Instants d'années (1)

mardi 15 mai 2007

De la même position que pour les deux photos d'hier, mais vu dans l'autre sens.

S'il n'y avait pas l'eau, on serait sur Mars.Alors même s'il se faisait tard j'aurais bien poursuivit ma petite aventure pédestre mais j'étais arrivé en fin de parcours. Enfin ce qu'il me semblait d'un parcours. Il faut dire qu'au delà des 4 mètres devant moi, c'était une falaise à-pic sur les vagues venant frapper la roche en contre bas. Même s'il était possible de continuer, il aurait été difficile d'aller jusqu'à la toute fin des terres car ça se termine par des îlots. Difficile à voir le phare tout au bout. Mais il est là.

Est ce moi qui ait une vue des plus perçantes, mais devine t-on la rondoditée de la terre avec l'horizon de l'eau? Moi je vois une légère rondeur... et pourtant on est qu'à une petite centaine de mètres d'altitude. Quoi qu'il en est, tout au fond, mais très loin, très très loin, ce sont les côtes Africaines, les côtes Marocaines au niveau de Casablanca...

lundi 14 mai 2007

A la fin d'une journée où j'avais fait les 3/4 de l'île en voiture, j'étais arrivé en (presque) fin de journée au début de la pointe de São Lourenço.

Il y a un parcours pédestre de 3km pour aller tout au bout de la pointe et je me suis posé la question de savoir si c'était bien le moment de le faire. Bah oui, le soleil était à se coucher et je voyais surtout des gens revenir vers l'île (habitée) que de s'en aller vers ce no man's land. Si j'y allais est ce que j'aurais le temps de revenir avant la nuit tombée? Oh et puis zut: on est là pour se donner des frayeurs, oui ou non? Et ben j'y suis aller et la preuve en est cet assemblage (douteux et surtout raté) de 2 photos prises en direction de l'île.dire qu'il me faut revenir sur mes pas!

Une idée géographique de l'endroit exacte où je me suis trouvé pour faire ces deux photos.Merci google earth.

mercredi 2 mai 2007

- Comment vas tu chaise n°1? - Je vais bien chaise n°2.

Oui, je sais: une petite similitude avec les chaises du billet précédent. Le fer-ritude de la chaise et la vide-itude des personnes non présentes dessus.

On retrouve le craqué (craquelé?) de la peinture, ce qui fait non seulement un ensemble rustique, mais aussi familiale.

Photo prise le long du bord d'océan, sur les esplanades qui s'alignent en attendant le touriste landa, à Funchal.

Si le billet précédent est du matin, celui-ci est de la fin de journée. Une journée terminée sous la pluie, ce qui explique le succès de toutes les places vacantes.

PS: au moins je ne me suis pas chopé un esgo(S)tos dans la ligne de mire!