En 1780 la via Po s’enorgueillit de l’ouverture du caffé Fiorio. L'entrée prometteuse de délices intérieurs... A cette époque c’est le goût du café qui attire les clients car les locaux ne sont guère accueillants, étroits, sombres, meublés de tables et de bancs en bois. Au fond de la salle une grande table où trône une bassine remplie d’eau dans laquelle le client jette les pièces de monnaie pour payer son écot, et le serveur doit y plonger tout l’avant-bras pour donner le reste, ceci comme désinfection en souvenir de l’épidémie de peste! Les tasses n’ont pas d’anses et sont plutôt des petits bols.

De nos jours, nous n'avont plus à nous inquiéter de peste ou d'autre maladie. Le café est devenu un point de raliement pour les amateurs de glaces.

Bon, en ce qui me concerne, au mois de mars j'avais pas la tête à me prendre une glace alors je me suis rabattu sur un café et les cafés Italiens, c'est le summum des cafés.



Un café, siouplait.

L'année 2010 qui commence et pour la seconde année consécutive je sais que je n'irais pas de l'année dans ce pays. C'en est à pleurer.