Instants d'années (1)

jeudi 3 mai 2007

En temps normal je ne mets pas les cartes postales que je reçoit en cours d'année, à la rigueur celles reçus à la fin des grandes vacances, j'dis pas. Mais là, l'occasion fait que j'ose l'impensable!

Moi qui voulait conter fleurette à ma belle, voilà qu'il pleut

Reçu ce jeudi une carte postale de Londres de Rosa qui est partie hors de Londres quelques jours; c'est malin!

Moi qui ais donc mis une photo d'elle ce même jour, c'est déjà une coïncidence. Sur sa carte, vous reconnaissez le Gherkin et le batiment de la Loyd's...ainsi que l'un des mêmes lampadaires dont j'avais fait le lien dans un de mes commentaires d'avant hier. Comme quoi tout se retrouve! Et vous savez quoi d'autre? Oui je sais, j'ai l'esprit super tordu: au premier plan, un banc! Tout comme les chaises, les bancs sont fait pour s'assoire! C'est super raccord avec ma petiote semaine!

Aller, j'me calme.

Alors Rosa, c'est comment Scotland?

Avant toute chose je dois vous avouer que cette photo n'est pas de moi mais de Rosa. J'étais pas loin d'elle et je l'ai vu prendre ce cliché. Dans cette ville de Londres, j'ai pas grand chose raccord avec ma semaine thématique alors je lui vole la vedette mais signant de sa signature.

Du 9 juin 2005 au 9 octobre 2005 s'est tenu une exposition de tableaux de Frida Kahlo, une artiste Méxicaine à la Tate Modern, le musée d'Art moderne Londonnien. En aout de cette même année j'y étais. Pour être vraiment honnête avec vous, moi, l'art moderne, c'est absolument pas du tout ma tasse de thé et je n'ai pas été tenté de voir les tableaux de Frida. J'étais accompagné ce jour là, et je suis plus rentré dans le hall du Tate plus pour le batiment que pour visiter un musée. Si j'étais seul, même si c'est des tableaux qui ne m'attirent pas trop, je crois quand même que j'auris pris un billet d'entrée. Je connais la vie de ce bout de femme par le film retraçant sa vie et puis, retrospectivement, je regrette maintenant de ne pas y être allé! Ma vie, quoi!

Je connais un système d'épilation sans douleurs, tu m'en diras des nouvelles, tu verras...

Donc la photo n'est pas de moi et ça se voit! C'est pas de la moquerie, bien au contraire: j'aurais voulut avoir l'idée de ce cliché car on a visuellement l'impression que Frida regarde celui (ou celle) qui est assis en face de la chaise vide (et que l'on ne voit pas). Et cette autre personne doit dire quelque chose d'interressant car Frida est absorbée par la discution et qu'elle en a un petit sourire au coin des lèvres.

On est au niveau de la cafétéria du musée (la raison des tables et chaises) et sur l'un des murs il y avait beaucoup de photos de l'artiste féminine à plusieures périodes de sa vie et des copies de quelques tableaux que j'aurais put voir si j'en avait eu l'envie.