Instants d'années (1)

samedi 24 mars 2007

Tournus, petite ville de plus de 6700 âmes en bordure de Saône (dans la Saône et Loire comme département). Tournus et sa vieille ville, Tournus et son Abbaye St Philibert, Tournus, Tournus et Tournus.

Une grille simplement ouvragée

En se promenant le long de la rue de l'Hôpital, on arrive devant ce portail en pierre rose avec une grille en fer forgé qui appartiennent à l'hôtel-Dieu. Cet établissement a cessé de fonctionner en 1982. Mais les salles anciennes ont été retaurées pour témoigner des conditions de soins et de vie hospitalière depuis les XVII. De nos jours, l'hôtel-Dieu est donc un musée en deux parties: une partie hospitalière et le musée Greuze, un peintre originaire de Tournus, Tournus et Tournus.

jeudi 22 mars 2007

Décidement, ce dimanche du mois de juin fut vraiment productif en photos musicales. Il y eu le groupe sur le pont entre l'île Saint Louis et l'île de la cité, le cornemusier dans les jardins du Louvre et là, ce saxophoniste sur le pont des Arts.

Tout comme le billet précédent, j'en avais déjà dit du bien de cet artiste précédement au travers d'une autre photo où l'on devine des personnes au loin.

Dans celle d'aujourd'hui (qui est la seconde et dernière que j'ai de cette personne à nous montrer son talent), il est bien seul avec la plus belle ville du monde comme arrière plan et le Pont des Arts comme scène. Comme quoi, avec le ciel rayonnant au dessus de soi, le bonheur c'est simple comme des notes qui s'envolent, qui s'envolent, qui s'envolent...

Le chanteur de jazz

dimanche 18 mars 2007

Les jardins du Louvre.

Tagada tsoin tsoin...

Dans ce même dimanche que le billet précédent, ce joueur de cornemuse avec costume traditionnel. Photo trompeuse car il ne semble jouer pour personne en particulier puisqu'il semble bien seul malgré les personnes assisent en arrière plan (et qui ont l'air aussi bien distantes à l'écouter). Détrompez-vous, m'ssieurs-dames.

Ce qui est bien dans une capitale de renommée internationale, c'est que l'on rencontre très facilement des joueurs d'instruments, disons exotiques. Et ce, qu'ils soient Ecossais ou d'un pays d'Asie. Quand on y est pas habitué à entendre ces mélodies d'instruments hors du commun (comme moi), on s'arrête, curieux et on savoure l'instant présent...

samedi 17 mars 2007

Le pont Saint Louis permet d'aller d'une rive à l'autre... Je sais: je commence très mal! Il faut dire que je débute dans les répliques simili-intelligentes!

Le pont Saint Louis permet de joindre l'île de la Cité à l'île Saint Louis. On est à Paris, forcement. Forcement aussi d'assister à un petit boeuf d'un groupe de musiciens, un dimanche après-midi sur ce pont qui est du coup fermé à la circulation. Et de ce fait, ce pont devient leur scène et le bord du trottoire, un banc improvisé pour le commun des mortels que nous sommes, mélomanes en tête... Il n'y avait pas de fête de la musique à l'horizon et l'on était pas à Trifouillie les oies.

Le dimanche de préférence

La musique adoucie les moeurs, dit-on? En tout cas, par ce beau jour ensoleillé, elle est plaisante à l'écoute...

mardi 13 mars 2007

Sur le coté gauche de l'église Notre Dame se trouve une petite sculpture représentant une chouette sur l'un des contreforts de la chapelle Chambellan (XV). Cette petite chouette a donné son nom à la rue, la rue de la chouette.

Il est dit qu'elle exaucerait un voeu si on la caresse de la main gauche. Bien entendu vôtre serviteur s'est joué au jeu et, croyez le ou non, mais depuis, mon voeu s'est exaucé: celui de vous connaitre! Bon, j'en vois qui ne rigole pas!

C'est chouette, l'usure des voeux.

Ce fut une chouette et à la vue de son usure, il y en a des milliers de mains qui y ont crues! Combien de voeux exaucés? Ca, c'est le mystère des plus complèts.

En continuant la rue de la chouette vers le chevet de l'église Notre Dame, on arrive vers cette photo.

mardi 6 mars 2007

La serre du potager du Chateau de la Bussière. Ce chateau se trouve non loin de Briare et de son Pont-canal.

Serre ensoleillée.

Cette serre est si délicieusement ombragée que l'on aurait envie de s'assoire sur ces chaises qui n'attendent plus que nous.

C'est calme, tranquille, isolé; un sentiment de temps suspendu...

Elle fut construite au début XIX et servit jusqu'en 1965 à garder les plantes fragiles hors du gel.

Lors de ma visite, j'avais lut qu'elle était prévue en restauration. Je la trouve très bien telle quelle, limite sauvage.

samedi 3 mars 2007

Dans le vieux Lyon, pas loin du musée des automates, on trouve la montée des Epies. On est dans le quartier St Georges.

La montée en elle même, c'est pas grand chose, juste des escaliers quoi. Par contre la vue que l'on a sur Lyon vaut que l'on y fasse un arrêt. Il n'y a qu'à voir la photo que j'ai choisi. Pour les non-Lyonnais, on reconnait 2 batiments, à savoir la tour du crédit Lyonnais, tour haute de 140m; ainsi que la cathédrale St Jean se détachant des toits, vers la gauche.

Des toitures qui annoncent déjà le midi

Une autre chose que j'aime bien dans ce cliché c'est son absence de présence humaine. Et puis ça va paraître idiot, mais on devine guère les antennes de télévision alors que ça devrait être une vraie forêt de ces choses là.

Ce que je trouve étrange et que j'ai découvert en voyant au développement, c'est les 3 pyramides vers le milieu de ma photo; mais qu'est ce qu'il peut y avoir en dessous? Tout autour c'est des tuiles canal sauf ces 3 coiffes.