vendredi 4 novembre 2011
ven 4 nov 2011
Ma photo du jour date de 2003 et j'ose espérer que depuis cette année si lointaine, les échafaudages ne sont plus là. Me dites pas que depuis plus de 8 ans, ils sont encore dans cet état!!!
Mais nan, faut pas pousser le bouchon à dire des conneries si grandes!
J'vous dis pas mon état quand j'ai vu ça, quasiment à me dire que c'est même pas la peine de le visiter, ce chateau. Mais bon, j'ai ravalé ma salive et franchis le pont-levis pour aller voir de l'autre coté, ce coté qui justement est face à la loire, face au village de Chaumont-sur-Loire se trouvant en contre-bas.
Le Château de Chaumont-sur-Loire illustre à la fois l’architecture défensive de l’époque gothique et l’architecture d’agrément de la Renaissance.
C'est Charles Ier d'Amboise qui entreprend de 1469 à 1481 la construction du chateau tel que nous pouvons le voir en visite. Il fera néanmoins édifier l'aile nord faisant face à la Loire, disparue à la fin du XVIIIème siècle.
La porte d'entrée précédée d'un double pont-levis est enserrée par deux grosses tours rondes, massives, dotées de mâchicoulis et de chemins de ronde.
En fin d'année 1559, Catherine de Médicis, propriétaire du château depuis 1550, l'échange à sa rivale Diane de Poitiers, maîtresse du défunt roi Henri II (1519-1559), contre celui de Chenonceau.
Mais nan, faut pas pousser le bouchon à dire des conneries si grandes!
J'vous dis pas mon état quand j'ai vu ça, quasiment à me dire que c'est même pas la peine de le visiter, ce chateau. Mais bon, j'ai ravalé ma salive et franchis le pont-levis pour aller voir de l'autre coté, ce coté qui justement est face à la loire, face au village de Chaumont-sur-Loire se trouvant en contre-bas.
Le Château de Chaumont-sur-Loire illustre à la fois l’architecture défensive de l’époque gothique et l’architecture d’agrément de la Renaissance.
C'est Charles Ier d'Amboise qui entreprend de 1469 à 1481 la construction du chateau tel que nous pouvons le voir en visite. Il fera néanmoins édifier l'aile nord faisant face à la Loire, disparue à la fin du XVIIIème siècle.
La porte d'entrée précédée d'un double pont-levis est enserrée par deux grosses tours rondes, massives, dotées de mâchicoulis et de chemins de ronde.
En fin d'année 1559, Catherine de Médicis, propriétaire du château depuis 1550, l'échange à sa rivale Diane de Poitiers, maîtresse du défunt roi Henri II (1519-1559), contre celui de Chenonceau.