants dans la région de l'Alentejo, non loin de l'Espagne. Les ducs de Bragance, qui ont régnés sur le Portugal durant 270 ans (XV au XVII), y avaient une vaste réserve de chasse (2000 ha). Le duc Jaime Ier de Bragance (1479-1532) trouvant le chateau médiéval trop exigü décide de la construction d'un palais ducal à la mesure de pouvoir y donner des fêtes sompteuses, acceuillir des visiteurs illustres ou des ambassadeurs étrangers. La construction durera de 1505 à 1563. Le palais deviendra par la suite une demeure de la monarchie Portugaise et depuis, est un musée (2,50€).

La maison de Bragance, dont la devise était Depois vòs, nòs (Après vous, nous), avait choisi les noeuds comme symbole en raison du double sens du mot nòs (nous et noeuds). Après la visite du palais, on ressort par la porte des noeuds. C'est un portail en marbre et en schiste qui est un vestige du rempart de XVI. Alors moi, neuneu que je suis, moi qui voulait voir cette porte en allant à Vila Viçosa, je l'ai franchie sans m'en rendre compte. M'en retournant vers la place du palais, j'ai bien senti que quelque chose clochait, que j'avais pas tout vu. Plus qu'à retourner sur mes pas et, alléluia (et moi de découvrir qu'il faut que j'enlève mes oeillères de temps à autres). La porte des noeuds

jeudi 12 octobre 2006

La rive sud de la Tamise en direction de Saint Paul (reconnaissable à son dôme). Attention au monstre marin! Qu'est ce que je pourrais bien vous dire sur cette photo? Il y a une chose qui ressort, c'est ce ciel ensoleillé. Chez nous c'est pas grand chose, mais de l'autre coté de la Manche, c'est un détail qui vaut énormément. Et la pluie qui tombe n'est pas une image d'épinal. Londres n'est qu'à 170km des côtes et c'est souvent qu'il y pleut. Mais quelques fois c'est une pluie qui ressemble plus à un crachin, une pluie qui n'a pas besoin de umbrella. Attendez, je me rends compte que pour une fois que c'est une photo de Londres sous un bon ciel, je me mets à faire allusion au mauvais temps! Et puis parler de la pluie et du beau temps, tu parles d'une discution! En gros, on parle de ça quand on a pas grand chose à dire (oups!).

Londres, ça construit de partout. Il n'y a que lorsque l'on est sur les quais que l'on a une vue d'ensemble de la ville. Il est vraie que les batiments sont ramassés les uns à cotés des autres, tant et si bien que l'on a l'impression de respirer quand on s'en éloigne. Et puis l'eau attirera toujours le marin que je ne suis pas, le citadin qui voit l'océan une fois l'an (minimum) pendant les vacances, le zig que je suis qui ne sait pas nager.

Bon aller, j'arrête.

mercredi 11 octobre 2006

Durant cette journée où j'ai fait les 3/4 de l'île en voiture et à l'ouest de funchal, aux environs de midi je me suis retrouvé du coté de Calheta dans un petit restau en haut d'une falaise. Comme le paysage est de partout une invitation à être contemplée, j'ai mangé mon sandwich debout, les yeux rivés au large marin et du coté opposé, celui montagneux. Le spectacle était aussi dans les airs puisqu'un couple faisait du parapente juste devant moi en allant tantôt sur l'eau et tantôt sur la terre ferme. Au moins ça m'a fait passer du temps.

Et dans l'eau, un bateau qui a attiré ma curiositée avec une trainée autour de l'embarcation. Je ne pouvais croire un instant qu'il y avait polution maritime juste devant moi; non c'est pas possible, pas au bord d'une île quasi-paradisiaque! Dans un Portugais approximatif j'ai demandé à un autochtone ce que faisait le bateau ci-bas? Cette personne m'a répondue que le bateau prenait du sable au fond marin... OUF!!! Greenpeace peut passer son chemin... Pause détente d'avec un parapente (pas très Français!) Manu qui s'inquiète de l'écologie.

mardi 10 octobre 2006

Dans mon premier jour de visite des Chateaux de la Loire, je me fais le plus imposant de tous (Chambord) et celui qui se trouve être le plus petit: Troussay.

