Instants d'années (1)

samedi 16 janvier 2010

Je trouve que je viens de faire trop de billets en rapport avec des églises alors que je suis loin d'être une grenouille de bénitier. Alors changeons de sujets...

Et non, ce ne sont pas d'immenses rochers. C'est plutôt moi qui me la joue "chérie j'ai rétrécie les gosses" et d'être à ras les pâquerettes... qui dans ce cas-ci sont galets.

Mais c'est immense!

J'ai lut un jour qu'un fort pourcentage de photos étaient prises à hauteur des yeux et qu'il fallait "casser" cette routine en prenant des poses "hors-normes" et quand je le peux... enfin: quand j'y pense et que surtout l'occasion se présente, je n'hésite pas à payer de ma personne et à paraître idiot au regard des personnes qui me voient faire.

Le pompon de ce que j'ai jamais fait est une photo que j'avais posté ICI en juin 2006... mais qui s'en souvient, c'est si loin, 2006.

vendredi 15 janvier 2010

Catarina Benincasa née à Sienne le 25 mars 1347, morte à Rome le 29 avril 1380, est une mystique, tertiaire dominicaine et théologienne.

San Doménico est l'église sur les hauteurs que l'on voit sur ma photo. C'est un édifice d'un style gothique puissant et sévère dont la construction s'est étalé du XIII au XIV siècles. C'est dans cette église que Sainte Catherine de Sienne (Catarina Benincasa) aurait eut ses extases. D'ailleurs la maison natale de la sainte n'est pas très loin de cette église; cette maison se visite.

Au premier plan on voit la Fonte Branda, la fontaine Branda toute de brique, qui est la plus ancienne de Sienne. Elle existait déjà en 1080, mais c'est en 1246 que lui fut donné sa forme actuelle qui rappelle les façades des palais gothiques siennois pas son couronnement crénelé et ses trois arches amples comme des portails.Une basilique en haut et une fontaine en bas.

samedi 9 janvier 2010

En 1780 la via Po s’enorgueillit de l’ouverture du caffé Fiorio. L'entrée prometteuse de délices intérieurs... A cette époque c’est le goût du café qui attire les clients car les locaux ne sont guère accueillants, étroits, sombres, meublés de tables et de bancs en bois. Au fond de la salle une grande table où trône une bassine remplie d’eau dans laquelle le client jette les pièces de monnaie pour payer son écot, et le serveur doit y plonger tout l’avant-bras pour donner le reste, ceci comme désinfection en souvenir de l’épidémie de peste! Les tasses n’ont pas d’anses et sont plutôt des petits bols.

De nos jours, nous n'avont plus à nous inquiéter de peste ou d'autre maladie. Le café est devenu un point de raliement pour les amateurs de glaces.

Bon, en ce qui me concerne, au mois de mars j'avais pas la tête à me prendre une glace alors je me suis rabattu sur un café et les cafés Italiens, c'est le summum des cafés.



Un café, siouplait.

L'année 2010 qui commence et pour la seconde année consécutive je sais que je n'irais pas de l'année dans ce pays. C'en est à pleurer.