Instants d'années (1)

vendredi 23 février 2007

A nouvelle semaine qui commence, commence un autre thème. Alors vous savez quoi, je vais reposer mes photos et me cantonner aux cartes postales. En effet, lorsque je me trouve dans une ville d'un pays donné, j'achète toujours des cartes postales pour les envoyer aux personnes qui me sont chères ou du moins celles que je connais. Vous me direz que pas mal de monde le fait et au moins ça fait marcher le commerce local et la poste de deux pays.

Ce que je fais aussi c'est d'en acheter d'autres que je garde pour moi pour les mettre dans les albums photos respectifs des pays ou régions visités. Je privilégie les vues du ciel, vues que je ne peut avoir en temps normal. Il en est d'autres que je suis obligé de me procurer, ces cartes postales de ces musées, édifices religieux ou de chatelains où il est dit dès le départ qu'il est interdit de prendre des photos. Alors je les achètes.

J'en avais déjà mis en ligne quelques unes ici et ici . Donc voici un petit échantillon de ces vues du ciel...

PS: j'aurais l'occasion de vous en parler fin mars, mais (copiant sur un autre blog) je compte récompenser 4 d'entre vous de 4 cartes postales que j'enverrais courant aout de l'Italie, du Portugal ou de l'Espagne.

A quelques kilomètres de la région Parisienne, la ville Bourguignonne de Sens.

En vous tenant au centre de la place de la République, vous aurez d'un coté la Cathédrale St-Etienne et de l'autre le marché couvert lui faisant face. Et moi je trouve que c'est douteux comme conjugaison de batiments. D'un coté des pierres de la fin du XII et de l'autre, quelque chose qui se faisait dans la seconde moitié du XIX: architecture métalique à remplage de briques. La charpente est apparente.

Alors oui, c'est assez nul d'avoir construit pareil batiment devant un autre et qui de plus, est majestueux. Mais voilà, ce n'est que mon avis, mais je trouverais maintenant sacrilège de détruire les halles si une quelconque personne haute placée dans la ville décidait de sa démolition. Nan, ça se garde.Allons nous en faire la marché.