Instants d'années (1)

mardi 29 mai 2007

Ce n'est pas mon tableau préféré du British Museum.

Disons que je le trouve étonnant à plus d'un titre en sachant que le principal est le visage (masculin) de la dame. D'ailleurs, heureusement qu'il y a les seins, la robe et la coiffe pour nous rappeler que c'est une dame... une gente dame.

Une vieille femme grotesque Une vieille femme grotesque Quinten Massys (1465-1530)

Etonnant aussi quand on connait la période historique du peintre. C'est une peinture de Quinten Massys (1465-1530). On est dans la période Renaissance et cette période est plus religieuse ou mythologique, qu'autre chose. Et là, un peintre s'est amusé (amusé?) à peindre une caricature d'un membre du beau sexe (quoi? ça vous fait pas rire?). D'où la question qui tue: est ce la vraie représentation picturale d'une femme? Mon Dieu qu'elle devait être moche, archi-moche! Et puis les doigts de sa main droite, c'est une maladie ou quoi?

Et dire que j'aurais put mettre une autre carte postale d'un Léonard de Vinci (La vierge et l'enfant avec Sainte Anne et Saint Jean Baptiste), ou d'un Van Gogh (Le célèbre Les tournesols) mais non, je choisis un Massys. C'est tout moi, ça.

mercredi 23 mai 2007

Quand ce qui fait partie de l'Histoire d'un pays, l'Angleterre, pour ne pas le nommer, part en fumée, c'est pas drôle pour les générations futures.

Maintenant il faut dire "avant".Il y a peu, via Rosa, j'apprennais que le Cutty Sark était en rénovation. Un petit tour sur le net et l'on apprends qu'il y en a pour 25millions de £ de travaux et que cela réouvrira au public courant 2009. Et bien regarder confortablement cette photo depuis votre petiote chaise car si vous ne le savez pas encore(je ne l'ai appris qu'hier en tout fin de soirée je regarde pas les infos... ou si peu), mais le pont supérieur est parti en flammes. L'infrastructure aussi en a pris un coup. Ca s'est déclaré vers les 4h45 du matin. Une explosion inexpliquée. A l'heure actuelle la police enquête. C'est trop con quand même; un bateau majestueux du XIX qui part en fumée.

J'ai lut de ci de là que les mats ont étés enlevés pour être traités ailleurs. C'est une chance, une bien maigre consolation dans ce malheur. Alors si la restauration va pousser jusqu'à refaire à nouveau ce bateau, ce ne sera plus pareil car il ne sera plus du XIX à 100%. Il ne restera que le nom, Cutty Sark, et des éléments à droite à gauche d'origine.

Le feux, après la révolution Française, t'es pas non plus mon ami.

Al Quaïda et son Ben Laden?

samedi 12 mai 2007

Alors moi j'en connais qui pourront chercher longtemps avant de trouver l'explication de la photo ci-bas. Vous serez grand-père ou grand-mère avant d'avoir la réponse.

La bonne longueur des jambes, c'est quand elles touchent le sol!

Ce qu'il y a au sol entre mes chausures et celles de la personne avec qui j'étais, c'est la matérialisation (en dure) du méridien de Greenwich se trouvant dans la ville du même nom. Un rail de cuivre, scéllé au sol, indique le méridien de longitude zéro. C'est ainsi que pour la postéritée, sur cette photo je serais à quelques secondes en retard (ou en avance car je ne sais plus qui étais à l'Ouest ou l'Est de l'autre) de la personne m'accompagnant ce jour là.

Ce rail est près du Old royal Observatory qui se trouve sur la colline surplombant la Tamise. Ce rail monte le long d'un mur de pierre avec, en son sommet, une pierre qui donne l'Est de l'Ouest.

On s'amuse comme on peut avec nos pieds!

jeudi 3 mai 2007

En temps normal je ne mets pas les cartes postales que je reçoit en cours d'année, à la rigueur celles reçus à la fin des grandes vacances, j'dis pas. Mais là, l'occasion fait que j'ose l'impensable!

Moi qui voulait conter fleurette à ma belle, voilà qu'il pleut

Reçu ce jeudi une carte postale de Londres de Rosa qui est partie hors de Londres quelques jours; c'est malin!

Moi qui ais donc mis une photo d'elle ce même jour, c'est déjà une coïncidence. Sur sa carte, vous reconnaissez le Gherkin et le batiment de la Loyd's...ainsi que l'un des mêmes lampadaires dont j'avais fait le lien dans un de mes commentaires d'avant hier. Comme quoi tout se retrouve! Et vous savez quoi d'autre? Oui je sais, j'ai l'esprit super tordu: au premier plan, un banc! Tout comme les chaises, les bancs sont fait pour s'assoire! C'est super raccord avec ma petiote semaine!

Aller, j'me calme.

Alors Rosa, c'est comment Scotland?

Avant toute chose je dois vous avouer que cette photo n'est pas de moi mais de Rosa. J'étais pas loin d'elle et je l'ai vu prendre ce cliché. Dans cette ville de Londres, j'ai pas grand chose raccord avec ma semaine thématique alors je lui vole la vedette mais signant de sa signature.

Du 9 juin 2005 au 9 octobre 2005 s'est tenu une exposition de tableaux de Frida Kahlo, une artiste Méxicaine à la Tate Modern, le musée d'Art moderne Londonnien. En aout de cette même année j'y étais. Pour être vraiment honnête avec vous, moi, l'art moderne, c'est absolument pas du tout ma tasse de thé et je n'ai pas été tenté de voir les tableaux de Frida. J'étais accompagné ce jour là, et je suis plus rentré dans le hall du Tate plus pour le batiment que pour visiter un musée. Si j'étais seul, même si c'est des tableaux qui ne m'attirent pas trop, je crois quand même que j'auris pris un billet d'entrée. Je connais la vie de ce bout de femme par le film retraçant sa vie et puis, retrospectivement, je regrette maintenant de ne pas y être allé! Ma vie, quoi!

Je connais un système d'épilation sans douleurs, tu m'en diras des nouvelles, tu verras...

Donc la photo n'est pas de moi et ça se voit! C'est pas de la moquerie, bien au contraire: j'aurais voulut avoir l'idée de ce cliché car on a visuellement l'impression que Frida regarde celui (ou celle) qui est assis en face de la chaise vide (et que l'on ne voit pas). Et cette autre personne doit dire quelque chose d'interressant car Frida est absorbée par la discution et qu'elle en a un petit sourire au coin des lèvres.

On est au niveau de la cafétéria du musée (la raison des tables et chaises) et sur l'un des murs il y avait beaucoup de photos de l'artiste féminine à plusieures périodes de sa vie et des copies de quelques tableaux que j'aurais put voir si j'en avait eu l'envie.