Le chateau de Troussay se trouve à 3km d'un autre chateau célèbre de ce val de Loire, Cheverny. On pourrait plus qualifier Troussay de gentilhommière Renaissance plutôt que d'un chateau. Le haut corps de Logis central est encadré de tours en briques losangées, et de larges communs précèdent sur la droite l'habitation. Le manoir d'origine date du XV et, restauré une première fois au XIV. Le nouveau proprio des années 1800, Louis de La Saussaye, voyant la décrépitude du logis eu la brillante idée pour l'époque d'ornementer l'extérieur ainsi que l'intérieur d'éléments de décorations provenant d'autres monuments de la région, alors en voie de disparitions. Le chateau de Troussay La visite du chateau est guidée (4,60€). Il est aussi possible de visiter les dépendances qui est un petit musée sur la vie Solognotte d'autrefois (domestique et agricole).

Le chateau est toujours habité. Il a changé 2 fois de propriétaires depuis le XV.

Il y a 1 an, je surfais sur le net et, arrivé sur un blog (de-je-ne-sais-qui-ni-pourquoi, d'ailleurs), il y avait tout en bas un créer vôtre blog. Sans trop savoir quoi en faire et surtout quoi y mettre, je m'en suis créer un. Les débuts furent laborieux dans leurs contenus puis, j'ai vite trouvé une voie en donnant un avis personnel sur les films que je voyais à la télé ou, quelque fois en salles. Mais voyant que je mettais une critique de temps en temps, je me suis mis à combler ce vide d'une photo par jour, des différents lieux où je suis allé ces dernières années. Je m'y suis pris au jeu et dorénavant, c'est avec plaisir que je mets à jour continuellement ce blog d'une photo. Et même si je suis allé dans plusieurs pays et que mon crédit photo est énorme (vous pouvez me croire), je désespère de ne parler que de ces mêmes lieux.

Tout ça pour dire que mon blog a déjà 1 an ce 10 octobre 2006. 1 an, c'est trop jeune, c'est comme un bébé.

C'est ainsi que je voudrais profiter de ce jour pour remercier toutes les personnes qui viennent me rendre visite, anonymes ou non; celles qui laissent un petit message et même celles qui n'en laissent pas. Cela me donne envie de continuer de vous surprendre à travers mes dires ainsi que de ces clichés pris par moi.

Tout simplement, je vous donne rendez-vous à dans 1 an...

Vous avez toute ma sympathie et ma gratitude.

lundi 9 octobre 2006

Montepulciano est un village de près de 14500 âmes riche en palais Renaissance. C'est l'une des villes Toscanes fortifiées la plus haute (605m). La rue principale, le Corso, grimpe en direction de la Piazza Grande, le centre monumental de la ville. Son plan irrégulier, ses façades de style divers évitent toute monotonie architecturale. Duomo de Montepulciano Le Duomo fut construit de 1592 à 1630 mais la façade n'a pas eu son revêtement de marbre. Le campanile est également inachevé. Palazzo Tarugi, Palazzo della Pretura et le puit. Sur le pourtour de la Piazza, des palais comme le Palazzo Nobili-Tarugi. Il comporte un portique et un grand portail à arcs en plein cintre; 6 colonnes ioniques posées sur une base très haute supportant des pilastres de l'étage supérieur, où se trouvait une loggia, aujourd'hui aveugle. Autre palais, le Palazzo della Pretura, gothique (XIV) devant lequel se trouve un puits de 1520. Et bien entendu le palais d'où j'ai pris ces clichés (plus quelques autres), le Palazzo Comunale (XIV) qui évoque le Palazzo Vecchio de la ville de Florence.

Maintenant je vous vois venir avec vôtre question: qu'est ce que c'est que cette scène entre la Duomo et le puits? Et moi de vous répondre: patience, dans quelques temps je vous en parlerais...

dimanche 8 octobre 2006

Ce soir, grâce à une certaine personne, en me connectant via le net sur l'opéra Garnier à Paris, j'ai pris connaissance qu'au mois de juin 2007, il allait y avoir des représentations de La Traviata de Verdi (du 16/06 au 12/07).

S'il y a bien une oeuvre lyrique que j'adore entendre, c'est bien celle-ci: l'histoire de cette petite femme du nom de Violetta Valéry condamnée par la médecine et qui tombe amoureuse. Bien evidemment j'ai le film de Franco Zeffirelli datant de 1982 avec Teresa Stratas et Placido Domingo, mais aussi en ma possession 3 versions télés de l'opéra dont celle de prise en directe dans des lieux plus ou moins proches de Paris (le petit palais, le hameau de la reine à Versailles et l'île Saint Louis) passée sur France 3. Sans compter sur le CD qu'il m'arrive d'écouter.

