Instants d'années (1)

dimanche 8 octobre 2006

Ce soir, grâce à une certaine personne, en me connectant via le net sur l'opéra Garnier à Paris, j'ai pris connaissance qu'au mois de juin 2007, il allait y avoir des représentations de La Traviata de Verdi (du 16/06 au 12/07).

S'il y a bien une oeuvre lyrique que j'adore entendre, c'est bien celle-ci: l'histoire de cette petite femme du nom de Violetta Valéry condamnée par la médecine et qui tombe amoureuse. Bien evidemment j'ai le film de Franco Zeffirelli datant de 1982 avec Teresa Stratas et Placido Domingo, mais aussi en ma possession 3 versions télés de l'opéra dont celle de prise en directe dans des lieux plus ou moins proches de Paris (le petit palais, le hameau de la reine à Versailles et l'île Saint Louis) passée sur France 3. Sans compter sur le CD qu'il m'arrive d'écouter.

Bien que le livret soit en Italien, je connais toute l'histoire de Violetta et de son Alfredo.

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulut voir cet opéra au moins une fois dans ma vie, et je sens que c'est une chose qui va se faire prochainement.

Donc il est encore trop tôt pour en parler puisque la vente des billets ne peut se faire pas avant mi-février, mais pourquoi pas de vous tenir au courant au fur et à mesure des démarches à venir. De toute façon, je n'ai une fenêtre que sur 2 jours (le 16 et 30 juin)...

Pour plus d'info: http://www.operadeparis.fr/Saison0607/Spectacle.asp?Id=987

Il ne m'a pas fallut longtemps pour me rendre compte de cette profusion de fleurs sur les bas cotés des routes de l'île de Madeire. Sitôt eu la voiture de location en ma possession au premier jour, je m'en suis allé vers mon hotel en prenant cette route principale qui longe la côte nord de l'île. J'ai traversé des villages des noms de Faial, Santana, Ponta Delgada et à chacuns d'entres eux, même topo. Tant et si bien qu'il faut redoubler de prudence en les traversant dans la mesure où, n'ayant pas d'accotements, les gens marchent sur la route (sans parler des animaux domestiques). Les maisons que j'ai vu donnant sur la route n'ont pas de murs de séparation et du coup, les fleurs de leurs jardins viennent se jeter sur le bitume. De toute façon, même s'il y avait un mur séparateur, ces mêmes plantes passeraient par dessus. Route traverssant un village de Madeire

Route de campagne En pleine campagne, c'est encore plus surprenant car on est loin de toutes habitations et c'est à nouveau une profusion de couleurs florales des deux cotés de la route. Je ne suis pas au faît des noms de ces fleurs, mais ça m'a réjouit, amusé, marqué comme être l'un des bons souvenirs de mon séjour là bas.

Inutile de vous dire que je roulais à allure modérée toutes vitres baissées...

Le rio Mondego traverse la ville de Coimbra. Avant Lisbonne et après Guimarães, cette ville fut la capitale du Portugal naissant. En effet la ville fut prise aux Maures en 1064 par Dom Afonso Henriques, premier roi du Portugal.

Ville très riche d'un point de vue historique: ancienne capitale du pays; premier siège universitaire du pays (1308, après une première fondation d'une universitée à Lisbonne en 1290); 20000 étudiants avec des traditions vieilles de 4 siècles; les tombeaux des 2 premiers rois Portugais; le Portugal dos Pequeninos (le Portugal des tout-petits) qui est le site le plus visitée de tout le pays après l'océanorium de Lisbonne (qui lui même a suplanté le musée des carosses); etc etc... Coimbra et le fleuve Mondego Voici donc la ville de Coimbra au petit matin, sur sa colline avec la tour ( sorte de campanile) de la vieille universitée que les étudiants surnomment a cabra (la chèvre) en raison de l'une des 3 cloches qui rythmaient la vie étudiantine. Tour achevée en 1733, elle est le symbole de la ville.