Instants d'années (1)

samedi 29 novembre 2008

Dans la cathédrale de Séville.

Les quelques jours précédent le 15 aout, jour de l'assomption (montée de la vierge au ciel), il y avait une messe toutes les fins de journées. Il y avait les touristes moyennant finances qui visitaient l'édifice, et vers les 18h00, place à la religion.

Après cette heure-ci, on pouvait rentrer par le petite porte pour assister à une messe en l'honneur de la vierge. Mais bon, toutes les places étaient prises et même qu'un garde filtrait les gens (comme dans une boite de nuit. Trop touriste, tu rentres pas plus loin!).

Farniente c'est aller au spectacle dans des arènes, mais aussi assister à une messe. Aout, j'vous dit pas la chaleur et même si sur ma photo on ne voit qu'un éventail, ça fouettait de l'objet partout!!! (Oh comme c'est si vilainement dit, Manu).Je vous salue Marie pleine de grâce...

lundi 24 novembre 2008

Je sais que c'est tiré par les cheveux mais bon, c'est moi qui décide. Une semaine de photos de personnes assisent à se reposer, c'est pas trop la photo de ce lundi.

2 à 1 pour ceux qui gagnent (mais qui sont-ils?).

Donc j'étais à Séville. En fin de journée je me balladais, non pas au gré du vent, mais plus au feeling, sans but précis. C'est ainsi que je me retrouve à assister à l'entrainement de kayakeurs qui se la jouent water-polo, sur le Guadalquivir.

Bon, ce qui dans un premier temps était simplement de me faire passer du temps à les regarder jouer (sans trop savoir des règles de jeux), est vite devenu à essayer de comprendre comment qu'on y joue. Ca a duré un bout de temps mais bon, comme j'en avait à revendre, c'était pas plus mal.

dimanche 23 novembre 2008

Depuis la Plaza de Espagna qu' il est plaisant de s'en faire le tour de Cadix en longeant le front de mer.

Dos à la ville. Sur la face nord on a les Alamedas de Apodaca et Alamedas del Marquès de Comillas. Ce sont des allées piétonnes entre ville et mer, véritables balcons sur l'océan et offrant des vues imprenables.

Pas mal de bancs incitant les gens que nous sommes à un repos bien mérité... même si l'on est pas fatigué. Que ce soit pour lire un (bon) livre, écouter son baladeur, flirter en amoureux, regarder oiseaux marins ou voir passer les bateaux, que c'est si bon de se dire que l'on est dans un lieux de rêve...

lundi 10 novembre 2008

Sur la seconde photo de cet ancien mais néanmoins récent billet, on peut voir le Real Alcazar de Séville.

Derrière l'ensemble palatial se trouve un véritable Eden. Tout comme le palais, ces jardins ont étés dessinés à différentes périodes: époque Arabe, Renaissance, baroque... Ils occupent les 4/5ème de la surface totale de l'Alcazar et sont étagés en terrasses où, comme à l'habitude, l'eau occupe une place de choix.

Les jardins royaux de l'Alcazar n'ont plus de secret pour moi.

Dire qu'en d'autres temps, je n'aurais jamais put voir ça de mes yeux, ni d'arpenter ces allées et venues. Bah oui, j'aurais été un pauvre et ma présence en ces lieux aurait fait tache parmis ces rois z'é reines.

Amis occulistes, dites à vos patients que sur ma photo il est possible de voir la Giralda au dessus de l'un des palmiers (en gros à 1/3 en partant de la droite).

jeudi 6 novembre 2008

En route vers Grazalema, comme le panneau l'indique.

Pour une fois je ne vais pas me décarcasser d'un speech de mon cru. Qui a le guide Michelin de l'Andalousie retouverait en page 359 ce qui suit: la route des villages blancs, une des plus belles d'Espagne, est encore assez méconnue. Elle sillonne de fabuleux paysages montagneux, des sites sauvages, désolés par endroits, et des vallées verdoyantes.

J'arrive à Grazalema.

Grazalema est l'un des villages les plus interressants du circuit (l'autre serait Ronda). Au dessus de la ville, tel un gardien, veille le Pic del Peñon Grande (plus de 1000 mètres d'altitude). Impossible de ne pas le remarquer...