Bien que le livret soit en Italien, je connais toute l'histoire de Violetta et de son Alfredo.

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulut voir cet opéra au moins une fois dans ma vie, et je sens que c'est une chose qui va se faire prochainement.

Donc il est encore trop tôt pour en parler puisque la vente des billets ne peut se faire pas avant mi-février, mais pourquoi pas de vous tenir au courant au fur et à mesure des démarches à venir. De toute façon, je n'ai une fenêtre que sur 2 jours (le 16 et 30 juin)...

Pour plus d'info: http://www.operadeparis.fr/Saison0607/Spectacle.asp?Id=987

Il ne m'a pas fallut longtemps pour me rendre compte de cette profusion de fleurs sur les bas cotés des routes de l'île de Madeire. Sitôt eu la voiture de location en ma possession au premier jour, je m'en suis allé vers mon hotel en prenant cette route principale qui longe la côte nord de l'île. J'ai traversé des villages des noms de Faial, Santana, Ponta Delgada et à chacuns d'entres eux, même topo. Tant et si bien qu'il faut redoubler de prudence en les traversant dans la mesure où, n'ayant pas d'accotements, les gens marchent sur la route (sans parler des animaux domestiques). Les maisons que j'ai vu donnant sur la route n'ont pas de murs de séparation et du coup, les fleurs de leurs jardins viennent se jeter sur le bitume. De toute façon, même s'il y avait un mur séparateur, ces mêmes plantes passeraient par dessus. Route traverssant un village de Madeire

Route de campagne En pleine campagne, c'est encore plus surprenant car on est loin de toutes habitations et c'est à nouveau une profusion de couleurs florales des deux cotés de la route. Je ne suis pas au faît des noms de ces fleurs, mais ça m'a réjouit, amusé, marqué comme être l'un des bons souvenirs de mon séjour là bas.

Inutile de vous dire que je roulais à allure modérée toutes vitres baissées...

Le rio Mondego traverse la ville de Coimbra. Avant Lisbonne et après Guimarães, cette ville fut la capitale du Portugal naissant. En effet la ville fut prise aux Maures en 1064 par Dom Afonso Henriques, premier roi du Portugal.

Ville très riche d'un point de vue historique: ancienne capitale du pays; premier siège universitaire du pays (1308, après une première fondation d'une universitée à Lisbonne en 1290); 20000 étudiants avec des traditions vieilles de 4 siècles; les tombeaux des 2 premiers rois Portugais; le Portugal dos Pequeninos (le Portugal des tout-petits) qui est le site le plus visitée de tout le pays après l'océanorium de Lisbonne (qui lui même a suplanté le musée des carosses); etc etc... Coimbra et le fleuve Mondego Voici donc la ville de Coimbra au petit matin, sur sa colline avec la tour ( sorte de campanile) de la vieille universitée que les étudiants surnomment a cabra (la chèvre) en raison de l'une des 3 cloches qui rythmaient la vie étudiantine. Tour achevée en 1733, elle est le symbole de la ville.

samedi 7 octobre 2006

Cathédrales

Après avoir traversé le rio Tormes par le pont romain piétonnier je m'en suis allé vers l'est, vers le pont suivant (routier) pour re-rentrer dans la vieille ville. Bien entendu, j'ai fait un petit arrêt pour admirer le groupe des 2 cathédrales et immortaliser la chose sur papier glacé. Le reflet dans l'eau fut le bienvenu pour enjoliver la photo. Par contre cette horreur de batiment blanc qui se veut moderne casse avec tout ce qui, pierre, constitue la vieille ville.

De loin, on pourrait croire à une version Italienne d'édifice religieux. Ok, je m'explique: si l'on ne sait pas ce que cela représente, on pourrait dire que vous avez l'équivalent d'un Duomo (avec sa coupole) et son campanile. Alors qu'en fait ce n'est nullement cela et que l'on a en fait la catédrale vieja (à gauche) et la catédrale nueva (à droite).

petit rapel:http://mlmp.free.fr/index.php?q=sous+le+ciel+%C3%A9crasant

vendredi 6 octobre 2006

Le monument le plus visité de Londres, le British Museum. Il attire chaque année 5 millions de visiteurs. Contrairement au Louvre, l'entrée est gratuite pour les expositions permanentes. On y trouve de tout, comme au Louvre. Enfin pas vraiment puisque les peintures se trouvent plus du coté du National Gallery (Trafalgar Square). Personellement je m'attendais à y passer une journée entière; 3h00 m'ont suffises. J'étais déçus! Par contre, ce que l'on découvre en expositions, c'est superbe. J'adore la partie Egyptienne dans n'importe quel musée que je sois...

