Pas trop mon truc de visiter une ville en calèche.

Du bout des doigts de pieds au haut de la cuisse, tout fonctionne chez moi pour que je n'ai pas à prendre ce véhicule attelé à un cheval.

Séville en son centre-ville fourmille de ces calèches touristiques. Si le coeur vous en dit de faire un tour, on les trouve facilement à deux endroits: le parque de Maria Luisa et autour de la cathédrale. D'ailleurs ma photo est prise au pied de la Giralda dont on reconnait son appareillage de briques (contrairement aux pierres de la cathédrale).

J'attends, tu attends, il attend, nous attendont, vous attendez, ils attendent tous...

D'un point de vue logistique, chevaux et propriétaires sont stationnés à l'ombre dans l'attente du touriste Landa (tiens, le revoilà ce Landa, ça faisait pas longtemps). Et là, la zone au niveau du chevet de la cathédrale est une bonne partie de l'après-midi ombragée. Continuont de faire plaisir à ceux qui redoutent le soleil, les calèches sont plus ou moins décapotables et dans le cas présent elles avaient toutes des capotes, c'est vous dire la quarantaine de degrés journaliers de l'été dernier (bah oui, on est déjà en automne)!