sam 14 avr 2007
C'est le nombre de cases du pigeonnier Renaissance du chateau d'Epoisses, chateau non loin de la ville de Saumur en Auxois (en Côte d'Or).
Chateau assez important (en son temps) puisqu'une fois passé le porche d'entrée on est dans un petit village miniature: des maisons, des granges, le pigeonnier et même une église, ancienne collégiale du XII.
Comme de bien entendu il y a eu des ravages à la révolution Française (beurk de révolution de merde) mais il reste quelques morceaux importants de tout l'ensemble (Dieu merci).
Donc le pigeonnier. De forme ronde, il comporte 3000 cases, chiffre qui indique l'importance de la seigneurie. Une case correspond à un arpent; 3 arpents correspondent à 1 hectare. Ais-je la bosse des maths si j'arrive à un résultat de 1000 hectares? A vos calculatrices pour me confirmer mes calculs...
Le samedi 14 avril 2007 à 02:05
Désolée, Manu, mais je ne sais pas compter. Les maths et moi, on a jamais été très copains...Par contre, je sais apprécier ce cliché, surtout pour son intérêt géométrique. Cet ensemble dont tu parles a l'air, en outre, fort intéressant.
Le plus marrant est que mon article du jour va aussi dans la direction de perpectives photographiques suggérée par ta photo
Bonne soirée, puisque tu ne liras que ce soir!
Gum
Le samedi 14 avril 2007 à 02:10
Détrompe toi: il est 2h10 et je sais pas pourquoi: je me suis connecté pour voir si j'avais des commentaires de nuuit... et en effet! Je répondrais mieux plus tard dans la journée.
Le samedi 14 avril 2007 à 02:25
Je ne sais pas si tu es dans le coin (à ta place, j'irais vite me coucher, mais bon...). je suis en train de me pencher sur le cas de ce Madredeus et je constate que Cesaria Evora a fait des trucs avec eux, dont Alfama (fado!!!)...
Allez boa noite, cette fois!!! ;-)
Le samedi 14 avril 2007 à 02:40
Encore moi...Avant d'aller dormir, je me suis payée un petit luxe : "Meditacion" de Madredeus. J'avoue que ça vaut le coup!
Le samedi 14 avril 2007 à 03:27
Césaria Evora, je connais ce petit bout de femme mais c'est pas trop mon truc et puis le fado, c'est définitivement pas mon truc!
Gum, pourrais-tu attendre demain (dimanche) pour parler de Madredeus puisque c'est mon billet de demain. Ton "Méditacion" (à l'Espagnol) c'est en fait "O pastor".
Tu sais, Madredeus ça vaut le coup, même leurs titres rien que musicaux.
Et oui, je sais pas quoi te dire sinon que cette nuit, je ferais mieux de voir un film car le sommeil tarde à venir...
Le samedi 14 avril 2007 à 05:40
une vraie maternité.
Je vois que je ne suis pas la seule a être insomniaque, ça rassure ....
bonne journée
Le samedi 14 avril 2007 à 06:55
En ce qui me concerne ce n'est pas être insomniaque (je ne le suis pas), mais disons que cette nuit, aller savoir pourquoi, c'était pas ça.
Contend de te voir là, lilou.
Le samedi 14 avril 2007 à 13:31
heureusement pour toi qu'il n'y avait pas de pigeon, sinon, il t'aurait fallu un imper a capuche !
Le samedi 14 avril 2007 à 22:26
Juste impressionnant
Le samedi 14 avril 2007 à 22:44
Flo, il y a belle lurette qu'il n'y a plus de pigeons là dedans. Dans un autre cliché de l'intérieur on voit des panneaux qui racontent la vie dans le chateau et les terrains alentours. Tout ça pour dire que c'est devenu un lieu d'exposition.
Phaeton, je suis bien de ton avis. Déjà à vide ça vaut son pesant de cacahuètes alors imaginons avec une nuée de pigeons partout de chez partout. Et puis ça devait sentir fort comme ça doit pas être imaginable.
Le mercredi 18 avril 2007 à 11:04
J'ose à peine imaginer le bruit que devaient faire un millier de pigeons réunis dans un espace clôt... En tout cas l'échelle donne pas envie d'y grimper lol. Jolie photo manu ;)
Le mercredi 18 avril 2007 à 19:20
Et ben moi qui serait cascadeur, j'aurais aimé y monter à cette échelle.
C'est vraie que le bruit, j'y pensais pas. Moi c'est surtout les saloperies que laisseraient ces pigeons dedans, dehors, sur les toitures. Et puis dans les nids, si un jeune mourrait, comment savoir dans quelle case il serait en décomposition?
... en tout cas ça devait être un sacré va et vient de ceux qui rentrent et les autres qui sortent.