Une surprise dans ce musée: la pierre de Rosette! Surprise, car je ne m'y attendais absolument pas du tout: je rentre dans la partie Egyptienne et je vois un attroupement de personnes au niveau de l'entrée. Je me dirige vers eux et.... alléluia!

Bon, ma photo. Une fois passé la façade néo-classique et un premier hall on arrive dans la Grande Cour (Great Court). C'est un espace carré avec une salle de lecture circulaire en son centre (le dôme de cette bibliothèque est encore plus vaste que celui de St Pierre, à Rome). Tout l'espace au dessus des têtes est recouvert d'une verrière aussi vaste que 50 serres (la plus grande place publique couverte de la ville).

jeudi 5 octobre 2006

Certaines personnes peuvent s'étonner de voir une pyramide de verre en plein milieu de la cour Napoléon avec, autour d'elle, des éléments de batiments constituant un ensemble connu de tous comme Le Louvre.

On fait la queue pour accéder à cette pyramide, si on désire visiter le musée, bien entendu. Descente d'escaliers ou escalators vers les différents guichets, un petit coup d'oeil dans ce large hall et... qui pense à lever la tête?

Pile poil au bon endroit, on a les losanges qui nous jouent un effet étirement en descendant vers la base de la pyramide. Les câbles que l'on devine à peine nous font une immense toile d'araignée. La réussite de cette photo tiens aussi au fait qu'il n'y a pas de nuages pour nous attirer du regard ou nous donner une notion d'espace, de profondeur de champs.

mercredi 4 octobre 2006

A une petite dizaine de kilomètres de la frontière commune avec l'Espagne, ce pont enjambe le Guadiana entre les villages de Mourão et Monsaraz sur la N256 dans la région de l'Alentejo. Le Guadiana fait frontière naturelle avec l'Espagne à deux endroits. Son nom évoquerait (peut être) en Arabe: un cours d'eau qui disparait pour ressurgir un peu plus loin, après de souterraines divagations inconnues. Petit repos au bord de l'eau lors d'une journée de chaleur étouffante...

Pour Vespertine, Björk a fait une tournée mondiale. Si en Mai 2003, je suis aller spécialement un samedi soir à Londres pour la voir en concert, je l'ai revue les 16 et 17 juin 2003 au Palais Omnisport de Bercy, pour le même concert. Trois fois la même année!

Pour le lundi soir (le 16) j'avais un billet pour être dans la fosse. Concert à 21h00, mais pied de grue devant l'entrée de Bercy dès midi sous une chaleur de plomb! J'étais dans les 20 premiers dans la queue... et à 4 ou 5 mètres de la scène, de la miss! Le mardi soir (le 17) j'avais une place numérotée et j'ai put me balader tranquillement dans Paris (que je connais trop bien). Je ne vous dirais pas comment j'ai put rentrer mon appareil photo alors que l'on était fouillé et les appareils interdits. Et le fun fut de rentrer aussi mon gros objectif, celui de 75-300!

Sur les 150 photos que j'ai du concert, il n'y en a que 30 de net! J'avais un rouleau 400ISO et ce n'est que plus tard que j'ai appris que j'aurais dut avoir au moins un 1000ISO. Puisque j'étais venu à son premier concert Parisien de la veille, je savais à quoi m'attendre comme titres chantés.

Sur Scène, Björk est accompagnée du String Octet, de Zeena Parkins à la harpe et de Matmos de tout ce qui est accompagnements électroniques. Face à eux, quelque chose comme 17000 personnes.

mardi 3 octobre 2006

J'en ai déjà parlé de cette place sublime se trouvant à Pise portant le nom Piazza Dei Miracoli (besoin de traduction?) avec en tout, 4 monuments.

Le Duomo de Pise est tout en marbre, tout comme le campanile et le battistère. La façade du Duomo, qui superpose plusieures galeries à colonnes au-dessus d'un soubassement d'arcatures aveugles aux tympans décorés de mosaïques de marbre, sera le prototype de l'art romano-pisan (à Lucques ou Pistoia par exemple).

