Résumé

Une vendeuse en parfumerie fait chanter sexuellement un de ses collègues, un homme particulièrement séduisant qui, par accident, a commis un meurtre.

 

Mon avis

Une comédie noire, très noire, même. Des fois c'en est même risible. Notre Rafaèle tombeur de ces dames loue quelques vidéos et au moment de payer voit sur la la caisse enregistreuse que le parfait du film titre film d'Alfred Hitchcock est devenu un farpait et que lui seul le voit. Et de dire qu'un film intitulé un crime farpait, ça ne doit être qu'un film nul! Et c'est ce que l'on est en train de voir.

Donc notre Rafaèl est un tombeur, une personne attirée par toutes les femmes et elles le lui rendent bien. Il travail dans un centre commercial au rayon vente pour femmes, allant de la lingerie fine aux vêtements de fourure. Il est le chef de toute une équipe féminine, les plus belles les une que les autres, de vrais canons de beautée. Elles sont toutes tombées dans ses bras et il espère bien le continuer en restant célibataire le plus longtremps possible. Le coeur des femmes n'est pas tout et il voudrait en plus avoir tout le magasin à superviser. Sauf qu'il a un rival, Don Antonio, son concurent dans le centre commercial avec une anciennetée de 20 ans et plus apte à devenir le vrai chef, chose qui arrive finalement. Une bagarre éclate, Don Antonio est tué accidentellement par Rafaèl et personne n'a vu la chose se faire. Personne? Aïe aïe aïe!!! Et ben non: la mochetée de la grande surface a tout vu et de fil en aiguille, ils deviendront malheureusement pour lui, complices...jusqu'au mariage, jusqu'à la mort! Sauf qu'entre temps, la police se doute d'une chose et ça finira dans le genre qu'un crimle n'est ni jamais parfait, ni jamais farpait!

Alors la mochetée (Lourdes) est jouée par Monica Cervera, une actrice au physique éloignement proche d'une Rosy de Palma, en plus belle mais quand même moche pour être le contraire des manequins du début du film se retournant au passage de Rafaèl... avant son crime involontaire. La famille du personnage qu'elle interprète est du même acabi de son physique: un père qui ne fait que dormir (et que Rafaèle se voit comme lui dans quelques années); une mère qui  avoue avoir saoulée son futur mari pour qu'il consente à l'épouser; une soeur de 8 ans qui, une semaine se dit enceinte et qui veut garder l'enfant alors que la semaine dernière, elle se disait atteinte du SIDA et qui menaçait toute la famille d'une seringue. Bref, notre Rafael est mal tombé et il le sait, il a peur de cette vision futuriste de ce qui pourrait être sa vie.

De toute façon, un crime parfait n'existe pas, c'est tout.

S'il n'y en avait q'une:

Rafaèl s'est disputé avec Lourdes et il pense qu'elle va aller le dénoncer à la police. Il se précipite dans le commisariat et écoute à travers une vitre sa copine parler d'un sac à main qu'on lui aurait voler (et non pas de dénoncer son copain). Le commissaire a un strabisme hyper prononcé et finalement, on ne sait pas qui des deux il regarde vraiment.

Ma note

2 étoiles