C'est tout ce que j'aime: une rencontre imprévue au coin d'une rue. En ce jour férié d'un 8 mai: croiser le chemin de cette personne toute bien mystérieuse. Mystérieuse car je ne sais rien d'elle. Je veux dire par là que je ne peux qu'imaginer qu'elle doit être d'un des ces pays Himalayens comme le Bouthan, le Népal. Pareil pour son instrument de musique, une (un?) sorte de violon que l'on tient calé sur sa cuisse. Ca doit pas être sorcier de trouver son nom.

Joli costume aux couleurs chatoyantes.

Je n'étais pas le seul à l'écouter mais tout le monde se tenait un peu en retrait de cette personne; ne pas vouloir déranger ou peur de l'inconnu(e). Ravissement des yeux et des oreilles.

Il est bien évidemment difficile de comparer Paris avec sa ville ou village d'habitation, Pétaouchnock, mais dans nos villes respectives, les jours fériés ainsi que les dimanches, c'est mort! C'est aussi ça que j'aime quand je suis Parisien de quelques heures: assister à des petits spectacles, surtout s'ils ont un parfum d'exoticitée (ça se dit?).