Pour ce cliché, il faut monter sous le dôme du battistère. Il y a quelques fenêtres à ce niveau mais elles sont toutes opaques, sauf une! Celle qui m'a permis d'avoir ce résultat. Si je dis ça, c'est que ce fut un coup de bol en plus puisque c'est par un petit bout de la vitre, brisée, que j'ai utilisé à bon escient.

Comme je sais (ainsi que vous tous) que le campanile est penché, en voyant cette photo, j'ai le sentiment profond que si la tour est penchée, c'est pour moi, rien que pour moi. Bah oui, elle savait que j'allais venir, un jour, à Pise. Que j'allais monter prendre cette photo et que le Duomo allait la gêner. Alors elle s'est penchée sur la droite pour être dans le champs de ma photo.

... attendez, il y a les hommes en blanc avec une drôle de veste qui viennent me chercher

lundi 2 octobre 2006

Bon, le premier qui se moque, je ne sais pas ce que je lui fait, mais je lui fait!

Au moins vous avez la bête, l'arme du crime, la chose à tout faire, la boite qui fait des images.. bref vous avez la prolongation de mes mains quand je voyage: mon appareil photo dans toute sa splendeur!

Tout ça pour vous raconter une mésaventure des plus désagréables survenue au mauvais moment:

1) Fin juin je me rends compte que les piles lithium sont nazes; j'achète et je remplace. Ca marche.

2) Vendredi 4 aout, je pars en Toscane après ma journée de boulot. Je décide de passer la nuit du vendredi au samedi à Chamonix pour repartir très tôt le lendemain matin. Tiens, Chamonix, je ne connais pas, je vais aller me promener pour prendre 1 ou 2 clichés. Horreur et damnation, mon appareil photo est en panne!!! Supposé faire clic-clac, il ne fait que clic. Pour clac, je dois l'éteindre! Dans un magasin photo, j'achète une merde à 139€ pour me dépanner des 3 semaines à venir, tant pis.

3) Le lendemain à Pistoia, je me rends compte qu'il refonctionne mais dans un emploi bien particulier: toujours prendre les photos à plus de 1/125ème de secondes. En gros quand il fait sombre et qu'il se met sur 1/60ème ou 2secondes (deux exemples parmis tant d'autres chiffres), il ne fera que clic sans le clac.

4) C'est bien simple: j'ai passé 3 semaines sans aucunes prises de vue d'intérieures ou de nuit.

5) Il ne me reste maintenant plus qu'à le réparer; c'est une question d'obturateur qui est fatigué m'a-t-on dit.

6) J'ai le choix entre le réparer tout en sachant que je risque de ne jamais retrouver l'appareil à 100% ou alors de n'acheter que la boite (neuf ou d'occasion) puisque j'ai deux objectifs.

7) Moi qui pensais à l'achat d'un numérique d'ici aout 2007, la vie fait que les choses se précipitent dans un mauvais sens en me contraignant l'achat rapide d'un nouvel appareil.

8) Miser dans un Canon numérique ressemblant à mon argentique avec une fourchette de prix comprise entre 700 et 800€.

Vous en pensez quoi?

dimanche 1 octobre 2006

Dans Londres se trouve 2 parcs que sont Hyde Park et Kensington Gardens. Au sud de ce dernier se trouve le quartier de South Kensington, typiquement Victorien, qui regroupe pas mal de musées et d'institutions scientifiques ou artistiques.

A la frontière de Kensington Gardens et de ce quartier se trouve le Royal Albert Hall, Victorien mais de style Renaissance Italienne. Bâti de 1867 à 1871 sur un plan curviligne, il présente un appareillage de brique sur lequel se détache une frise de terre cuite évoquand le triomphe des arts, et un dôme métallique.

Ce qui s'y passe dedans est extrèmement varié: réunions politiques aux concerts pop (Björk en novembre 2000), en passant par des matchs de boxe.

Mon cliché est depuis le Prince Consort Road (le parc se trouve derrière le Royal Albert Hall). Ce qui serait de la neige chez nous c'est de la pluie à Londres. Et moi, bonne pomme de sortir mon appareil photo alors qu'il tombe des gouttes qui se retrouvent sur mon objectif. Cela donne finalement quelque chose d'original: à moitié raté mais pas dégueu au résultat...